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JUSTICE

GUINÉE – Le président de la transition procède à une vaste nomination au sein de la Cour suprême

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Le président de la transition a procédé à une série de nominations au sein de la Cour suprême, la plus haute instance judiciaire du pays. Le décret y afférent a été lu à la télévision nationale ce dimanche 19 octobre. Il concerne notamment des magistrats du siège et du parquet, des conseillers, ainsi que des avocats généraux. Voici la liste des personnalités nommées et leurs fonctions respectives.

Siège

1. Premier Président, Monsieur Fodé Bangoura,

2. Président de la Première Chambre civile, Monsieur Yaya Boiro, précédemment Directeur du Service Documentation et Recherche de la Cour suprême,

3. Présidente de la Deuxième Chambre civile, Madame Mariama Doumbouya, précédemment Présidente de la Chambre administrative et constitutionnelle de la Cour suprême,

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4. Président de la Troisième Chambre civile, Monsieur Abdoulaye Conté, précédemment Premier Président de la Cour d’appel de Conakry,

5. Président de la Quatrième Chambre civile, commerciale et sociale, Monsieur Ibrahima Sory 1 Tounkara, précédemment Premier Président de la Cour d’appel de Kankan,

6. Président de la Chambre administrative et constitutionnelle, Madame Makoya Kamara, précédemment Conseillère à la Cour suprême,

7. Président de la Première Chambre pénale, Monsieur Saïdou Diallo,

8. Présidente de la Deuxième Chambre pénale, Madame Fatou Bangoura, précédemment Présidente de la Chambre à la Cour d’appel de Conakry,

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Conseillères et conseillers

Monsieur M’fa Ousmane Touré,

Monsieur Mamadouba Keïta,

Madame Mariam Baldé,

Monsieur Ibrahima Camara,

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Monsieur Mamadou Alpha Thiam,

Monsieur Ibrahima Damang,

Madame Djalikatou Fofana,

Monsieur Djeïla Barry,

Madame Hawa Daro Kourouman,

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Madame Madeleine Grovogui,

Monsieur Mohamed Cissé,

Monsieur Mohamed Lamine Camara,

Monsieur Abdourahmane Sylla,

Madame Néné Ousmane Diallo,

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Monsieur Amadou Kindy Baldé, précédemment Président de la Chambre criminelle de la Cour d’appel de Kankan,

Madame Djénabou Dongol Diallo, précédemment Inspectrice des services judiciaires,

Monsieur Mohamed Sylla, précédemment Directeur national des affaires criminelles et des grâces,

Madame Fatou Touré, précédemment Conseillère à la Cour d’appel de Conakry,

Madame Adama Sylla, précédemment Conseillère à la Cour d’appel de Conakry,

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Conseillers Maître

Monsieur Mohamed Check Keïta,

Monsieur Amadou Yéro Bah, précédemment Président de la Chambre des Comptes de l’État à la Cour des Comptes,

Monsieur Sékou Amadou Fofana, précédemment Président de la Chambre à la Cour des Comptes,

Monsieur Mouctar Bah, précédemment Président de la Chambre de Discipline budgétaire et financière,

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Monsieur Mamadou Falilou Diallo, Conseiller référendaire,

Monsieur Djanka Keita, précédemment Auditeur à la Cour suprême,

Parquet Général

Procureur général, Monsieur Sidi Souleymane Diaye, précédemment Avocat général, près de la Cour suprême,

Premier Avocat général, Monsieur Sidi Kanté, précédemment Avocat général, près de la Cour suprême,

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Deuxième Avocat général, Monsieur Mahamadou Dian Bora Diallo, précédemment Procureur général, près de la Cour d’appel de Kankan

Avocats généraux

Monsieur Ibrahima Sory Yansané, précédemment Président de la Deuxième Chambre pénale de la Cour suprême,

Monsieur Soriba Manet,

Madame Hawa Diallo,

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Madame Hadja Aissatou Cherif Diallo,

Monsieur Mohamed Lamine Diallo, précédemment Avocat général, près de la Cour d’appel de Conakry,

Madame Aissatou Siradjo Bah, précédemment Avocate générale, près de la Cour d’appel de Conakry,

Monsieur Ousmane Sané, précédemment, Avocat général, près de la Cour d’appel de Conakry,

Secrétaire général, Monsieur Hassan Diallo,

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Directeur du service de documentation d’études et de recherches, Monsieur André Safela Léno, précédemment Président de la Chambre à la Cour suprême,

Directeur adjoint du service de documentation d’études et de recherches, Monsieur Bademba Barry, précédemment, Directeur du fonds d’aide juridictionnelle,

Membres

Madame Rouguiatou Barry, précédemment, conseillère à la Cour suprême,

Madame Joséphine Sylla, précédemment, conseillère à la Cour suprême,

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Chef du greffe: Monsieur Akoye Goyepogui, précédemment greffier à la Cour suprême.

