A LA UNE
CHINE – Xi Jinping tacle le niveau des footballeurs chinois
Le président chinois Xi Jinping n’est « pas si sûr » des aptitudes de l’équipe nationale masculine de football, a-t-il déclaré d’après une vidéo mise en ligne samedi 18 novembre 2023, malgré la victoire des joueurs chinois face à la Thaïlande jeudi.
M. Xi a émis ce rare commentaire spontané au cours d’une conversation informelle avec le Premier ministre thaïlandais Srettha Thavisin, selon une vidéo publiée samedi par un compte gouvernemental de Bangkok sur X, anciennement Twitter.
Répondant à son interlocuteur qui lui signalait que les footballeurs chinois avait battu jeudi leurs adversaires thaïlandais (2-1) en match de qualification pour le Mondial 2026, Xi Jinping a déclaré: « Je pense qu’il y a eu beaucoup de chance » en jeu.
« Parce que maintenant, à propos de notre équipe nationale, je ne suis pas si sûr de leur niveau », a dit M. Xi en amont d’une réunion au sommet de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (Apec) à San Francisco, aux Etats-Unis.
« Il y a des hauts et des bas », a-t-il ajouté.
M. Xi s’est par le passé présenté comme un inconditionnel du ballon rond et a dit souhaité que la Chine accueille et remporte un jour la Coupe du Monde de football.
Mais la Chine n’est pour l’heure pas parvenue à devenir un poids lourd du football international.
En septembre, la défaite de la Chine face à la Syrie (0-1) lors d’un match amical avait été moquée par des supporteurs frustrés et qualifiée de « nouvelle défaite embarrassante » par les médias d’Etat.
Le football chinois est en proie à une importante campagne anticorruption qui a mené à des enquêtes et des inculpations de nombreuses personnalités, comme l’ex-sélectionneur de l’équipe masculine nationale, Li Tie.
Outre les qualifications pour le Mondial-2026, qui se tiendra en 2026 aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique, la Chine participera également à la Coupe d’Asie des nations organisée au Qatar du 12 janvier au 10 février 2024.
A LA UNE
SÉNÉGAL – Bo Diaw sort de son silence avec “The Village”, un album qui célèbre la diversité culturelle
Montréal s’apprête à vibrer au rythme des mélodies, qui vont défricher des espaces sonores inédits et inspirants, de cet artiste d’origine sénégalaise, Bo Diaw. Aux confins d’un style musical qui n’a rien à envier aux autres, l’artiste dévoilera, le 9 novembre 2024, “The Village”. Un album qui promet de célébrer la diversité culturelle à travers des sonorités métissées et des messages porteurs d’espoir. Cet album est un trait d’union serein entre différentes cultures. Un entrelacs de notes mélodieuses qui nous interrogent sur nous-mêmes.
“The Village”, un message d’unité
Ce nouvel album de Bo Diaw fait la une de l’actualité internationale, surtout québécoise. L’artiste illustre parfaitement son engagement pour un monde plus harmonieux. “The Village” se révèle comme une véritable ode à la solidarité et à l’unité mondiale. Chaque chanson de cet album résonne comme une invitation à reconnaître la beauté de nos différences et l’importance de la connexion entre les peuples. Les morceaux se lient les uns aux autres dans un subtil mélange de reggae, d’afrobeat, de dancehall et de pop, tout en rendant hommage aux racines sénégalaises de l’artiste. Au-delà du travail artistique, Bo Diaw a vraiment voulu explorer l’authenticité et l’humanisme chez les peuples. Derrière chaque chanson, chaque titre, il y a un questionnement humaniste qui nous interroge.
Un parcours aux multiples facettes
Né à Dakar, Bo Diaw a grandi dans une famille d’artistes. Aussi a-t-il baigné dès son enfance dans l’univers musical grâce à son père Abdou Diaw, membre du groupe sénégalais “Darray Kocc”. Il grandit aux sons des vinyles et des disco. À l’adolescence, il s’essaye à l’humour et au théâtre avant de se tourner vers la musique. Âgé seulement de 17 ans, ce jeune garçon au sourire solaire rejoint le groupe d’animation Mballo Assiko, un ensemble musical et théâtral qui marquera ses débuts en tant qu’interprète. Bo Diaw n’a jamais cessé de puiser dans ses racines tout en explorant de nouvelles frontières musicales. Son premier single, “C’est ma blonde !”, sorti en 2013, devient un hit au Québec. La carrière musicale de l’artiste est sur des chapeaux de roues, les scènes internationales lui sourient. Par la suite, des titres comme “Hypnotize” en 2015, ou encore “Yaw Lay Weur” en 2017, où il célèbre la femme africaine, confirment son statut d’artiste polyvalent et engagé.
