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ÉDUCATION

BRIDGE THE GAP : Journée de débriefing avec Rama Yade

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Ce jeudi 16 mai 2019 à Paris l’association « BRIDGE THE GAP » a organisé un “Débriefing et brainstorming avec Mme Rama Yade, Marraine de « BRIDGE THE GAP ».

Cette rencontre a été organisée de concert entre la structure et Rama Yade, qui est une des Marraines depuis 3 mois. L’objectif de ce débriefing était de faire le point sur la soirée de Gala annuel qui s’est déroulée le 13 avril 2019. L’autre objectif de l’organisme était de réfléchir aux moyens à mettre en œuvre pour mener à bien leurs actions dans les prochains mois.

Rama Yade est désormais membre du conseil de parrainage cependant ce conseil est constitué d’autres personnalités telles que l’artiste Line Renaud, Fabienne Diouf, l’ancienne première Dame de France Claude Chirac, la maire adjoint de la ville d’Evreux Coumba Dioukhane, la journaliste Marie-roger Biloa, James Onobiono, l’homme politique et diplomate congolais Henri Lopes ou de l’historien François Durpaire.

Selon son président Moulen Man Ngonda, Rama Yade s’est engagée avec force à soutenir l’action de BRIDGE THE GAP, d’autant plus qu’elle est chargé des questions liées à l’éducation en Afrique en tant Consultante pour la Banque Mondiale depuis quelques mois.

En effet, l’engagement de l’ancienne secrétaire d’Etat auprès de BRIDGE THE GAP sera très précieux et représente un atout très significatif pour la mission de l’association qui est de rechercher et trouver des solutions aux problématiques liées à l’éducation, en France et en Afrique toujours selon son président Moulen Man Ngonda.

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Retour en images du débriefing : ©Georges Alexandre : 

Retour en images : ©Georges Alexandre

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ÉDUCATION

CAMEROUN – 7 millions d’enfants privés d’acte de naissance, un enjeu national

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Au Cameroun, environ 7 millions d’enfants, dont plus de 1,5 millions scolarisés, ne disposent pas d’acte de naissance. L’absence de ce document essentiel pour l’accès à l’éducation, à la santé et à d’autres services publics, touche particulièrement les zones rurales et les régions de l’Extrême-Nord, du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Le sujet a été évoqué lors de la tenue, du 02 au 04 juin 2025, des 3e Journées économiques internationales des communes (JEICOM) au Palais des Congrès de Yaoundé.

Une situation déplorable au moment où le Cameroun célèbre la 5e édition de la journée de l’enfance sous le thème « Budgétisation et planification sensible à l’enfant : un levier stratégique pour la promotion et la protection des droits de l’enfant ».

Face au problème constant d’établissement d’acte de naissance au Cameroun, le gouvernement à travers le Bureau National de l’Etat Civil (BUNEC), collabore avec des partenaires tels que l’Unicef ou encore la Banque mondiale dans le but de donner une réponse efficace au phénomène.

Dans cette dynamique, le Bunec fournit aux mairies des outils pour assurer un « enregistrement conforme et fiable de naissances ». Il les appuie également dans la modernisation du système d’état civil y compris la numérisation des registres. L’UNICEF a permis à certaines mairies de renforcer leurs capacités en ressources humaines et de développer des stratégies innovantes.

Plusieurs initiatives ont été lancées notamment le forum national sur l’enregistrement universel des naissances, organisé en avril 2024, qui a réuni les maires, responsables d’état civil et des partenaires pour discuter des solutions au problème.

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Autres opérations menées sur le terrain, l’enrôlement en décembre 2024, par le ministère de la Promotion et la Femme et de la Famille de 14 222 enfants sans acte de naissance à la suite d’un accord signé avec 07 communes. Aussi le Programme d’appui à la réforme de l’éducation au Cameroun (PAREC) entend régulariser la situation de plus d’un million d’enfants scolarisés sans acte de naissance.

L’absence d’acte de naissance au Cameroun constitue un obstacle majeur à l’accès à l’éducation et à d’autres services essentiels. Malgré les initiatives du gouvernement pour remédier au problème, des efforts restent encore à faire pour garantir l’enregistrement universel des naissances d’ici 2023, conformément aux objectifs du développement durable.

