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EUROPE

FRANCE : Une pétition lancée pour alerter les autorités sur les « harcèlements » subis par la famille d’Aïssatou.

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La petition :

Le 30 octobre 2016, Aïssatou Sow, francaise d’origine sénégalo-béninoise, alors âgée de 21 ans, décède sous les coups de son ex compagnon. La colère, la tristesse et l’incompréhension ont alors régné en France et au-delà, son nom ayant même été apposé sur des abris de bus parisiens pour dénoncer les violences faites aux femmes.

Comment le criminel, déjà condamné pour des faits de violence et récidiviste, avait pu être remis en liberté, comment aucune mesure d’éloignement n’avait pu lui être imposée ?

Une marche blanche avait réuni près de 600 personnes pour dénoncer ces violences faites aux femmes, pour Aïssatou, et pour toutes les autres, pour qu’un jour, cela cesse.

Un collectif, #plusjamaisça, a vu le jour après cette marche, afin de sensibiliser et d’informer les jeunes générations, mais aussi afin d’aider les victimes.

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Jusqu’à présent, le cas de l’assassin d’Aïssatou n’avait pas été évoqué par le collectif, pour des raisons évidentes.

Pourtant, l’homme, originaire de Limeil-Brévannes, mis en détention provisoire à la prison de Fresnes, semble n’avoir en rien pris conscience de son acte et publie sur son compte Facebook des photos qui portent atteinte à la mémoire d’Aïssatou.

Il menace les amies proches de la jeune femme et insulte la juge d’instruction, sans qu’à aucun moment, rien ne soit entrepris pour le stopper dans ses actes insultants et irrévérencieux.

Nous demandons que ses publications sur les réseaux sociaux soient stoppées par l’administration pénitencière, que son portable lui soit retiré, et que le harcèlement sexiste, moral et psychologique dont il fait preuve à l’égard des proches d’Aiïssatou soit pris en compte et condamné rapidement.

Dans l’attente de son jugement, la famille et les proches amies d’Aïssatou ne devraient pas avoir à subir de telles ignominies de la part de celui qui a tué cette jeune femme.

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Le ministre de la justice et le directeur de la prison de Fresnes doivent prendre leurs responsabilités. Il faut que cela cesse, Plus Jamais ça!

Cette pétition sera remise à:
Ministre de la Justice
Directeur du centre penitencier de Fresnes

La vidéo de la pétition à signer :
Je suis Noël AGOSSA, oncle d’Aïssatou SOW. Je lance cette pétition pour alerter au sujet d’harcèlements que ma famille et les proches de ma défunte nièce subissons depuis quelques semaines, de la part du meurtrier d’Aïssatou.

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EUROPE

FRANCE – Histoire et mémoire : Paris rend trois crânes Malgaches

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Une cérémonie historique s’est tenue ce mardi au ministère français de la Culture à Paris : la France a restitué trois crânes malgaches, dont celui présumé du roi sakalava Toera, tué par les troupes coloniales en 1897. Cette restitution s’inscrit dans le cadre de la loi de 2023 sur la restitution des restes humains, marquant une première depuis son adoption.

Peu avant 10 heures, les coffres contenant les crânes ont été installés sur une table face aux invités. Celui du roi Toera était recouvert d’un tissu rouge vif, tandis que les deux autres, appartenant à des guerriers sakalava, étaient couverts d’un tissu marron à rayures rouges. La cérémonie a débuté au son de chants traditionnels malgaches, dirigée par un descendant du roi Toera. Vêtu d’une tenue blanche traditionnelle, le prince a procédé à des rituels sacrés en aspergeant d’eau les boîtes funéraires, un geste symbolique destiné à apaiser les ancêtres avant leur retour sur la Grande Ile.

Rachida Dati, ministre française de la Culture, a souligné la portée symbolique de cet acte. « La cicatrisation permet de ne pas oublier, mais de ne pas être dans la rancœur », a-t-elle déclaré, rappelant l’importance de la lucidité sur l’histoire commune et la colonisation. « Nous le devons à notre jeunesse et à celle des pays avec lesquels nous avons une relation », a-t-elle ajouté.

La ministre malgache de la Culture présente à Paris a indiqué que les crânes seraient exposés à l’ambassade de Madagascar cette semaine, avant leur transfert officiel vers Madagascar prévu le 31 août. Cette restitution ouvre la voie à d’autres démarches similaires, renforçant les liens mémoriels et culturels entre les deux pays.