Source : guinee7

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JUSTICE

SÉNÉGAL – Aliou Sall placé en garde à vue dans une enquête pour blanchiment de capitaux

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Nouvelle arrestation dans l’entourage de l’ancien président Macky Sall (2012-2024).
Son frère cadet, Aliou Sall, ainsi que son épouse, ont été placés en garde à vue le jeudi 9 octobre au soir, dans le cadre d’une enquête ouverte par le pool judiciaire et financier sur de possibles faits de blanchiment de capitaux.

L’affaire trouve son origine dans un rapport de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif), qui a signalé des mouvements d’argent jugés suspects.
Ces flux financiers, liés à des opérations foncières, ont conduit le parquet financier à ouvrir une information judiciaire pour déterminer leur provenance et leur nature.

Selon les précisions de son avocat, contacté par RFI, les enquêteurs s’intéressent notamment à un virement de 240 millions de francs CFA enregistré sur le compte d’une société immobilière appartenant à Aliou Sall, ancien maire de Guédiawaye. Ce dernier a été interrogé sur l’origine de ces fonds, jugés « non justifiés » par la Centif.

Une série de convocations autour de l’ancien chef de l’État

L’interpellation d’Aliou Sall intervient dans un contexte de multiplication des poursuites visant l’entourage de l’ancien président.
La Centif a récemment transmis une quarantaine de dossiers au parquet financier, entraînant une vague de convocations et d’auditions.

Parmi les personnes citées figure Amadou Sall, fils de l’ancien chef d’État, soupçonné d’être impliqué dans des flux financiers irréguliers au sein de sociétés proches du cercle familial.
Autre nom évoqué : Madiambal Diagne, patron de presse et conseiller de Macky Sall, actuellement visé par un mandat d’arrêt international. La justice sénégalaise souhaite l’entendre dans une affaire de rétrocommission estimée à plus de 32 millions d’euros.

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JUSTICE

CÔTE D’IVOIRE – La PJ de San Pedro met la main sur un présumé meurtrier aux pratiques macabres

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La Direction générale du service régional de la Police judiciaire de San Pedro a interpellé un homme présumé meurtrier qui a été découvert en possession de crânes humains.

Lors de son audition, le mis en cause a révélé qu’il décapitait ses victimes avant de consommer une partie de leurs chairs.

Le téléphone de la victime mène à l’arrestation
Parmi ses victimes, l’une aurait été rencontrée le 23 juin sur un chantier. « Une dispute s’est engagée et il aurait pris le dessus sur cette dernière. Et après l’avoir terrassée, il lui aurait tranché la tête », a rapporté le commissaire principal Memel Fote Claude, chef de service régional de la police judiciaire de San Pedro.

Selon ce dernier, c’est le téléphone portable de la victime qui a trahi le suspect, car il avait reçu le dernier appel du numéro du défunt.

Les policiers, après avoir effectué une perquisition au domicile du prévenu, y ont découvert deux crânes humains ainsi que des armes blanches. L’individu sera mis à la disposition du parquet pour répondre des faits qui lui sont reprochés.

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JUSTICE

BURKINA FASO – Adama Bayala et Alain Traoré recouvrent la liberté après des mois de détention

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Après plusieurs mois d’incarcération ou de réquisition forcée, une dizaine de personnes ont recouvré la liberté mardi 16 septembre 2025. Parmi elles figurent deux journalistes bien connus du paysage médiatique burkinabè : Adama Bayala et Alain Traoré, dit « Alain Alain ».

L’information, d’abord relayée sur les réseaux sociaux, a été confirmée ce mercredi par RFI auprès de proches et de collaborateurs des deux hommes.

Adama Bayala, journaliste et chroniqueur de la chaîne privée BF1, est notamment reconnu pour sa participation à l’émission Presse Échos. Il avait été enlevé le 28 juin 2024 dans le quartier des 1 200 Logements, après avoir reçu de multiples menaces liées à ses prises de position critiques sur la situation politique et sécuritaire du pays.

Quant à Alain Traoré, animateur vedette de l’émission « Le défouloir » sur Radio Oméga, il avait été arrêté le 13 juillet 2024 par des agents de l’Agence nationale de renseignement. Son programme, qui donnait encore un espace de libre parole aux auditeurs et chroniqueurs, avait attiré l’hostilité des autorités.

Radio Oméga avait d’ailleurs été suspendue le 2 août dernier pour trois mois, à la suite de propos jugés « malveillants et discourtois » envers la junte militaire au pouvoir depuis bientôt trois ans.

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