Un artiste internationalement reconnu
Bo Diaw a su marquer les esprits, non seulement par sa musique, mais aussi par son engagement en faveur de la diversité et de la culture sénégalaise. En 2018, il est récompensé au Gala Dynastie dans la catégorie « Meilleur Artiste ou Groupe Musique du Monde de l’année », une distinction qui vient couronner des années d’efforts. L’artiste ne cesse d’enrichir son répertoire musical en multipliant les collaborations avec des figures emblématiques de la musique sénégalaise comme Didier Awadi ou encore le groupe PBS. En 2021, il signe avec “Nuits d’Afrique”, renforçant encore plus sa présence sur la scène musicale mondiale.
Une soirée à ne pas manquer
Le lancement de ce nouvel album “The Village” aura lieu à l’Afromusée de Montréal. Le choix de ce lieu n’est pas anodin. En effet, il reflète parfaitement les valeurs de diversité et d’inclusion si chères à Bo Diaw d’autant plus qu’il a placé cet album sous le signe de l’unité et du partage.
A LA UNE
SÉNÉGAL – Stefane Kabou, d’artiste à leader politique du Mouvement Sénégal Souverain (MSS)
Au Sénégal, la frontière entre culture et politique est souvent très mince, et Stefane Kabou l’a parfaitement comprise. Il incarne parfaitement cette symbiose. Né à Dakar, il a d’abord fait ses armes en tant qu’acteur culturel. Mais, depuis quelques années, il semble avoir compris que la force vraie des États Africains doit résider dans ses actions, au demeurant souverainistes, à sortir de l’oppression occidentale en donnant la possibilité aux Africains de se prendre charge, sans un babysitting occidental. L’Afrique, agrégat de peuples désunis, doit devenir une réalité vivante, voilà en quelques mots l’ambition de ce mouvement.
Stefan Kabou sur la scène politique
Comme un fleuve qui suit son cours normal, Stefane Kabou est venu naturellement à la politique. Pendant de nombreuses années, il a multiplié les actions en faveur des plus démunis et a lutté contre l’incivisme à travers de vastes campagnes de sensibilisation, non sans être pointé du doigt du mépris par certains de ses compatriotes et être l’objet de railleries de la part de plus d’un. Dans un souci de justice sociale et exaspéré de voir que l’Afrique en général, et particulièrement le Sénégal n’arrive pas à se prendre en charge, il s’est lancé dans la politique. Il souhaite devenir une figure incontournable du paysage politique sénégalais, grâce à son mouvement, le “Mouvement Sénégal Souverain” en abrégé (MSS).
Pourquoi le MSS ?
Au début, le “Mouvement Sénégal Souverain” avait au départ pour nom “NATANGUÉ” qui signifie en wolof espoir. Le leader, Stefane Kabou, avait pour objectif comme on peut le lire sur sa page Facebook, de créer : “un mouvement basé sur la solidarité et l’entraide” qui propose que “la solidarité, le dialogue, la paix soient au centre des débats.” Mais cette appellation a dérivé vers une forme plus globale de sorte à devenir le MSS, un mouvement politique et social qui milite pour une justice sociale et une indépendance nationale véritables des pays Africains, particulièrement du Sénégal. Signalons-le, ce mouvement ne renie pas les raisons pour lesquelles il a vu le jour. Stefane Kabou, voyant la désolation des couches les plus défavorisées, le mépris, presque militant, des gouvernements qui se sont succédé à la tête de l’État sénégalais a décidé de se lancer dans la politique pour agir directement sur les causes des problèmes qui minent le pays.
Stefane Kabou, un souverainiste épris de liberté
En fondant le “Mouvement Sénégal Souverain”, Stefane Kabou a donné un nouveau souffle à son combat et une certaine dynamique à la politique sénégalaise. Le MSS ne se contente pas de dénoncer les dysfonctionnements des régimes politiques, il propose une vision alternative pour le pays. Le Mouvement prône une souveraineté économique et politique totale du pays, mettant en avant la nécessité de diversifier l’économie sénégalaise et d’instaurer une gouvernance transparente. Son discours est clair : “le Sénégal doit se libérer de toute ingérence extérieure pour enfin maîtriser son propre destin.” Quoi de plus normal.
