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SCIENCE & TECH

RWANDA : La première usine de smartphones bientôt !

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Paula Ingabire, ministre des TIC et de l’innovation, a annoncé au Comité parlementaire sur l’éducation, la technologie, la culture et la jeunesse que le Rwanda est sur le point d’ouvrir sa première usine de smartphones. L’exploitation de l’usine commencerait en avril de cette année.

Selon Paula Ingabire le pays était déjà en pourparlers avec Mara Group, une société panafricaine multisectorielle de services aux entreprises pour établir l’usine. Un groupe opère dans les secteurs de la technologie, des services financiers, de la fabrication, de l’immobilier et de l’agriculture.
En novembre 2018, Mara Group a annoncé que la Mara X serait fabriquée dans des usines à travers l’Afrique. Les premières usines de fabrication seront implantées au Rwanda et en Afrique du Sud.

La ministre Rwandais des TIC et de l’innovation a souligné qu’il fallait s’assurer que les téléphones intelligents soient abordables pour la population et que certaines mesures soient mises en place en conséquence : « Une fois que l’usine commencera à produire des smartphones, les gens paieront en plusieurs versements sur une période de 24 mois. Nous devons également travailler avec les entreprises de télécommunications pour trouver des moyens de réduire les prix d’utilisation d’Internet, ce qui stimulera la pénétration des TIC et les services numériques« , a-t-elle ajouté.

La construction de cette usine de smartphones permettrait d’augmenter le nombre de personnes connectées à Internet et aux services numériques au Rwanda. Cela créerait également des possibilités d’emploi pour les gens, ce qui aurait à son tour un impact positif sur leur économie.

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TÉLÉPHONIE

GAMBIE – Adama Barrow confirme sa candidature à un 3e mandat en 2026

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Le président gambien Adama Barrow a officiellement confirmé son intention de briguer un troisième mandat à l’élection présidentielle prévue en 2026. L’annonce a été faite samedi dernier, lors d’une rencontre avec des représentants des communautés de l’Upper Niumi et du Jokadou.

Affichant une posture ferme, le chef de l’État n’a pas manqué d’égratigner ses opposants, en particulier certains membres du parti UDP. Selon lui, ces derniers n’auraient pas contribué à la lutte contre l’ancien régime de Yahya Jammeh. « Ils n’ont pas donné un seul dalasi pour le changement. Aujourd’hui, ce sont eux qui veulent m’empêcher de me représenter », a-t-il déclaré. Dans un accès de colère, il a ajouté : « Parfois, j’ai du mal à dormir. Je jure devant Dieu que je vous ferai quelque chose de très grave. »

Ces propos, relayés par les journaux The Standard et The Gambia Journal, ont aussitôt suscité de vives réactions. Plusieurs organisations de la société civile, dont le Centre Edward Francis Small pour la recherche et la justice, ont exprimé leur inquiétude face à une possible dérive autoritaire. Dans un communiqué, elles ont exhorté le président Barrow à renoncer à une nouvelle candidature, arguant qu’un troisième mandat risquerait de fragiliser davantage le processus démocratique et d’alimenter les tensions internes.

Malgré ces appels, Adama Barrow reste déterminé. Il affirme que la Constitution gambienne ne limite pas le nombre de mandats présidentiels, ce qui, selon lui, lui donne pleinement le droit de se présenter à nouveau devant les électeurs.

Crédit photo : State House of The Gambia

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SCIENCE & TECH

SENEGAL – Technologie nucléaire : un plan stratégique ambitieux pour 2025

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Le Sénégal a l’ambition d’être un “hub incontournable du nucléaire civil, du numérique et du spatial” en Afrique de l’ouest, a réaffirmé, mardi, le ministre de l’Enseignement supérieur de la Recherche et de l’Innovation, Abdourahmane Diouf, évoquant les atouts dont dispose le pays à travers l’Institut de technologie nucléaire appliquée (ITNA), rattaché à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar.

‘’Nous sommes en train d’identifier toutes les filières orphelines qui vont être nourris par le financement pour donner des bourses doctorales”, a d’abord annoncé le ministre.

Selon Abdourahmane Diouf, cet engagement permettra de disposer dans les prochaines années “des ressources humaines de qualité, pour qu’on soit à la pointe du progrès en Afrique francophone en termes de recherche, d’innovation, du spatial et du nucléaire civil’’ .

Il prenait part à un séminaire de quarante-huit heures portant sur la promotion des applications pacifiques des technologies nucléaires et l’élaboration d’un plan stratégique pour l’année 2025 de l’Institut de technologie nucléaire appliquée.

Des experts nationaux et internationaux, des chercheurs et professionnels de divers secteurs prennent part à cette rencontre qui a pour parrain l’ambassadeur de la République de Corée à Dakar.

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La principale finalité de ce séminaire réside dans sa volonté de démontrer que le nucléaire n’est pas exclusivement réservé au domaines militaire et énergétique, a-t-on appris des organisateurs. Ils ont relevé que le nucléaire peut bel et bien servir dans d’autres domaines comme l’industrie, l’agriculture, l’environnement et la santé.

Le nucléaire peut nous valoir d’énormes satisfaction”, a expliqué le ministre de l’enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation,

En cela, il a fait part de l’engagement des plus hautes autorités de faire de l’ITNA “le socle et l’emblème du nucléaire au Sénégal compte tenu de son potentiel et celui de ses acteurs”.

