CULTURE A LA UNE
CENTRAFRIQUE : Il était une voix, Lydie Pace

Lydie Pace, cantatrice soprano dramatique et ambassadrice de la Paix, cette voix d’origine Centrafricaine, interprète les grands airs d’opéra de Bizet à Mozart en passant par Verdi et Wagner sous l’accompagnement de son pianiste Frédéric Prébolin. Après plusieurs tournées en Europe, en Asie et en Afrique, la lauréate du concours international des maîtres du chant français revient à BEAUNE pour donner un concert exceptionnel à La Lanterne Magique. Rejointe également par Noa, une jeune prodige du piano âgé de 8 ans, la chanteuse incarnera ses « Portraits de Femmes » tour à tour brillantes, émouvantes et fragiles qui impressionneront par sa maîtrise et sa justesse. Entretien avec la rédaction Ze-Africanews.
Ze-Africanews.com : Comment êtes-vous arrivée à la musique et la chanson ?
Je peux vous dire que d’une façon naturelle, j’ai toujours aimé chanter depuis mon enfance. Je chantais partout, comme d’autres jeunes filles dans la salle de bain, devant un miroir. Je rêvais d’être sur scène. C’est ma mère qui m’a donnée ce courage plus tard bien après mes études. J’étais mariée et à l’époque j’étais secrétaire dans un Lycée. Mais au fond de mon coeur j’avais un immense regret. Finalement, je me suis inscrite au conservatoire de musique afin d’apprendre à chanter. J’ai fait plusieurs conservatoires dont le conservatoire nationale de région à Rueil-Malmaison dans la classe d’Elisabeth Vidal et André Cognet ; des personnes formidables, talentueuses et humainement extraordinaires. Ils m’ont apportée beaucoup. J’ai travaillé aussi avec Jean-Pierre Blivet, un grand maître du chant, à je porte une grande admiration. Tous mes professeurs m’ont apporté quelque chose dans ma vie.
Ze-Africanews.com : Comment vous définissez-vous en tant qu’artiste ?
Je me définis comme une messagère de la paix. Je porte le nom de Lydie PACE qui signifie « la paix » en italien. Je suis française d’origine Centrafricaine, mes 5 enfants sont français et métisses, j’aime le mélange des cultures, je me considère comme une citoyenne du monde,sans frontières.
Ze-Africanews.com : Pourquoi ce genre musical ?
Pourquoi avoir choisi l’Opéra ?! au départ je voulais chanter juste la soul musique mais j’ai découvert l’opéra et la passion m’a ravagé, par la suite je ne me suis pas posé de question , j’ai découvert Verdi, Puccini, Massenet, Bizet, Bellini etc… et la musique classique m’a intéressé, je pense c’est une musique qui devra être écouté par un plus grand public.
Ze-Africanews.com : Pour vous chanson rime-t-elle avec recherche de justice sociale ?
Toute musique rime avec justice sociale, après je pense qu’on devrai pas mettre des barrière justement dans la musique sinon cela voudra dire que les peuple du tiers monde ou les personne du milieu sociale défavorisé sont interdit d’écouter ou même de s’approcher du certain genres musicaux. ou va t on.
Ze-Africanews.com : Selon vous la musique c’est un engagement ou une simple passion ?
Je pense de ma part que la musique est d’abord une passion ensuite en ce rend compte de son pouvoir sur les être humains elle peut consoler, déprimer, énerver, bouleverser quelqu un… elle devient un engagement par la suite. par exemple je suis la marraine de deux villages de pygmée Aka de la Lobaye en Centrafrique pour la construction d’une école pour 80 enfants. Cette passion me vient surement de ma mere je pense aussi du côté de mon père car une de mes tante Denise Toutouli chanter lors des places mortuaires de la famille en afrique. elle avait une voix de velour, malheureusement elle est décédée et elle me manque infiniment aujourd’hui.
Ze-Africanews.com : Pourquoi la musique comme simple moyen d’expression ?
