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AFRIQUE DE L’OUEST

SÉNÉGAL – CONTRE LE PROCÈS SWEET BEAUTY : Oussouye, Mbour, Kolda, Sédhiou, boucliers de Sonko, appellent à la résistance  

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Pour sécuriser la candidature de Ousmane Sonko à la Présidentielle de 2024, des coordinations départementales appellent à la résistance. Ainsi, Sédhiou, Mbour, Kolda, Oussouye ont fini de servir de bouclier au leader de Pastef-Les Patriotes, ce weekend. 

Sweet Beauty, invalidation candidature Ousmane Sonko en 2024, 3e mandat, les Patriotes, sur Sud Fm, se braquent et crient à haute voix que « le Président Ousmane Sonko ne sera pas seul dans ces combats.

A Sédhiou face à la presse dimanche, les 14 communes ont élevé la voix. Pour le député Mouhamed Ayib Daffé, le peuple a choisi la voie du changement avec le signal fort des Législatives de 2022. Mais le régime de Macky Sall, dit-il, qui n’a rien tiré de ce changement, instrumentalise à tout-va la justice. Et tous ces Patriotes sont « décidés à faire face à cette forfaiture au risque et au péril de nos vies ».

Oussouye aussi dans les rangs met en garde le Président Macky Sall sur une éventuelle invalidation de la candidature de Ousmane Sonko.

A en croire ces Patriotes, Ousmane Sonko, candidat à la Présidentielle 2024, « c’est aussi l’espoir de la jeunesse sénégalaise. Et que tout acharnement sur lui cesse immédiatement. L’affaire Sweet Beauty ne pourra pas entraver sa candidature en 2024. Sonko restera le candidat de ce peuple et force restera à ce peuple qui a recouvré sa souveraineté ».

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Invalidant la candidature de Macky Sall, Les Pastéfiens sont « engagés et déterminés à faire face à toute dérive tendant à nuire leur leader Ousmane Sonko ».

Même son de cloche à Kolda où les Patriotes ont rassuré leur leader de leur soutien. Aussi prennent-ils à témoins l’opinion publique , la justice, les Khalifes généraux, pour dire que ce combat est loin d’être un combat juridique, « c’est un combat politique et un combat politique se gagne dans la rue ».

Et Mbour de prendre le relais annonçant la candidature de Sonko pour 2024, non sans prendre la précaution de lui servir de bouclier. Les femmes et jeunes de Pastef ont rabroué l’ex procureur avant de  mettre en garde le Président Macky Sall de ne point interdire leurs manifs sur toute l’étendue du pays. Mbour va aussi veiller sur les droits civiques de Ousmane Sonko « pour que ce procès Sweet Beauty n’ait pas lieu.

Source : Direct 28

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AFRIQUE

MALI – Le ministère français des Affaires étrangères tire la sonnette d’alarme sur la situation

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Le ministère français des Affaires étrangères a recommandé, ce vendredi 7 novembre 2025, à ses ressortissants de quitter temporairement le Mali « dès que possible », en raison d’une forte dégradation de la situation sécuritaire dans le pays.

Dans un communiqué publié sur son site, le Quai d’Orsay fait état d’un contexte « en nette détérioration », évoquant notamment « un blocus djihadiste qui asphyxie progressivement Bamako et plusieurs régions du pays ».

« Depuis plusieurs semaines, le contexte sécuritaire se dégrade au Mali, y compris à Bamako », précise le ministère, appelant les ressortissants français à « prévoir un départ temporaire dès que possible par les vols commerciaux encore disponibles ».

Le communiqué déconseille également tout déplacement par voie terrestre, soulignant que « plusieurs routes nationales sont devenues la cible d’attaques de groupes armés terroristes ».

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AFRIQUE

SÉNÉGAL – L’ancien président Macky Sall charge le nouveau régime : « Les Sénégalais sont déçus »

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À l’occasion de l’installation du Secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République (APR), ce jeudi 6 novembre 2025, l’ancien président Macky Sall est sorti de son silence pour adresser de vives critiques au régime en place.

Dans un discours lu par Me Sidiki Kaba, le fondateur de l’APR a dénoncé un pouvoir qu’il accuse de trahir les principes démocratiques et de faire reculer les acquis républicains obtenus, selon lui, « de haute lutte » par le peuple sénégalais.

« Nous vivons un temps nouveau dominé par l’avènement d’un type de pouvoir jamais expérimenté au Sénégal, marqué par une addiction à la violence destructrice et un déni des valeurs de l’État de droit », a fustigé l’ancien chef de l’État, estimant que « le nouveau pouvoir a déçu la majorité de nos compatriotes ».

Macky Sall affirme constater une atteinte croissante aux libertés démocratiques et une érosion des avancées institutionnelles bâties au fil des décennies. Selon lui, la République « se dérobe » et le modèle démocratique sénégalais, jadis « admiré dans le monde », s’effrite sous la conduite de ceux qu’il qualifie de « tenants d’un parti-État ».

L’ancien président dit observer avec « effarement » la multiplication de dérapages et dérives du nouveau régime.
Il prévient enfin que l’héritage qu’il affirme avoir laissé au pays ne saurait être effacé par « l’amateurisme » ou « une haine revancharde », qui, selon lui, conduisent à une paralysie et à une régression dans tous les domaines.

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AFRIQUE

SÉNÉGAL – Dette cachée : le FMI alerte sur une situation inédite

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« On n’a jamais vu une dette cachée de cette importance en Afrique », a déclaré Edward Gemayel, chef de mission du Fonds monétaire international (FMI) au Sénégal, à l’issue d’une mission de deux semaines à Dakar. Selon lui, l’ampleur de cette dette — estimée à près de sept milliards de dollars accumulés entre 2019 et 2024 sous l’administration de Macky Sall — explique la lenteur des discussions autour d’un nouvel accord de prêt.

Les négociations, entamées en août, devaient aboutir à la reprise du programme de financement du FMI suspendu depuis plusieurs mois. Mais la découverte de cette dette non déclarée complique le processus. « C’est ce qui retarde les choses », a précisé Gemayel au micro de RFI, tout en assurant que le FMI restait « pleinement engagé » à conclure un accord « dans les prochaines semaines ».

Parmi les conditions préalables exigées par l’institution, figurent la centralisation de la gestion de la dette dans un seul ministère et la publication des résultats de l’audit des arriérés. Le FMI souhaite également finaliser, avec la Banque mondiale, une analyse de viabilité pour déterminer si la dette du Sénégal reste soutenable.

En attendant, cette absence d’accord fragilise davantage la situation financière du pays. L’agence de notation Moody’s a déjà abaissé la note du Sénégal à trois reprises en un an, évoquant une trajectoire d’endettement « préoccupante ». Le ratio dette/PIB atteindrait désormais 132 %, un niveau record.

Pour le gouvernement sénégalais, il y a urgence : sans nouvel accord, l’accès aux marchés financiers internationaux restera limité, aggravant la pression sur les finances publiques et les réserves de change.

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