Connect with us

AFRIQUE DE L’OUEST

SÉNÉGAL – Guy Marius Sagna craint pour sa vie

Publie

le

L’activiste et député sénégalais Guy Marius Sagna dit craindre pour sa vie. C’est à travers sa page facebook ce mardi 6 décembre qu’il a publié un message d’alerte à l’opinion sur de probables manigances et manœuvres criminelles pour attenter à sa vie. 

“Depuis des décennies, et surtout depuis que le peuple sénégalais a fait de moi un député à l’assemblée nationale, je fais du mieux que je peux pour servir avec fidèlité et loyauté le peuple africain du Sénégal. C’est pourquoi depuis le 12 septembre 2022 je défends énergiquement les intérêts des sénégalais.e.s.

Il m’est revenu que ma posture dérange à tel point que des manigances et manœuvres criminelles sont en cours d’élaboration pour attenter à mon intégrité physique et à ma liberté de servir exclusivement le peuple sénégalais.

Quand vous arrêterez de voler l’argent du peuple et de servir l’impérialisme contre les peuples africains particulièrement le néocolonialisme français vous ne m’entendrez plus en parler à l’intérieur et à l’extérieur de l’assemblée nationale.

Il m’est revenu que ce groupe dont la mission est de me faire taire est aussi constitué d’agents de forces de défense et de sécurité qui cherchent à savoir où j’habite.

Advertisement

J’alerte et prends à témoin le peuple sénégalais.

Il appartient à l’État du Sénégal d’assurer la sécurité de tous les citoyen.ne.s sénégalais. Je suis sénégalais, ma sécurité est entre les mains de l’État du Sénégal.

Que vous fassiez disparaître des gendarmes, des militaires et torturer des sénégalais jusqu’à les assassiner ne nous fait pas peur.

Je tiens l’État du Sénégal pour responsable de tout ce qui pourrait m’arriver.

L’ère où vous faisiez disparaître des Pierre Henry Thioune dit Guelwaar est révolue.

Advertisement

GMS”

Continuer la lecture
Advertisement
Cliquez ici pour commenter

Laisser un commentaire

AFRIQUE

SÉNÉGAL – Ousmane Sonko sonne l’alerte contre les divisions internes à Pastef

Publie

le

Le ton était ferme et sans détour. En marge de l’installation du Conseil national de Pastef, ce jeudi 10 juillet 2025 , le Premier ministre Ousmane Sonko a tenu à mettre les choses au clair : il ne tolérera aucune tentative de fragmentation au sein de son parti. « Des clans se forment dans les cercles dirigeants, au mépris des valeurs de Pastef. Cela, je ne l’accepterai pas », a-t-il déclaré devant une assemblée attentive.

Depuis l’arrivée au pouvoir du parti, Sonko dit observer une dérive chez certains responsables, qui sembleraient oublier les principes de solidarité et de discipline ayant forgé l’identité de Pastef. « Ils bombent le torse, créent des clans, mais sont incapables de gagner le plus petit hameau », a-t-il dénoncé, visiblement agacé par l’attitude de certains cadres.

Plus grave encore, il accuse un groupe bien identifié d’avoir tenu des réunions à Touba, dans le but de redessiner les équilibres internes du parti, en vue de l’élection présidentielle de 2029. Des manœuvres qu’il perçoit comme une trahison de la ligne politique originelle. « Ils veulent installer une hiérarchie parallèle, saboter la collégialité qui fait notre force », a-t-il averti.

Lui-même chef du parti, Sonko a tenu à rappeler qu’il n’a jamais encouragé de clan autour de sa personne, refusant toute logique de cour ou de favoritisme. « Je suis le chef de parti et je n’ai jamais eu de clan. Ceux qui cherchent à diviser Pastef pour se positionner doivent quitter les rangs. Que ceux qui ne s’y retrouvent plus s’en aillent », a-t-il tranché.

Continuer la lecture

AFRIQUE

GUINÉE – Un an après, Foniké Menguè et Billo Bah restent introuvables

Publie

le

Un an jour pour jour après la disparition d’Oumar Sylla, alias Foniké Menguè, et de Mamadou Billo BAH, deux figures du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC), Amnesty International et 25 organisations de défense des droits humains dénoncent unanimement un climat de terreur croissant en Guinée sous le régime militaire.

Elles appellent de concert à des enquêtes indépendantes et transparentes sur ces enlèvements et l’escalade des disparitions forcées. Le 9 juillet 2024, Oumar SYLLA et Mamadou Billo BAH, tous deux membres actifs du FNDC (issous en 2022), ont été enlevés à Conakry par des hommes armés non identifiés.

Douze mois plus tard, le mystère demeure entier quant à leur sort, plongeant leurs familles et la communauté des droits humains dans une angoisse persistante.

Amnesty International tire la sonnette d’alarme face à « l’augmentation inquiétante des disparitions forcées dans le pays », ciblant particulièrement les journalistes, les militants et les défenseurs des droits humains.

Ces cas, dont celui de Foniké MENGUE et Mamadou Billo BAH, sont perçus par les organisations comme des tentatives d’intimidation et de musellement de toute voix dissidente.

Advertisement

Malgré l’annonce d’enquêtes par le procureur général guinéen peu après les enlèvements de SYLLA et BAH, aucun rapport public n’a été communiqué à ce jour, alimentant les frustrations et les soupçons quant à la volonté réelle des autorités de faire la lumière sur ces affaires.

Les organisations signataires rappellent l’obligation de l’État de protéger ses citoyens et de garantir la justice pour les victimes de violations des droits humains.

Source : Walf

Continuer la lecture

AFRIQUE

SÉNÉGAL – Diomaye Faye attendu à Washington sur invitation de Donald Trump

Publie

le

Le chef de l’État sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a quitté Dakar ce matin pour une visite de travail aux États-Unis, à l’invitation de son homologue américain Donald Trump, a annoncé la présidence du Sénégal.

« À l’invitation du président Donald Trump, Son Excellence monsieur Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar ce matin à destination des États-Unis », précise le communiqué officiel, ajoutant que cette visite se déroulera les mercredi 9 et jeudi 10 juillet.

Donald Trump a annoncé qu’il recevrait à la Maison Blanche, à Washington, cinq dirigeants africains du mercredi 9 au vendredi 11 juillet. Outre le président sénégalais, il s’agit des chefs d’État du Gabon, de la Guinée-Bissau, du Liberia et de la Mauritanie.

Crédit photo : Présidence de la République du Sénégal 

Continuer la lecture
Advertisement

DERNIERS ARTICLES

FACEBOOK

PUB

NEWS +