La musique n’est pas pour moi un simple moyen d’expression, cela représente beaucoup pour moi. C’est ma vie
Ze-Africanews.com : D’où est née cette passion ?
Cette passion me vient de loin , toute petite je chantais et dansais dans la salle be bain, chez mes parents j’imaginais être sur scène et avoir un public devant moi. Plus Tard je découvre a la télévision un reportage sur marianne anderson une cantatrice afro américaine qui est contralto sa voix me bouleversa et j’ai su a et j’ai su a cette instant que je voulais faire ce métier.
Ze-Africanews.com : Que ressentez vous quand vous êtes devant le public et pourquoi ?
Lorsque je suis devant un public , les premiers instants je suis crispée et j’ai peur de perdre la voix que Dieu m’a donné. Je me demande si elle va sortir, ensuite je commence a chanté un air d’opéra de puccini ou verdi par exemple, le public l’applaudit et la je me rend compte de la chance que j’ai ensuite je prend plaisir au fur et a mesure que le le récital avance. je remerci ce public fidèle et qui vous donne de l’amour et une envie de ne pas abandonner ce métier passionnant mais difficile.
Ze-Africanews.com : Depuis quand êtes vous en France et pourquoi ?
Je suis en France depuis 1978, car j’ai suivi mes parents qui étaient des réfugiés politiques. Mon père était Ministre de l’Intérieur en République Centrafricaine et ma mère était directrice d’une école maternelle.
Ze-Africanews.com : Quel rapport avez-vous avec votre pays d’origine ?
Je garde un bon souvenir de ce pays magnifique au parfum de mon enfance, je vais régulièrement me produire là-bas en république Centrafricaine, J’ai même reçu des trophée et l’ordre du mérite centrafricain par le gouvernement centrafricain, j’en suis honorée et je suis toujours émue pour cette reconnaissance.
Ze-Africanews.com : Quelles sont vos perspectives d’avenir ?
Je viens de terminer mon album composé de grands airs d’Opéra qui sera mise en vente sur mon site officiel dès novembre 2011. J’incarne des femmes dans leurs complexités et l’amour qu’elles ont pour l’être aimé du malheur et la déception , un grand compositeur anglais christopher Lord m’a proposé le rôles d une reine africaine dans l’opéra Prometheus Bound, je prépare en mars prochain une date importante pour moi au théâtre municipal d’Autun dans le cadre du festival de musique de chambre un récital et enfin très prochaine mon site officiel sera mise en service, j’ai plein d’autres projets bien entendu je les savour au fur et a mesure je remerci Dieu de me permettre encore de continuer ce métier.
Ze-Africanews.com : Comment vous définissez-vous en tant que artiste chanteur?
Je me définis tout simplement comme une femme-artiste, mais aussi une épouse et mère de famille nombreuse, qui veut concilier son métier et surtout essayer d’être heureuse dans ce monde, en gardant les valeurs que mes parents m’ont inculqué, ainsi que la foi en Dieu.
Ze-Africanews.com : Un message à la jeunesse africaine ?
La jeunesse africaine et d’ailleurs doit garder espoir, ne jamais baisser les bras, se battre et gardant les valeurs de la vie, le respect, l’honnêteté et le travail, éviter tout excès, éviter les mauvaises tentations qu’on voit autour de nous, afin de poursuivre son rêve.
Ze-Africanews.com
CULTURE A LA UNE
CÔTE D’IVOIRE – “Superwoman Paris 2025”, quand des femmes de valeur réécrivent l’histoire

Les 13 et 14 septembre prochains, aura lieu à Paris la troisième édition de Superwoman. Né en Côte d’Ivoire en 2013 sous l’impulsion d’Amie Kouamé, fondatrice du média Ayana, cet événement célèbre les femmes africaines, y compris celles de la diaspora. La plupart d’entre elles bâtissent, transforment, inspirent et s’affirment loin des projecteurs.