Il a par ailleurs invité la République de Corée à travers son ambassadeur présent à la cérémonie, à une coopération avec le Sénégal dans le domaine du nucléaire de la même intensité que dans d’autres domaines comme l’agriculture.

En travaillant ensemble, nous pouvons libérer tout le potentiel des applications nucléaires pacifiques pour le bénéfice de tous nos peuples”, a martelé le diplomate coréen Hyuk-Woon Kwon.

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Il a toutefois affirmé que son pays reste attentif aux propositions des partenariats de priorité, comme le Sénégal, pour renforcer et approfondir la coopération bilatérale dans le développement.

L’ambassadeur a également plaidé pour une actualisation de la gouvernance de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

Cette perspective devrait aider à une meilleure en compte des besoins des pays en voie de développement dans le domaine nucléaire, a-t-il expliqué.

Sources – aps – KM/SMD/OID

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TÉLÉPHONIE

SÉNÉGAL – Ombre Zion au Centre Curial

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Ombre Zion ! Ce nom se dit toujours avec une certaine mélodie dans la voix. Pour vous faire une idée de ce je dis, faites un tour le samedi 12 octobre 2024, au Centre Curial, à Paris, à 19 heures : il va y donner un concert.

Ombre Zion, une pépite inoxydable
Le rap galsen a le vent en poupe. Tous les jours, une pépite vient couvrir de son éclat ces prédécesseurs. Mais, il y a des pépites inoxydables, dans le rap sénégalais, continuent de bousculer les codes et de transcender les frontières musicales. Parmi eux, un nom assez atypique se démarque. C’est un artiste éclectique qui fait vivre la musique africaine hors de son pays; cet artiste, haut en couleur : il se nomme Ombré Zion. Aussi donnera-t-il un corps dans la capitale parisienne que nous attendons tous avec une grande impatience.

Ombré Zion, enfant de Pikine bercé par le reggae
Ombre Zion est né à Pikine, une banlieue animée de Dakar. Très jeune, il est bercé par la musique reggae qui le fascine. Dans cet univers musical qui ressemble fortement aux rues de Kingston, il va être imprégné la musique de Bob Marley, qu’il présente comme son idole. Cette rythmique revendicatrice va le convaincre de prendre le micro et de chanter ce qui lui passe dans les tripes.

Les premiers pas artistique, suprem Kaddu Magg
C’est au collège, en 1994, que l’artiste s’engage vraiment dans la musique. Avec des amis, il crée le groupe Suprem Kaddu Magg avec principalement Léon Bassène (Jahman) et Amboure Kanté (Tekan). Leur style est assez débridé puisqu’ils s’adonnent à un ensemble de style qu’il n’est pas commun de voir à l’époque. Du reggae à la soul, en passant par le hip hop, ils font musique de tout ce qui leur tombe dans la tête devant un micro. C’est justement pendant cette période d’un style musical que Ombre Zion travaille son style, sa voix.

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Une carrière solo prometteuse
Comme la plupart des artistes qui veulent s’exprimer, faire entendre leur voix, il décide, en 2005, de d’entamer carrière solo. Mais avant de se frotter à la scène en tant qu’artiste indépendant, il va faire de nombreuses collaborations qui vont lui permettre de taper dans l’œil du public et de nombreux artistes. Il participe à de nombreux projets, tant nationaux qu’internationaux, et de partager la scène avec des artistes de renom. Cela lui vaut la reconnaissance de ses pairs. Il a collaboré avec des artistes comme Stromae, Tabo Conbo, les Morgan Heritage, Julian Marley, Mutabaruka, Tiken Jah, Takana Zion, Ismaël Isaac… À voir toutes ses collaborations où figurent un grand nombre d’artistes reggae, n’allez surtout pas croire qu’il se limite à ce style musical. Une contribution au patrimoine musical sénégalais. J’oubliais, il a aussi coécrit un titre pour le dernier album « MBALAKH » de la légende Youssou Ndour, témoignant ainsi de sa polyvalence artistique.

P-Zion et Ombre Zion

Un parcours international impressionnant
Convaincu de son talent et sûr de lui-même, il sort en 2016 un premier album de quatorze titres intitulé « 2016 Dougnou Laal Wethiet » “qui a été bien accueilli par le public reggae et hip hop”, ce sont ces mots. Dans cet album, il parle des problèmes sociaux que vivent les Sénégalais qui sont laissés pour compte par les gouvernants. En 2020, c’est l’EP “Rude Boy Inna Capital” qui assoit vraiment sa carrière en confirmant sa place sur la scène internationale, comme un artiste capable de bousculer les codes. En 2023, il revient avec un autre EP de six titres, plus coloré que le précédent, “Calendar” où morceau à son style, sa vibe. Ceci fait de Ombre Zion un artiste inclassable qu’on ne saurait confiner dans aucune case – musicalement parlant, bien entendu.

Un artiste engagé et reconnu
Ombre Zion n’est pas seulement un artiste, il est aussi un mentor et un juge respecté dans plusieurs compétitions de chant et de danse, contribuant à l’émergence de nouveaux talents au Sénégal. Sa participation en tant que jury au concours “Happy Vac” et à la compétition Hip Hop « Lns » témoigne de son engagement envers la scène musicale locale. Son talent et son authenticité lui ont permis de s’imposer comme une figure incontournable de la scène musicale africaine autant dans le reggae que dans le dancehall.

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