Source : journalducameroun.com

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A LA UNE

AVERROÈS – Le premier lycée musulman sous contrat en France, est menacé

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Fondé il y a 20 ans après l’interdiction du voile dans les lieux scolaires, Averroès, premier lycée musulman sous contrat en France, est menacé, un avis favorable à la résiliation de son contrat avec l’Etat ayant été rendu lundi .

novembre Une commission consultative présidée par le préfet du Nord a voté lundi en faveur de la résiliation du contrat d’association liant à l’Etat ce lycée musulman situé à Lille, la grande ville du nord de la France, ont indiqué à l’AFP deux sources proches du dossier, ce lundi 27 novembre 2023.

Selon les termes de ce contrat, signé en 2008, les enseignants de l’établissement sont rémunérés par l’Education nationale et le personnel parascolaire par la Région. Le dernier mot revient maintenant au préfet, qui doit prendre sa décision sur l’avenir de ce contrat « dans les prochains jours », a indiqué l’une des deux sources.

Depuis 2019, les autorités locales refusent de verser la subvention prévue dans le cadre de ce contrat avec l’Etat, reprochant notamment à Averroès un don qatari de 950.000 euros en 2014.

En filigrane est aussi pointé du doigt le lien historique d’Averroès avec les Musulmans de France (ex-UOIF), organisation issue du mouvement égyptien des Frères musulmans.

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L’idée de créer un lycée musulman remonte à 1994, lorsque 19 jeunes filles sont exclues d’un lycée public lillois pour avoir refusé d’ôter leur voile pour aller en cours, malgré une circulaire interdisant les « signes religieux ostentatoires ».

Le lycée Averroès ouvre en septembre 2003 avec une quinzaine d’élèves dans des locaux de la mosquée du quartier populaire de Lille-Sud, avec le soutien de l’UOIF.

Avec plus de 800 élèves dont 400 sous contrat, Averroès reste de loin le plus gros des six établissements musulmans sous contrat de France. Seul le lycée est reconnu, pas le collège.  

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A LA UNE

GUINÉE – La mort d’un jeune homme ravive les tensions sociales

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Article réalisé par Dan SIngault de Blagouin depuis Abidjan

Thierno Mamadou Diallo avait 19 ans. Candidat à l’examen du brevet, il n’obtiendra malheureusement jamais ce parchemin. le jeune homme a été abattu d’une balle dans la tête en marge des manifestations contre l’augmentation des prix du carburant à Hamdallaye, en Guinée, le mercredi 1er Juin 2022. 

Ces heurts qui ont éclaté entre des manifestants et les forces de sécurité guinéennes dans certains quartiers de Conakry ont ravivé les mécontentements d’une partie de la population et de la classe politique contre le pouvoir du colonel Mamady Doumbouya.  Le ministre guinéen de la sécurité, Bachir Diallo, est rapidement monté au créneau depuis la ville de Kankan où il séjourne pour  » condamner énergiquement ces gestes qui conduisent à des morts d’hommes  ».  » Le gouvernement ne s’inscrit pas dans cette logique  », a-t-il martelé. 

Il en faudra bien plus pour atténuer la fracture entre le CNRD du colonel Mamady Doumbouya qui a pris le pouvoir le 05 Septembre 2021 et une partie des Guinéens. Selon le FNDC, une coalition de l’opposition qui a combattu le pouvoir d’Alpha Condé, il y a bien un fossé entre les promesses des putschistes du CNRD  » qui s’étaient engagés à ne pas commettre les mêmes tueries que ses prédécesseurs  » et les actes qu’ils posent aujourd’hui. 

La mort du jeune Thierno Mamadou Diallo intervient d’ailleurs à la veille d’un communiqué du CNRD interdisant toute manifestation. Cette décision considérée comme une restriction des libertés publiques, avait essuyé de vives protestations de certaines organisations politiques et associations de droits de l’homme. 

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Rappelons que le pouvoir de Conakry a déjà engagé des poursuites judiciaires contre une vingtaine de dignitaires de l’ancien régime dont le président Alpha Condé et son premier ministre Ibrahima Fofana Kassory. L’ancien parti au pouvoir, le RPG ARC-EN-CIEL s’est d’ailleurs dit victime d’une chasse aux sorcières. 

On est donc bien loin de la liesse populaire suscitée par l’avènement du colonel Mamady Doumbouya à la tête de l’état guinéen. Certaines de ses décisions sont jugées en déphasage avec la réconciliation nationale à laquelle aspire tout le pays. Hormis cela, ce pouvoir doit faire face à l’Union Africaine et la communauté internationale qui juge la durée de la transition fixée par la junte militaire inacceptable. 

Le CNRD gagnerait à voir se dissiper ces tensions pour la paix dans ce pays déjà fragilisé par de nombreuses crises sociales. 

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