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RWANDA : Louise Mushikiwabo désignée secrétaire générale de la Francophonie.

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L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a nommé à sa tête la Rwandaise Louise Mushikiwabo, ce vendredi 12 octobre 2018 à Erevan, en Arménie. « Je suis venue à Erevan rwandaise, africaine, je repars francophone », a réagi la nouvelle secrétaire générale désignée de l’institution. Ci dessous son discours publié par Rwanda Today :

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AFRIQUE

RD CONGO – Marche de partis de la majorité pour dénoncer l’« agression rwandaise »

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À Kinshasa, une mobilisation politique s’est tenue pour dénoncer la poursuite des violences dans l’est de la République démocratique du Congo et exiger le retrait du mouvement rebelle M23 ainsi que des forces rwandaises accusées de le soutenir. En treillis militaire, béret rouge sur la tête et drapeau national noué autour du cou, Sylvain Mutombo, leader du RDT, a conduit les militants de son parti dans les rues de la capitale, appelant à l’unité nationale face à ce qu’il qualifie d’agression étrangère.

Au cours de la marche, les manifestants ont interpellé les États-Unis, leur demandant de veiller au respect des engagements pris dans le cadre des discussions internationales. Pour Sylvain Mutombo, il s’agit de défendre la souveraineté nationale par des moyens politiques, diplomatiques et légaux afin de mettre fin aux exactions attribuées au M23 dans l’est du pays.

Parmi les participants, Micheline, serrant contre elle une effigie du chef de l’État, a exprimé un message sans ambiguïté : elle appelle le président rwandais Paul Kagame à retirer ses troupes et à laisser le Congo vivre en paix, affirmant que, malgré les épreuves, le pays restera uni.

La marche s’est achevée dans l’enceinte du Parlement par un bref rassemblement. Par la suite, un comité restreint conduit par André Mbata, secrétaire permanent de l’Union sacrée, a entamé une démarche diplomatique. Des mémorandums ont été remis successivement aux ambassades belge et américaine, ainsi qu’à la nonciature, afin de demander à la communauté internationale de traduire ses engagements en actes concrets pour faire cesser l’agression et obtenir le retrait effectif du Rwanda.

Toutefois, la mobilisation est restée limitée, marquée par l’absence de plusieurs partis de la majorité présidentielle. Dans l’opposition, la coalition Lamuka a qualifié l’initiative de « mobilisation au rabais », estimant que l’enjeu sécuritaire exigeait une réponse politique plus large et plus inclusive.

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AFRIQUE

CÔTE D’IVOIRE – Le RHDP favori, le PDCI en quête de remobilisation pour les élections législatives

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À l’approche des élections législatives en Côte d’Ivoire, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s’impose comme le parti le plus présent sur le terrain électoral. Il aligne le plus grand nombre de candidats, dont une large majorité de ministres en fonction et de figures majeures du parti. Du chef du gouvernement aux ministres des Eaux et Forêts ou de la Santé, les principaux cadres sont engagés dans leurs fiefs respectifs. Pour plusieurs observateurs, ces élections constituent un test politique majeur, dans un contexte où le président de la République souhaite impulser une transition générationnelle au sein de l’appareil d’État et du parti.

Favori du scrutin, le RHDP doit néanmoins composer avec une difficulté récurrente : la multiplication de candidatures indépendantes issues de ses propres rangs. Dans des régions stratégiques comme le Tonkpi à l’ouest ou la Bagoué au nord, ces dissidences fragilisent l’unité du parti. Le ministre Bruno Koné, lui-même candidat dans le nord du pays, a d’ailleurs appelé à la discipline et à la loyauté, afin d’éviter une dispersion des voix préjudiciable.

Face au RHDP, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) présente 163 candidats. Désormais dirigé par Tidjane Thiam, le parti doit aussi gérer des tensions internes. Des figures historiques, comme Maurice Kakou Guikahué à Gagnoa ou Olivier Akoto à Daoukro, se présentent en indépendants après avoir été écartées des investitures officielles. Après son absence remarquée à la présidentielle, le PDCI devra surtout mobiliser un électorat tenté par l’abstention.

Grand absent de ces législatives, le PPA-CI de l’ancien président Laurent Gbagbo a opté pour le boycott, dénonçant un climat politique qu’il juge délétère. D’autres acteurs majeurs de la présidentielle d’octobre ne sont pas non plus candidats, à l’image de Jean-Louis Billon ou de Simone Ehivet Gbagbo, même si son parti aligne une quinzaine de prétendants. Quant au FPI de Pascal Affi N’Guessan, il présente 21 candidats, sans son leader en tête de liste.

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INTERNATIONAL

GAZA – Plus de mille patients morts en attente d’évacuation médicale, alerte l’OMS

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L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a tiré, vendredi 19 décembre 2025, une nouvelle sonnette d’alarme sur la situation sanitaire dramatique dans la bande de Gaza. Selon les données communiquées par le ministère de la Santé de l’enclave palestinienne, 1 092 patients sont décédés entre juillet 2024 et le 28 novembre 2025 alors qu’ils attendaient une évacuation médicale. Un chiffre que l’OMS estime « probablement sous-évalué » au regard des conditions extrêmement dégradées sur le terrain.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a rappelé que depuis octobre 2023, plus de 10 600 patients atteints de pathologies graves ont néanmoins pu être évacués hors de Gaza pour recevoir des soins spécialisés. Parmi eux figurent environ 5 600 enfants nécessitant des prises en charge médicales urgentes, souvent vitales. Malgré ces efforts, l’organisation souligne que les besoins restent largement supérieurs aux capacités actuelles d’évacuation.

Face à cette situation, l’OMS exhorte la communauté internationale à intensifier son soutien humanitaire. Elle appelle notamment un plus grand nombre de pays à accepter l’accueil de patients gazaouis et insiste sur la nécessité urgente de rétablir les évacuations médicales vers la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est. Selon l’agence onusienne, ces corridors sanitaires sont essentiels et leur interruption continue de coûter des vies.

La crise humanitaire à Gaza demeure ainsi d’une extrême gravité. Les infrastructures de santé sont largement endommagées, le personnel médical épuisé et les pénuries de médicaments persistantes. Pour des milliers de patients, l’accès aux soins spécialisés reste hors de portée, transformant l’attente d’une évacuation en une question de survie. L’OMS rappelle que sans un accès humanitaire sécurisé et durable, la mortalité évitable continuera d’augmenter.

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