Silence ! Elles travaillent
Depuis plus d’une dizaine d’années, Superwoman réunit des femmes pleines de rêves et d’idées, qui contribuent, à leur niveau, au développement de leur pays d’origine, souvent dans le silence. Au fil des années, l’événement a grandi pour devenir un espace panafricain incontournable, présent à Abidjan, Dakar, Douala, Kinshasa ou encore Paris. Ces femmes audacieuses n’hésitent pas à plonger dans la mare aux requins qu’est l’entrepreneuriat. Elles veulent, elles aussi, avoir leur mot à dire. C’est pourquoi elles figurent parmi celles qui entreprennent, innovent et créent des initiatives à fort impact. Curieusement, beaucoup préfèrent rester loin des caméras : le devant de la scène ne les intéresse pas.
Impacter, sans bruit
Cette année, le thème choisi est : “L’influence dans l’ombre”. L’événement entend mettre en lumière celles qui travaillent loin des réseaux sociaux et de la blogosphère. Pourtant, leurs actions ne sont pas moindres que celles qui occupent le devant de la scène. “On parle souvent des femmes qu’on voit. Trop rarement de celles qu’on écoute. Cette édition est dédiée à celles qui agissent, transforment, élèvent – sans bruit”, rappelle Amie Kouamé, fondatrice du magazine Ayana.
Superwoman : un cercle de confiance
Pendant deux jours, du 13 au 14 septembre 2025, les Galeries Lafayette Haussmann seront le cœur de ce grand rassemblement. Le premier jour proposera une demi-journée de talks, des ateliers et des rencontres. Ce sera l’occasion d’aborder des thématiques clés : la visibilité choisie, l’équilibre entre posture et alignement, le leadership féminin à l’ère des réseaux, ou encore la transmission des modèles africains sans pression. La seconde journée, le 14 septembre, sera marquée par “The Meet”, un after inédit organisé dans le cocon chaleureux du Maasaï. Pensé comme une extension vivante de la veille, ce moment offrira des repas partagés, des échanges libres et des conversations sans filtre. Un espace de sororité, loin du formalisme des conférences.
2025, l’année des superpouvoirs
En 2025, Superwoman franchit un cap : l’événement sera pour la première fois accessible en ligne, permettant à la diaspora et aux participants du continent de se connecter depuis partout dans le monde. L’affluence s’annonce importante : depuis sa création, Superwoman a déjà réuni plus de 500 participantes par édition, mise en place des programmes de mentorat et de coaching, et touché près de 2 millions de personnes en 2022 grâce au digital. Par ailleurs, l’événement soutient l’ONG AdoraDE, engagée dans la lutte contre le cancer du pancréas.
Ayana, pionnière du digital féminin africain
Superwoman Paris s’adresse à toutes celles qui cherchent un espace où l’on peut dire « je doute » sans perdre sa valeur : entrepreneures, leaders discrètes, jeunes femmes en quête de modèles ou simples curieuses. À l’origine de ce mouvement, Ayana, premier webzine féminin d’Afrique francophone, maintes fois primé (Meilleur Webzine de Côte d’Ivoire en 2021, Prix All Africa Leadership Féminin en 2019, Prix 35<35 en 2016). Depuis plus de dix ans, la plateforme valorise les parcours de femmes africaines inspirantes, et œuvre à former une génération tournée vers l’épanouissement et le succès.
Un rendez-vous à ne pas manquer
Plusieurs personnalités prendront part à cette édition, parmi lesquelles il y aura Dr Mafini Dosso, chercheuse associée à l’université de Johannesburg, économiste de l’innovation et présidente de l’OIITID, Ghislaine Samaké, directrice générale d’Ecobank en Guinée-Bissau, Diba Diallo, manager du rappeur ivoirien Didi B et experte en management dans les industries culturelles et créatives et, Ghislaine Mabiki Konaté, fondatrice et directrice de Conciergerie Privée, également business manager de l’artiste Youssoupha.
