CINÉMA
NIGER – Rahmatou Keïta au festival du film de Rotterdam 2017.
La cinéaste Rahmatou Keïta était au Festival international du film de Rotterdam (IFFR) le 6 février 2017 pour la projection de son film Zin’naariyâ! (The Wedding Ring)
« C’est un super festival ! Les projections sont top, il mettent les films en valeur, ils sont accueillants, reconnaissants et respectueux. Ils sont a votre service et au service des œuvres. Ils vous vous font sentir à longueur de journée qu’ils qu’ils sont honorés de vous avoir et vous le disent chaque fois que l’occasion se présente… J’y ai passé de très bons moments et j’ai eu grand plaisir d’y être, en cette année 2017. «
A noter que le film était hors compétition, dans la section « Voices ».
CINÉMA
MAROC – Le Maroc est à l’honneur à la 76e édition du festival de Cannes par Asmae el moudir
Maryam Touzany, en tant que membre du jury officiel du 76e Festival de Cannes, jouera un rôle clé dans l’évaluation et la sélection des films en compétition. En tant que membre du jury, elle apportera son expertise, son point de vue et son jugement éclairé pour déterminer les lauréats dans différentes catégories. La participation de Maryam Touzany en tant que membre du jury souligne l’importance de la diversité et de la représentation dans le processus de sélection du Festival de Cannes.
Les 4 films soutenus par les «Ateliers de l’Atlas» sélectionnés :
1.Asmaa EL MOUDIR – La mère de tous les mensonges :
Ce film, réalisé par Asmaa El Moudir, est présenté dans la sélection officielle du 76e Festival de Cannes. « La mère de tous les mensonges » explore les thèmes de la vérité, de la manipulation et des conséquences qui en découlent. Le film plonge les spectateurs dans une histoire captivante où les mensonges d’une mère ont un impact profond sur la vie de sa famille et de son entourage. À travers une narration puissante, le film aborde des questions universelles sur l’intégrité, la confiance et la responsabilité.
2. Faouzi BENSAIDI – Déserts :
« Déserts », réalisé par Faouzi Bensaidi, est un autre film marocain sélectionné dans la catégorie officielle du Festival de Cannes. Ce long métrage explore les thèmes de l’isolement, de la quête d’identité et de la recherche de sens dans un monde moderne complexe. Le film suit le parcours d’un protagoniste confronté à des déserts physiques et émotionnels, luttant pour trouver sa place dans un environnement en constante évolution. Avec des paysages magnifiques et une réflexion profonde sur l’existence humaine, « Déserts » promet une expérience cinématographique intense et introspective.
3. Kamal LAZRAQ – Les Meutes :
« Les Meutes », réalisé par Kamal Lazraq, est un film marocain sélectionné dans la catégorie officielle du Festival de Cannes. Ce film aborde des thèmes sociaux et politiques contemporains en explorant les dynamiques de groupe et les mouvements collectifs. À travers une narration puissante et provocatrice, le réalisateur met en lumière les tensions, les aspirations et les luttes qui émergent au sein des meutes, symbolisant ainsi les dynamiques sociales complexes de notre époque. « Les Meutes » offre une réflexion profonde sur la nature humaine, les aspirations individuelles et le pouvoir des mouvements collectifs.
4 .Zineb WAQRIM – Ayyur :
« Ayyur », réalisé par Zineb Waqrim, est un autre film marocain présenté dans la sélection officielle du Festival de Cannes. Ce long métrage explore l’histoire d’une jeune femme confrontée à des traditions patriarcales et à des contraintes sociales dans un contexte rural. À travers son parcours de résilience et d’émancipation, le film aborde des thèmes tels que la liberté individuelle, l’égalité des genres et la quête de son identité. « Ayyur » offre une perspective unique sur les défis auxquels sont confrontées les femmes marocaines et la recherche de leur propre voix dans une société traditionnelle.
CINÉMA
AFRIQUE – Deux films africains à l’honneur au Festival de cannes
Le 76e Festival de Cannes a annoncé le 13 avril dernier les films choisis pour participer à sa compétition officielle. Deux productions africaines ont été retenues pour tenter de remporter la Palme d’Or de cette édition qui se tiendra du 16 au 23 mai prochain.
Deux films africains ont été sélectionnés pour essayer de remporter la Palme d’Or au festival de Cannes. L’information a été rendue publique lors de l’annonce officielle des
19 films seront en lice pour décrocher la 76e palme d’or du festival de cannes prévu du du 16 au 23 mai prochain. L’Afrique n’est pas en reste avec deux films sélectionnés. Parmi eux, on retrouve « Banel et Adama » de la cinéaste franco-sénégalaise Ramata-Toulaye Sy (photo), et « les filles d’Olfa » de la Tunisienne Kaouther Ben Hania. Tourné en langue pulaar, variété du peul principalement parlée au Sénégal, avec une équipe majoritairement sénégalaise, Banel et Adama semble accorder beaucoup d’importance à l’identité qu’elle véhicule.
Les filles d’Olfa un documentaire qui suit les tumultes de la vie d’une femme dont les deux filles adolescentes se radicalisent et rejoignent l’organisation terroriste Daesh en Libye.
« Les regards se tournent davantage vers l’Asie depuis une vingtaine d’années, avec d’autres pays comme le Japon, et maintenant vers l’Afrique parce que c’est de là que viennent un certain nombre de jeunes cinéastes d’Afrique du Nord, d’Afrique de l’Est, d’Afrique anglophone ou d’Afrique subsaharienne, comme le Sénégal qui est en compétition », explique Thierry Fremaux, directeur du Festival de Cannes.
Les deux réalisatrices ne sont pas les seules à représenter le continent africain. Le Soudanais Mohamed Kordofani, le Congolais Baloji Tshiani, ainsi que les Marocains Kamal Lazraq et Asmae El Moudir ont également été retenus dans la section « Un certain regard » de la sélection officielle dédiée aux jeunes talents et à l’innovation.
CINÉMA
MARODI/KALISTA – La scénariste Kalista Sy fait condamner la maison de production Marodi
Marodi a été condamnée à payer 21 millions de francs CFA à la réalisatrice et scénariste Kalista Sy. Cette dernière, Khadidiatou Sy à l’état civil, est connue pour avoir écrit les premières parties de la série à succès «Maîtresse d’un homme marié» avant de rompre les amarres avec la maison de production.
Les Échos, qui donne l’information, précise que la décision a été prononcée par le tribunal du commerce statuant publiquement et contradictoirement en matière commerciale et en premier ressort. Le journal ajoute que l’audience a été présidée par Pape Diabel Ndir assisté de Ibrahima Sow et Ramatoulaye Sané Ba.
Kaliste et Marodi se sont séparés alors Maîtresse d’un homme marié était au zénith de son succès. Les Échos signale que d’aucuns croyaient à une rupture à l’amiable alors que la fin de leur collaboration avait débouché sur un procès suite à une plainte de la réalisatrice devant la première chambre.
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