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EUROPE

FRANCE – Le président Emanuel Macron exclut toute nouvelle dissolution de l’assemblée nationale

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Depuis Washington, où il accordait un entretien à Paris Match, le Président français Emmanuel Macron a exclu toute nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale, réaffirmant sa volonté de poursuivre son mandat avec la majorité relative actuelle.

Le chef de l’État a rappelé la dissolution précédente, soulignant qu’une telle décision n’avait jamais été prise après une longue période sans alternance, soit huit ans de mandat continu sans perte de majorité, une situation inédite depuis le général de Gaulle. Il a reconnu la complexité de la situation parlementaire issue des élections législatives de l’été 2024, la qualifiant de reflet des « fractures du pays ».

Emmanuel Macron a appelé les responsables politiques à la collaboration, prenant pour exemple la coalition allemande autour du chancelier Friedrich Merz. Rejetant l’idée d’une cohabitation, même partielle, il a défendu le gouvernement actuel comme une coalition élargie mais cohérente, louant la solidité du plan économique de son Premier ministre François Bayrou.

« Le pays a vraiment besoin de stabilité », a-t-il insisté. À vingt mois de la fin de son mandat, le Président maintient le cap malgré les divisions internes au sein de son mouvement Renaissance, qu’il a minimisées. Il a également mis en garde contre toute tentative de déstabilisation politique, notamment concernant le budget 2026, dans un contexte international tendu.

Dans une Assemblée nationale fragmentée, où le Rassemblement national détient 123 sièges et la majorité présidentielle 91, Macron a fermement écarté l’option d’une nouvelle dissolution, insistant sur la capacité de son gouvernement à faire adopter le budget malgré les oppositions et la menace d’une motion de censure à l’automne.

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ECONOMIE

UNION EUROPÉENNE – Berlin soutient des représailles si Washington taxe les exportations européennes

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L’Union européenne (UE) prévoit d’imposer immédiatement aux États-Unis des droits de douane de 30 % sur des marchandises d’une valeur d’environ 100 milliards d’euros. Et ce, s’il n’y a pas d’accord et si le président américain met à exécution sa menace d’imposer des droits de douane de 30 % sur la plupart des exportations européennes après le 1er août, rapporte Bloomberg.
Dans le cadre d’une première vague de contre-mesures, l’UE combinera en un seul paquet une liste déjà approuvée de droits de douane sur des produits américains d’une valeur de 21 milliards d’euros et une liste précédemment proposée de produits américains supplémentaires d’une valeur de 72 milliards d’euros. C’est ce qu’a déclaré un porte-parole de la Commission européenne.

Les exportations américaines, qui comprennent des produits industriels tels que des avions Boeing, des voitures de fabrication américaine et du bourbon, seront soumises à des droits de douane équivalents au tarif de 30 % de Trump, indiquent des sources proches du dossier.

Toutefois, les tarifs douaniers n’entreront en vigueur le mois prochain que s’il n’y a pas d’accord et que les États-Unis mettent leurs menaces à exécution après la date limite d’août.

Cette nouvelle survient alors que les États membres de l’UE, dont l’Allemagne, ont durci leur position en réponse au durcissement de la position de négociation des États-Unis.

Berlin serait même disposé à soutenir l’activation du Mécanisme anti-coercition de l’UE, ou ACI, en cas de non-accord, a déclaré un responsable gouvernemental à Bloomberg. Cet outil ne serait activé qu’en cas d’échec de la conclusion d’un accord.

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L’ACI est l’outil commercial le plus puissant du bloc et un nombre croissant d’États membres réclament son application. Conçu principalement comme un moyen de dissuasion, il n’est actuellement pas à l’ordre du jour des négociations, nécessitant une majorité qualifiée d’États membres pour être activé.

L’ACI permettrait à l’UE de lancer une large gamme de mesures de rétorsion, notamment de nouvelles taxes sur les géants technologiques américains, des restrictions ciblées sur les investissements américains et une limitation de l’accès au marché de l’UE.

« Nous approchons désormais de la phase décisive du conflit tarifaire avec les États-Unis. Nous avons besoin d’un accord équitable et crédible, assorti de tarifs douaniers bas ». C’est ce qu’a affirmé pour sa part, mardi, le chancelier allemand, Friedrich Merz, après avoir rencontré le Premier ministre tchèque, Petr Fiala.

« Sans un tel accord, nous risquons de nous retrouver face à une incertitude économique à un moment où nous avons besoin exactement du contraire ».

Néanmoins, les pays sont actuellement favorables à la poursuite des négociations avec Washington, dans le but de trouver une solution à l’impasse avant la date limite du mois prochain.

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Source : leconomistemaghrebin.com

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