Le MSS, contre l’injustice et pour la transparence
Stefane Kabou se distingue dans ses actions, aussi bien sur les réseaux sociaux que dans les rues du Sénégal, par son engagement contre l’impunité, contre la pauvreté, contre l’incivisme. Il ne prend pas de gants pour fustiger ouvertement ce qu’il perçoit comme des abus de pouvoir, tout en appelant dans un esprit de paix les parties à la négociation, comme cela a été le cas lors des dernières élections au Sénégal. Cet homme épris de paix a toujours demandé la fin des violences et des injustices dont sont victimes de nombreux Sénégalais. Pour lui, la lutte pour la souveraineté nationale passe aussi par la restauration de la justice et de l’État de droit.
Stefane Kabou, un leader visionnaire
Le parcours de Stefane Kabou, de ses débuts à Kaolack à son ascension sur la scène politique nationale, témoigne de sa détermination à influencer l’avenir, le cours de la politique au Sénégal. À travers le MSS, ce leader emblématique se positionne comme un acteur clé de la nouvelle génération de leaders sénégalais, prêts à redéfinir les règles du jeu politique pour un avenir plus juste et plus souverain. Stefane Kabou est un visionnaire, un homme dont l’engagement pourrait bien façonner le futur du Sénégal. Sous l’impulsion du “Mouvement Sénégal Souverain”, Stefane Kabou est en passe de devenir une force incontournable dans le débat public, incarnant l’espoir d’un renouveau politique pour de nombreux Sénégalais.
A LA UNE
SÉNÉGAL – Asma Khadija, une attachée de presse dynamique d’IBC INVEST
Asma Khadija ! Ce nom évoque une grande personnalité dans l’univers journalistique sénégalais. En fait, c’est une étoile hyperlumineuse dans le domaine de la communication au Sénégal. Chaque matin, cette charmante journaliste, armée de son sourire radieux et de sa voix éclatante, égaye nos débuts de journée dans l’émission matinale “Subaatel” sur SEN TV. En plus de cela, elle est actrice et modèle. Consciente de l’aura qu’elle pourrait apporter à leur association, IBC Invest s’est attaché ses services et a décidé de faire d’elle leur responsable des relations presse. En gros, elle est chargée de tout ce qui concerne la communication internationale de l’International Business Conseil Invest (IBC). Chaque interview est une opportunité pour valoriser l’image de l’association.
Asma, en première ligne au sein d’IBC
Créée en 2019, l’International Business Conseil (IBC) encourage l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, ainsi que l’économie sociale et solidaire. Selon Asma Khadija, cette association est bien plus qu’un simple réseau, car elle offre aux entrepreneurs africains un espace d’expression, de formation et de mise en relation avec des investisseurs potentiels. En tant que responsable des relations presse, elle explique : « Mon rôle est de promouvoir et de mettre en lumière les activités de l’association, notamment à travers le salon Link Sunugal, une initiative européenne visant à faire connaître et relier les entrepreneurs africains aux réseaux de la diaspora. » Elle a pour objectif de « vendre la destination Sénégal et de relier les entrepreneurs locaux avec notre diaspora. »
Le Sénégal, une terre d’opportunités
« Le Sénégal est un pays magnifique où tout est à faire », insiste Asma. Selon elle, le Sénégal possède « des ressources et des talents ; ce qu’il nous faut maintenant, c’est l’implication de la diaspora pour un développement durable et prospère. » Avec IBC, elle compte apporter sa pierre à l’édifice en encourageant les jeunes à s’engager dans des formations qui les aideront à se spécialiser et à relever les défis internationaux. Elle pense que le Sénégal pourrait mieux combattre l’immigration clandestine en offrant aux jeunes une alternative sérieuse. En ce sens, IBC, à travers elle, a pour mission de montrer aux jeunes que « le Sénégal peut devenir l’Eldorado que nos jeunes recherchent en Europe » et que « la réussite est possible ici. »
Asma, ambassadrice d’IBC
Asma espère que Link Sunugal pourra servir de modèle pour d’autres pays d’Afrique, car il est censé inspirer la diaspora à investir dans leur terre natale et à bâtir un avenir meilleur. Incarnant la détermination et la vision d’une Afrique forte et solidaire, Asma, avec IBC, travaille à transformer le rêve d’une diaspora engagée qui contribue à la prospérité de tout un continent. Selon elle, « les financements sont orientés vers des projets économiques et productifs, permettant ainsi de construire des bases solides pour les entrepreneurs locaux. » Asma est convaincue que cette tournée, une première pour IBC, représente une opportunité unique pour créer un réseau d’échanges durable, au bénéfice des entrepreneurs et des communautés africaines.
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