CULTURE A LA UNE
RD CONGO – “Tonga Mboka 2025” : Quand la diaspora congolaise se retrouve à Paris

Organisée par Congo Na Paris, la 7e édition du Salon socio-économique et culturel “Tonga Mboka” se tiendra les 27 et 28 septembre 2025 à l’Espace Charenton, dans le 12e arrondissement de Paris. Porté par l’ambition de bâtir “le Congo de demain”, cet événement s’impose comme un rendez-vous incontournable de la diaspora congolaise.
Une édition sous le signe de la transmission
En quelques années, “Tonga Mboka” est devenu un pilier de la scène diasporique congolaise. Plus qu’un simple lieu de rencontres, c’est un véritable mouvement collectif, un laboratoire d’idées pour imaginer et construire l’avenir des deux Congo – Kinshasa et Brazzaville. En lingala, “Tonga Mboka” signifie “construire le pays” : tout un programme. Durant deux jours, plus de 50 stands et 7 tables rondes réuniront une constellation d’acteurs : entrepreneurs, artistes, décideurs politiques, investisseurs, universitaires et étudiants. Le public pourra assister à des conférences inspirantes, participer à des ateliers pratiques, découvrir des expositions d’art, vibrer lors de concerts live, ou encore s’immerger dans des démonstrations culinaires et défilés de mode. Parmi les espaces thématiques phares, l’initiative “Finance ton projet” proposera des solutions concrètes de financement aux membres de la diaspora désireux d’entreprendre.
Une vitrine pour les talents congolais
La culture occupe une place centrale à Tonga Mboka. De la musique au cinéma, de la littérature aux arts visuels, la scène congolaise y déploie toute sa richesse et sa diversité. Des figures emblématiques comme des jeunes créateurs viendront non seulement célébrer cet héritage, mais aussi interroger les voies d’un renouveau culturel. À travers l’affiche de cette 7e édition transparaît une volonté forte : connecter le Congo au monde. À l’heure du numérique, cette ambition s’incarne aussi dans des plateformes interactives, permettant de suivre les débats en direct, poser des questions aux intervenants et prolonger les échanges sur les réseaux sociaux via Instagram, Facebook et TikTok, avec du contenu exclusif et des interviews inédites.
Un gala caritatif de solidarité
Autre temps fort du salon : une soirée caritative organisée en partenariat avec la Fondation Cédric Bakambu. Les fonds récoltés seront destinés à soutenir un projet éducatif et humanitaire dans l’Est du Congo. Cette soirée de solidarité sera aussi l’occasion de remettre les Prix de l’Espoir, qui récompensent des parcours inspirants, symboles de résilience et de réussite. Cette vision, portée par Charlotte Kalala, fondatrice de Congo Na Paris et initiatrice de Tonga Mboka, vise à rassembler les forces vives de la diaspora autour du développement du Congo, en misant sur l’unité, l’excellence et la créativité. Pour elle, le salon est “un espace où les rêves prennent forme et où les projets trouvent leur chemin vers la réalité”.

A LA UNE
SÉNÉGAL – “Éternelle”, somptueux chant d’amour inclusif de Jahman X-Press

Jahman opère un virage acoustique avec “Éternelle”, une musique qui mêle agréablement amour et inclusion, tout en harmonie. Le clip, disponible sur YouTube, fait déjà un carton. Pleine de poésie, cette chanson parle à toutes les sensibilités.
