TIRAILLEURS
TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS : Les anciens combattants honorés
Le Président sénégalais Macky Sall a reçu ce vendredi, 28 Avril 2023 au Palais présidentiel les neuf tirailleurs sénégalais, qui ont décidé de rentrer définitivement au Sénégal. Le chef de l’Etat a exprimé toute sa reconnaissance à l’endroit de ses héros. Il les a élevés à la dignité de Grand Officier dans l’Ordre national du Lion.
« En vous recevant dès votre retour, j’ai tenu à vous élever au nom de la nation à la dignité de Grand Officier dans l’Ordre national du Lion et de grand-croix. Et à rendre hommage à tous vos frères d’armes vivants et défunts », a déclaré le Président sénégalais Macky Sall.
Cette cérémonie, dit-il, est donc un « exercice de mémoire en reconnaissance de sacrifices immenses pour tous nos anciens combattants pour la défense de la liberté ».
« Elle est aussi un rappel de la longue série d’injustice contre les tirailleurs sur les fracas des bombes et dans des paysages étrangers. Les Tirailleurs ont été de tous les combats, tous les fronts et toutes tranchées », a indiqué le Chef de l’Etat.
« Nous rendons hommage à tous les anciens combattants d’Afrique, d’Europe et de tous les continents pour les sacrifices consentis. Mais par devoir de mémoire, nous ne pouvons oublier les injustices à l’encontre de nos tirailleurs. Nous ne pouvons oublier les pensions inégales des avancements lents et bloqués le placement sous les ordres de métropolitains moins gradés, l’impossibilité de commander les troupes non-indigènes entre autres discriminations », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons oublier l’horreur des exécutions sommaires au Camps de Thiaroye 44. Hélas, c’est cela aussi l’histoire des Tirailleurs », a souligné le Président Macky Sall.
« Ainsi, chers anciens combattants en vous souhaitant la bienvenue, nous célébrons aujourd’hui une injustice réparée », a dit le chef de l’Etat.
Le Président Macky Sall a rendu un hommage à Aïssata Seck, présidente de l’association pour la mémoire des tirailleurs sénégalais pour son combat contre l’oubli et pour le devoir de mémoire.
« Aïssata Seck, Conseillère régionale Ile de-France et Présidente de l’Association pour la Mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais, pour le combat inlassable que vous continuez de mener pour la défense des droits de nos anciens combattants ». « Je rappelle que c’est grâce à votre « contribution décisive que les tirailleurs ont pu obtenir la nationalité française ».
Pour toutes ces raisons, dit-il, vous « méritez notre reconnaissance et la distinction de Commandeur dans l’Ordre national du Lion qui vous a été décernée ».
ARMÉE
SÉNÉGAL – L‘ancien combattant Mamadou Diamanka a tiré sa révérence
L‘ancien combattant Mamadou Diamanka a tiré sa révérence le dimanche 02 mai 2021 à Rambouillet, la région parisienne dans le département 78. suite à un accident vasculaire cérébrale. La levée du corps a eu lieu le jeudi 6 mai 2021 à l’hôpital de Rambouillet. Il a été inhumé le samedi 8 mai au cimetière de Pikine au Sénégal. Il était âgé de 89 ans.
L‘ancien combattant Mamadou Diamanka a tiré sa révérence le dimanche 02 mai 2021 à Rambouillet, la région parisienne dans le département 78. des suites d’un accident vasculaire cérébrale. Né le 31 décembre 1931 à Saré Diatta Kaolack, il était originaire de la région de Kolda en Casamance, au sud du Sénégal. Fils de Domel Diamanka et de Tacko Diao, il commence sa carrière militaire dans l’Armée française en 1952 et la termine dans l’Armée sénégalaise avant de rejoindre la société de transport d’alors, la Sotrac.
C’est à l’âge de 21 ans qu’il intègre l’Armée française en 1952 dans les rangs du régiment des soldats d’Afrique. Il quitte le Sénégal pour la France, transite vers l’Indochine, l’Algérie puis Madagascar en tant que Tirailleur sénégalais. Il participe à ces deux guerres françaises comme la plupart de ses frères de sang au nom de la France.
Mamadou Diamanka s’est battu pour la France comme l’ensemble du bataillon des Tirailleurs sénégalais en provenance d’autres pays d’Afrique, du Burkina Faso à la Côte d’Ivoire en passant par le Mali. Ils étaient nombreux à participer aux guerres françaises de la première à la deuxième mais aussi aux guerres coloniales au nom de la France.
