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FRANCE : Nicola Sarkozy risque deux ans de prison ferme

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L’ancien président de la République, son avocat Thierry Herzog et l’ancien magistrat Gilbert Azibert comparaissent devant le tribunal correctionnel de Paris pour « corruption » et « trafic d’influence ». Ils risquent quatre ans de prison ferme dont 2 ans requis contre M. Sarkosy.

Dans le cadre de l’affaire des « écoutes », le procureur du Parquet national financier a requis, mardi 8 décembre 2020, quatre ans de prison dont deux ferme à l’encontre de l’ancien président de la République français Nicolas Sarkozy. Les mêmes peines ont été requises à l’encontre de l’avocat Thierry Herzog et de l’ancien magistrat Gilbert Azibert. Le parquet a aussi exigé pour le même avocat cinq ans d’interdiction professionnelle. 

Nicolas Sarkozy, son avocat Thierry Herzog et l’ancien magistrat Gilbert Azibert comparaissent pour « corruption » et « trafic d’influence », des délits passibles de 10 ans de prison. Thierry Herzog et Gilbert Azibert sont également jugés pour « violation du secret professionnel ».

Les faits reprochés à l’ancien locataire de l’Elysée remontent à 2014. Il est soupçonné d’avoir tenté d’obtenir, par l’entremise de son avocat Thierry Herzog, des informations secrètes auprès de l’ex-haut magistrat Gilbert Azibert, dans une procédure concernant la saisie de ses agendas en marge de l’affaire Bettencourt, en échange d’un poste à Monaco que lui aurait proposé le président.

Le procureur financier Jean-Luc Blachon dénonce une double violation :  celle des règles de déontologie d’un avocat et d’un magistrat, et celle d’un ancien président de la république qui n’a pas mesuré le sens de ses responsabilités.

Le procureur parle d’un « pacte de corruption » même si Gilbert Azibert n’a pas obtenu le poste espéré à Monaco, et même si Nicolas Sarkozy a finalement renoncé, la seule promesse clairement formulée suffit, rappelle le parquet, à caractériser la corruption et le trafic d’influence.

L’ancien président se défend en ces termes : « je n’ai jamais commis le moindre acte de corruption. » Son avocate, Me Jacqueline Lafont s’est acharnée contre le parquet et a déclaré qu’elle a « surtout entendu trois semaines d’audience et un parquet muet, un parquet inexistant, un parquet qui ne réagissait jamais, un parquet qui était mis chaque jour un peu plus face aux failles, à l’inexistence, à la vacuité de son accusation. »

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AFRIQUE DU SUD –  Le principal parti de l’opposition a lancé sa campagne 

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Ce samedi 17 Février à Pretoria en Afrique du Sud, le principal parti de l’opposition, l’Alliance Démocratique (DA), a lancé sa campagne électorale. Sept points sont annoncés par le chef du parti, John Steenhuisen, pour sauver le pays.

Ce samedi 17 Février, les partisans de John Steenhuisen étaient nombreux sur la pelouse des Unions buildings située près du siège du gouvernement. L’opposant John Steenhuisen en a profité pour présenter son programme en sept points pour « sauver l’Afrique du Sud ».

Devant une foule immense, John Steenhuisen a parlé des maux qui étouffent l’économie sud-africaine et qui ont provoqué une crise sociale. Il a également déclaré que son parti Alliance démocratique s’engage à réduire les taux de criminalité. Son ambition est de créer deux millions d’emplois, de mettre fin aux coupures intempestives de l’électricité qui paralysent le pays et de mettre en place un climat de cohésion sociale. Le plan détaillé de l’alliance Démocratiquei vise à apporter des solutions concrètes aux grands défis auxquels est confrontée l’Afrique du Sud.

John Steenhuisen a aussi mis l’accent sur la lutte contre la corruption. Il a appelé aux populations de voter pour le parti Alliance démocratique pour éradiquer la corruption qui a ruiné le parti au pouvoir depuis 30 ans.

Un message fort dans un lieu mythique qu’est les Unions buildings, siège du gouvernement de l’ANC (Congrès National Africain), parti au pouvoir depuis trois décennies.

C’est dans une ambiance festive avec le groupe “Les Confretis » que s’est terminée le meeting. Les leaders et alliés du parti démocratique ont rejoint John Steenhuisen sur la scène pour une photo de famille.

La date officielle des élections n’est pas encore annoncée mais l’alliance Démocratique est déterminée à faire entendre sa voix en ces périodes pré-électorales.

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SÉNÉGAL – 100.000 Logements : Ismaila Madior Fall á Bambilor pour l’inauguration

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Ce vendredi, le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Ismaila Madior Fall, accompagné de la ministre Annette Ndiaye Seck, inaugurera la « Cité de la Diaspora » à Bambilor. Ce projet vise à prévenir la création de nouveaux bidonvilles et encourage la production massive de logements accessibles.

selon L’Observateur, l’objectif est de dynamiser et diversifier l’offre de logements pour les ménages à faibles revenus et/ou irréguliers, tout en facilitant l’accès au financement bancaire adapté. Avec une vision claire de renforcer l’écosystème de la construction, cette initiative témoigne de l’engagement du gouvernement Sénégalais envers sa diaspora.

Les 100 000 logements prévus dans ce projet ont été élaborés en partenariat avec le gouvernement Sénégalais et ses collaborateurs, cherchant à répondre aux besoins spécifiques et aux préoccupations en matière de logement des Sénégalais vivant à l’étranger.

Source : PressAfrik

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SÉNÉGAL – Thione Niang “Je n’ai pas de programme, j’ai une vision”

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Thione Niang ©Ze-Africanews

L’entrepreneur social Thione Niang est candidat à l’élection de février 2024. Dans cette interview exclusive, il nous dévoile sa vision, ses projets notamment, “Give One project”, “JeufZone” qui englobe un volet agricole, de formation mais aussi d’autonomisation des femmes. 

Ce fut l’occasion pour l’entrepreneur social, de revenir sur ses débuts, sur le processus de retour dans son pays d’origine, le Sénégal. Il a abordé la question politique : son engagement dans le ring politique tout en donnant son avis sur le paysage politique sénégalais. 

La politique africaine est un autre volet abordé dans cette interview. L’urgence de l’industrialisation du continent, l’urgence d’aider la jeunesse africaine afin qu’elle ait les mêmes opportunités de développement que les autres jeunes du monde, lui tient à cœur. 

Sur la question de l’école africaine, Thione Niang propose une refonte de celle-çi en commençant par un changement de paradigme et surtout du contenu des enseignements. Selon lui, il faut revenir sur nos fondamentaux à savoir nos propres modèles de représentations identitaires notamment Cheikh Anta Diop ou encore Nkrumah. 

Thione Niang, nous a également parlé de vision, sa vision et non un programme, pour donner à chaque sénégalais ce qu’il mérite aussi bien sur le plan de l’éducation, la santé, mais aussi sur le développement des infrastructures, qui selon lui, passe forcément et d’abord par l’autosuffisance alimentaire d’où son retour vers la terre pour un progrès agricole affirmé.

Il a fini par lancer un message fort à l’ensemble des sénégalais.

La suite de l’interview sur ce lien :

Thione Niang ©Ze-Africanews
Thione Niang ©Ze-Africanews
Thione Niang ©Ze-Africanews
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