Éternelle, plus que des notes d’amour
L’amour est un sujet intemporel, inoxydable. Ce filon musical, surexploité par les artistes, peut parfois lasser les uns et les autres, et puis, bien souvent, on a le sentiment d’entendre des redites continuelles, comme une longue litanie. Chanter l’amour peut paraître facile au premier abord, cependant c’est une entreprise bien risquée. Jahman s’y est essayé. Et, après l’avoir écouté, on peut affirmer sans risque de se tromper qu’il a réussi. En effet, “Éternelle” réinvente la déclaration sentimentale. Il dit autrement ce que nous avons pris l’habitude d’entendre de sorte que ça nous paraît banal. Ici, il n’est pas seulement question d’un hommage à l’amour romantique, mais d’une ode, une ode à un sentiment intemporel et universel, qui unie fermement toutes les âmes – les unes aux autres. Il faut écouter cette chanson, pas seulement par son originalité. Il y a tout un programme; car dans ces notes, il y a une démarche artistique et sociale audacieuse. Pourquoi ? Ou plus précisément comment ? allez-vous me rétorquer. Jahman, dans cette chanson, intègre la langue des signes dans son clip. En le faisant, il rend, d’une part, un vibrant hommage à la communauté des sourds et muets, mais, par ce geste inclusif, il témoigne de sa volonté de faire de sa musique, de cette musique, un langage universel, un pont entre les cœurs, bien au-delà des barrières physiques ou culturelles. “L’amour, essence même de mon message, n’a pas besoin de mots pour exister”, affirme-t-il. On ne saurait mieux le dire.
Une vision artistique au service de l’humanité
Dans ce nouvel opus “Éternelle” – c’est au féminin –, Jahman parle d’amour. Cependant, il ne tombe jamais dans les clichés. Aussi, depuis le début de sa carrière, il s’est imposé comme un artiste original, une figure engagée, un défenseur de la liberté d’expression et des valeurs humaines. Avec “Éternelle”, déjà disponible sur les plateformes de téléchargement, l’artiste vient de franchir un cap, en ajoutant les minorités dans son combat. Dans ce texte, principalement en wolof, l’artiste emprunte les sentiers de l’inclusivité, et par ricochet de l’intégration sociale et de la richesse des différences. Dans ce clip, l’amour se conjugue en gestes, en regards et en émotions. Un beau triptyque. Pas vraiment besoin de phrasé pour comprendre, à la base, le message ; car, les signes se suffisent à eux-mêmes. Ce choix artistique démontre la capacité de Jahman à faire de son rap un outil d’éducation, de sensibilisation et de transformation sociale.
Jahman, figure incontestable du hip-hop sénégalais
À un moment donné de sa carrière musicale, tout artiste ressent un besoin d’explorer de nouvelles possibilités, de nouvelles choses, de nouvelles sonorités. Pour certains, il s’agit de revenir aux sources, aux racines de ses inspirations de départs. Par contre, pour d’autres, c’est un besoin inexpliqué de célébrer l’amour, gage d’une société harmonieuse et épanouie. Jahman choisit de s’inscrire dans le second volet : chanter l’amour pour tout le monde dans un langage imprégné d’une certaine universalité : la langue des signes. Ce chant en wolof traduit la volonté de l’artiste de ne pas se départir de ses racines, d’ancrer sa musique dans les réalités locales et de la rendre accessible à toutes les couches sociales. Jahman, c’est une voix, qui, comme une racine solide, s’enfonce dans les entrailles de cette terre nourricière qui est la terre africaine. C’est de cette sève-là que se nourrit ses chansons. Avec son flow unique et son timbre de voix si caractéristique, il allie dans “Éternelle” un message fort qui parle à toutes les couches sociales. C’est presque une nouveauté dans la musique sénégalaise. En faisant cela, il peut conquérir un public diversifié, aussi bien au Sénégal que dans la diaspora. “Éternelle” s’inscrit dans cette trajectoire, mais avec une touche particulièrement universelle, destinée à toucher toutes les sensibilités.
Éternelle, une chanson pour la postérité
Dans un univers musical souvent marqué par des thèmes répétitifs et des messages parfois superficiels, Jahman détonne avec ce nouveau single “Éternelle”. Cette chanson est partie pour s’inscrire durablement dans les consciences. “Éternelle”, plus qu’une simple chanson, est une leçon d’humanité, un appel vibrant à l’unité et à l’amour inconditionnel. Jahman, sans jamais se départir des thèmes qui lui sont chers, nous rappelle que l’art peut être un outil puissant pour construire des ponts et abattre les murs. Éternelle est une musique qui nous invite à dépasser les apparences et à embrasser ce qui nous relie tous : le cœur.
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