Pour rappel, le premier régiment des Tirailleurs sénégalais a été créé en 1857 au Sénégal par le roi Napoléon III. Environ 170 000 d’entre eux ont été mobilisés durant la Première Guerre mondiale. Au total, l’empire colonial français a fourni 607 000 soldats aux Alliés dont 450 000 sont venus combattre en Europe, en particulier lors des batailles de la Marne, de Verdun et de la Somme. Plus de 70 000 de ces poilus africains venus d’ailleurs sont morts pour la France dont 36 000 d’Afrique du Nord et 30 000 d’Afrique noire.
Pour la seconde Guerre mondiale, entre 1939 et juin 1940 les Tirailleurs sénégalais, bras solide et armé de la France, étaient 178 000 Africains dans l’armée française. On compte huit régiments de “Tirailleurs sénégalais”, soit environ 40 000 hommes qui prennent part à la Bataille de France. Près de 17 000 ont été tués, disparus ou blessés au combat en 1940. Ils percevaient un salaire inférieur à celui de leurs compagnons d’armes français.
À la fin de sa carrière dans l’Armée française qui marque la fin effective des indépendances sur le continent africain concernant les territoires français, Mamadou Diamanka intègre ainsi l’Armée nationale sénégalaise. Il y termine son service militaire avant de travailler quelques années à la société de transport sénégalais la “Sotrac” d’alors. Il y prendra sa retraite en 1986 avant de rejoindre la France en 1996 pour la régularisation de sa situation en tant que Tirailleur Sénégalais à l’image de tant d’autres Tirailleurs africains, les oubliés des guerres françaises. Avec l’avènement des indépendances, leurs petits salaires furent cristallisés, leur pension suspendue. Il passera plus de 20 ans en France pour valoir ce que de droit.
Mamadou Diamanka ou Maly-Tacko comme l’appelait affectueusement ses proches, était un pilier de la communauté du Fouladou, un sage qui a su fédérer les familles, de Saré Diatta, le village natal de son père, à Kolda, la région où habite la majorité de sa famille, à Dakar puis à Pikine où il avait construit sa maison. Dans cette ville sont nés la majorité de ses enfants : six sont nés à Pikine dont la journaliste et écrivaine franco-sénégalaise Aïssatou Diamanka Besland et quatre à Dakar.
Un homme bon, généreux, humain, juste, véridique, visionnaire en avance parmi sa génération. Pour lui, l’éducation était un pilier pour devenir quelqu’un de bien surtout pour ses filles. Il n’a jamais su faire une différence entre ses propres enfants, ceux de ses frères et sœurs ainsi que ceux d’autres étrangers qu’il connaissait à peine.
Dans sa maison à Pikine, tout le monde passait et repassait. Soit pour faire des études ou pour les terminer. Soit pour aller en Europe ou y revenir. Sa maison était le lieu de convergence de toute une communauté. Tout le monde était logé à la même enseigne : enfant ou pas.
De par sa grandeur et son dévouement, il a su laisser son empreinte dans chaque vie, chaque être qui a croisé son chemin. Il a su montrer avec amour et prouesse que seul l’humain compte.
Aujourd’hui, ses enfants, ses cousins, ses neveux et nièces, ses amis … tous pleurent l’absence d’un être si cher. Baba Diamanka comme l’appelé la famille proche clôt ainsi la lignée d’une première génération des DIAMANKA-SORIANG.
Le combattant infatigable est tombé ! Son absence va peser lourd dans les cœurs de ceux qui l’aimaient profondément. il va laisser un vide viscéral.
Ze-Africanews présente ses sincères condoléances à toute la famille éplorée.
SOCIÉTÉ
TIRAILLEURS SENEGALAIS : La France fait massacrer des Africains les 19 et 20 juin 1940 à l’entrée Nord de Lyon !
Dans le cadre de notre histoire occultée, ce sont des massacres racistes de tirailleurs sénégalais qui ont été voulus par la France, lors de la guerre de 1939/45. À l’entrée nord de Lyon et dans les monts d’Or, les 19 et 20 juin 1940, appelés délibérément là où le combat était perdu d’avance, les tirailleurs sénégalais ont été férocement tués par les Allemands. Au camp de Thiaroye, près de Dakar, au Sénégal, c’est carrément l’armée française qui les a abattus dans la nuit du 1er au 2 décembre 1944.
Dans l’histoire de la deuxième guerre mondiale, l’histoire des « tirailleurs sénégalais » n’existe pas, alors que leur action a été déterminante. Absente des manuels scolaires, rien ou presque rien ne témoigne de la présence déterminante de l’Afrique dans la libération de la France. C’est en Afrique que de Gaulle organise la résistance et, vu le peu de soutien de ses compatriotes, c’est sur le sol africain qu’il finit par trouver la plus grande partie de l’armée française de libération. Mais, comme dans de nombreux domaines, la France a encore fait le choix de la falsification historique.
L’enrôlement des Africains dans l’armée française
Si le premier bataillon des « tirailleurs sénégalais » a été formé à Saint-Louis-du-Sénégal, la majorité des soldats ne sont pas tous originaires du Sénégal. On y trouve aussi des originaires du Mali, du Burkina Faso, du Tchad, du Soudan, de la République Centrafricaine, d’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique du Nord…
La France utilisait bien des fois des méthodes barbares pour enrôler les Africains. Charles Onana, dans son livre La France et ses Tirailleurs, cite le témoignage d’Ateba Yene : « Dans les villages, la mission ambulante de mobilisation forcée faisait rage. Les indigènes à la carrure d’athlète étaient ramassés et attachés par une corde autour des reins avec comme lieu de destination la boucherie nazie.
Les missionnaires catholiques, eux aussi, jouèrent un rôle très important et ne furent pas inactifs. L’évêque français, Monseigneur Graffin [1] , en 1941, avec la connivence d’un administrateur cerbère nommé Salin, organisa une rafle ignominieuse au sortir d’une grand-messe à la mission catholique de Mvolyé, la seule église qui accueillait tous les fidèles de Yaoundé. A la sortie de la messe, l’église était cernée par un cordon de soldats mitraillettes aux poings. Ces fidèles furent embarqués sans ménagement dans des camions militaires… »
Nombre d’Africains ont donc ainsi été enrôlés de force dans l’armée française.
Elle est bien connue cette marque de cacao : elle se sert, de façon indigne, de l’imagerie du “tirailleur sénégalais”, horriblement insultante et méprisante pour les Africains.
Bel ouvrage que le colonialisme !
Lorsque commence la seconde guerre mondiale, entre 1939 et juin 1940 ils sont 100.000 à être enrôlés dans les colonies pour venir défendre la métropole. Huit régiments de “tirailleurs sénégalais” prennent part à la campagne de France. Entre le 10 mai et le 25 juin 1940 près d’un sur quatre de ces « tirailleurs » furent tués ou massacrés. Ils furent souvent tués à l’arrière des combats dans des conditions atroces, et furent ainsi parmi les premières victimes sur le sol français du racisme nazi.
Abandonnées dans la débâcle, décimées lors d’exécutions sommaires, ces troupes coloniales remplirent les camps de prisonniers des nazis. Il y en aurait eu 42.000 rien qu’en France. Les forces de la France Libre se reconstituèrent en Afrique entre autres sous l’égide du gouverneur Félix Éboué. Tous n’étaient pas volontaires, loin de là, mais la moitié des troupes françaises qui débarquèrent en Provence avait été recrutée dans les colonies. La division Leclerc elle-même était en grande partie constituée d’Africains (et de républicains espagnols).
Massacre dans un combat « pour l’honneur » au nord de Lyon, les 19 et 20 juin 1940
Le 18 juin 1940, de Londres, le général de Gaulle prononce son fameux appel. Mais, le 19, les Allemands se rapprochent de Lyon, c’est la confusion gouvernementale complète, la situation est désespérée et ce n’est pas pour rien que l’armée française place aux entrées nord de Lyon le 25ème régiment de Tirailleurs Sénégalais, évitant ainsi aux Français le maximum de pertes. Il comprend, outre quelques gradés français, surtout des Africains, notamment Soudanais et Sénégalais. Les officiers savent que ce sera un combat perdu et parlent eux-mêmes de « combat pour l’honneur ».
Dans son secteur, dont la vingtaine de kilomètres de front dépasse largement ses moyens, le colonel commandant le 25e RTS (Régiment de Tirailleurs Sénégalais) a placé deux bataillons, selon les ordres reçus de son supérieur, sur « la ligne générale Curis, Saint-Germain-au-Mont-d’Or, Chasselay, Marcilly-d’Azergues, Lozanne, L’Arbresle » et s’est gardé une faible réserve à hauteur de Champagne-au-Mont-d’Or où il a installé son poste de commandement.
Mais ces ordres précisent en outre : « En cas d’attaque, tenir tous les points d’appui sans esprit de recul, même débordé. Conserver à tout prix l’intervalle Saône-Azergues par où passe la N 6. » On le voit, au besoin, se faire tuer sur place.
La bataille fait rage ce 19 juin dès 9h30, et particulièrement à Chasselay, devant le couvent de Montluzin, submergé par les Allemands vers 16h. Le 20 juin, près de la montée de Champagne, 27 d’entre eux sont fusillés alignés contre un mur au bas de la montée de Balmont (devant Rock& Roll Vengeance) : sur le mur du 3, montée de Balmont, on peut lire cette plaque : « Le 19 juin 1940, ont été lâchement assassinés 27 soldats sénégalais qui résistaient aux hordes nazies ». On peut se demander si les plus lâches dans cette affaire ce ne sont pas les autorités françaises !
Au lieu dit « Vide-Sac », tous les Africains sont hachés à la mitrailleuse et au canon des chars allemands. Les blindés écrasent de leurs chenilles les morts et les agonisants. Partout, par racisme, les nazis font la chasse aux Africains pour les abattre, y compris les prisonniers, laissant la vie sauve uniquement aux rares officiers blancs. Au cours de ces journées, tous les soldats Africains découverts par les Allemands sont systématiquement exécutés. La tuerie sera telle que sur 1.800 hommes, il y aura 1.333 morts dénombrés et ce seront, sauf un ou deux, tous des Africains.
Un cimetière, appelé Tata sénégalais a été érigé par la suite à Chasselay, ne contenant que 188 corps, les autres victimes ayant été pour la plupart brûlées sur place. Mais à Lyon on se souvient surtout, quand on parle des désastres de cette guerre, des bombardements américains de 1944, ayant touché plus profondément la population lyonnaise, sur Givors et la gare de triage de Badan, le quartier Jean-Macé et la gare de la Guille, le quartier Gare de Vaise et le quartier de l’Industrie à St Rambert. Ces bombardements américains, sensés bloquer les gares sur Lyon, ont fait, eux, 717 victimes. Même si ce nombre est important, c’est moins que le total des Africains tués par les nazis.
C’est pourquoi il est très important d’informer que la France a fait massacrer par les Allemands de très nombreux Africains sur le sol du Grand Lyon en juin 1940.
À Thiaroye, en décembre 1944, la France massacre des Africains qui avaient combattu pour les Français !
Les problèmes continuent à la Libération, dès 1944. Les soldats français blancs et les “tirailleurs sénégalais » ne sont pas traités également. Les soldes, les promotions, les équipements, sont différents. D’énormes discriminations apparaissent pour les calculs des indemnités des prisonniers. Très souvent les prisonniers africains libérés se retrouveront sans équipement et sans argent. En novembre 1944, de nombreuses rebellions se produisent en plusieurs endroits, à Morlaix, à Hyères, à Versailles, et l’armée française décide un retour forcé en Afrique. La tragédie se déroule au Sénégal.
Le 21 novembre 1944, 1 280 “tirailleurs sénégalais” sont débarqués à Dakar et sont réunis dans le camp militaire de transit de Thiaroye-sur-mer pour être démobilisés. On leur retire d’ailleurs les uniformes militaires qu’ils avaient pour les remplacer par une tenue plus ordinaire et c’est à ce moment-là qu’on les oblige de mettre le désormais bien connu chapeau rouge du mépris. Face à la désillusion devant les promesses non tenues par la France, les humiliations à cause de la couleur de la peau, et le racisme de la hiérarchie militaire au sein de l’armée française, ils insistent néanmoins pour réclamer leur solde.
Devant un nouveau refus des chefs de l’armée française, les tirailleurs se mutinent et le 1er décembre ils s’emparent d’un général, qui finit par leur promettre de régulariser la situation. Mais c’est un énorme mensonge !
En effet, à peine remis en liberté, ce même général, avec l’accord de sa hiérarchie, fait attaquer le camp par plusieurs unités de l’armée française appuyées par la gendarmerie ; alors même que les “tirailleurs sénégalais” sont en plein sommeil et complètement désarmés, ils sont massacrés dans cette nuit du 2 décembre 1944 vers 3 heures du matin.
On ne connaît pas le nombre exact de tués : 30 ? 60 ? 100 ? D’autres chiffres plus impressionnants sont donnés. Les autorités françaises gardent le silence sur ce nombre et il n’y a jamais eu de commission d’enquête
indépendante sur cette affaire. [2]
Comme si cela ne suffisait pas, bon nombre de ces survivants seront condamnés jusqu’à 2 et 3 ans de prison ferme pour « insubordination », alors que certains déjà sortaient des camps de concentration nazis !
Oui, les « tirailleurs sénégalais » ont payé très cher leur confiance en la France…
Source : rebellyon.in
SOCIÉTÉ
TIRAILLEURS SENEGALAIS : Cérémonie de ravivage de la flamme à Paris.
Dimanche 9 juillet 2017, a eu lieu une cérémonie de ravivage de la flamme sous l’arc de triomphe afin de rendre hommage aux Tirailleurs Sénégalais morts pour la France.
Quelques anciens soldats étaient présents. L’adjointe à la Maire en charge des anciens combattant qui a été à l’initiative de la naturalisation des Tirailleurs Sénégalais à l’Elysée, Aïssata Seck était également présente.
La cérémonie en images.
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