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POLITIQUE

SÉNÉGAL : Accusé de viol, l’opposant Ousmane Sonko parle de complot ourdi par le pouvoir

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L’opposant sénégalais et leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, est empêtré dans une sale affaire de viol et menaces de mort. C’est une jeune femme, une masseuse professionnelle au salon Sweet Beauty, du nom de Adji Sarr, 20 ans, qui a porté plainte contre le député. S’il reconnaît s’être rendu au dit salon de massage, Ousmane Sonko nie catégoriquement les allégations de la jeune dame et accuse à son tour le Président Macky Sall et son régime d’avoir ourdi un complot pour l’écarter des prochaines joutes électorales et dissimuler leur gestion nébuleuse du pays.

Le député sénégalais Ousmane Sonko est attrait devant la justice pour une accusation de viol et menaces de mort avec arme à feu. Le candidat malheureux à la dernière élection présidentielle dit n’avoir rien à voir avec « ces mensonges crapuleux ». Face à la presse, le dimanche 07 février 2021, il a apporté des éclaircissements sur les motifs de sa présence au salon Sweet Beauty. « Je donne ma version aux Sénégalais. Une version basée sur la vérité. Bon nombre de Sénégalais ne croient pas à cette affaire de viol. Ils disent que j’ai sorti deux pistolets pour menacer une personne. Pis, ils disent que je l’ai fait de manière répétée. Ce, dans un endroit où il y a plein de personnes. Les Sénégalais n’y croient pas », a-t-il déclaré avant d’ajouter : « D’autres se demandent par contre ce que je faisais dans cet endroit. Moi, des généralistes me suivent et quand on sera à l’endroit dédié, ils interviendront. L’orthopédiste qui me suit m’a souligné qu’il faut que je me soigne puisque la médecine est impuissante devant ce genre de maladie. Il m’a conseillé de faire de la natation, de faire du sport. Et, m’a-t-il dit, chaque fois que les douleurs reviennent, que je fasse des massages. Ce, depuis 2007. Je vis avec ces douleurs depuis ma plus tendre enfance. J’ai également été en relation avec un kiné à HLM Grand Médine, jusqu’à son départ du pays. En 2020, après une maladie, au mois de mars, j’avais envisagé de quitter le pays mais mes médecins m’en ont dissuadé et m’ont aussi déconseillé de faire une opération. De fil à aiguille, une connaissance m’a recommandé le fameux institut de massage ».

Ousmane Sonko révèle d’ailleurs que l’institut est sur vidéo surveillance, ce n’est donc pas là-bas qu’il irait, s’il voulait faire quelque chose d’illégal. « Je n’ai jamais eu d’écart de conduite là-bas. Au minimum, deux personnes assistaient à mes séances de massage. Ils disent que je venais à 21 heures mais il faut savoir que la loi m’autorise à sortir à 21 heures. Je suis venu, j’y ai vu des personnes, je les ai saluées et j’ai demandé à être massé par deux personnes en même temps puis que j’étais pressé. Je n’y ai passé que 10 minutes. Je demande donc aux Sénégalais, s’ils pensent qu’une personne comme moi, aussi traquée par l’Etat, j’irai dans une maison où il y a près d’une dizaine de personnes, une famille, des employés, des caméras de surveillance, pour y violer une personne plusieurs fois ». La patronne de l’Institut a été auditionnée par les limiers puis libérée.

Il estime donc que c’est un complot ourdi par le Président Macky Sall qui a peur de ses adversaires politiques. Selon lui, c’est quelqu’un qui ne se bat jamais avec des armes conventionnelles. C’est un complot qui vise à cacher sa gestion nébuleuse. Ousmane Sonko dit avoir reçu plusieurs fois des messages d’alerte de la part de ses proches qui voyaient les choses venir. Mais, il avertit que la partie ne sera pas facile pour les comploteurs. « Nous devons faire montre de la même détermination ou sinon plus. Notre moment de vérité est arrivé. Le combat s’annonce mortel. Le mot n’est pas de trop. C’est le prix qu’il faut payer. Cette confrontation peut commencer dès demain (aujourd’hui, ndlr). J’ai reçu une convocation qui m’a été amenée par un commandant. Après concertation avec mes avocats, nous avons décidé de ne pas déférer à la convocation », a-t-il indiqué, ajoutant : « Je ne déférerai pas à la convocation car la loi doit être respectée. Pour entendre un député, il faut passer par l’Assemblée nationale tant qu’ils ne feront pas cela, je ne répondrai pas à la convocation ».

A noter que le patron du Pastef a commis un pool d’avocats aussi célèbres que compétents. Il s’agit de Maître Bamba Cissé, Maître Demba Ciré Bathily, Maître Khoureychi Ba, Maître Joseph Étienne Ndione, Maître Ousseynou Ngom, Maître Ndoumbé Wone. Certains d’entre eux ont défendu l’ex-ministre Karim Wade condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) dans l’affaire de la traque aux biens mal acquis. D’autres ont assuré la défense de l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall condamné dans l’affaire de la Caisse d’avance de la Mairie de Dakar.

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Depuis l’annonce de cette plainte, le leader des Patriotes a reçu beaucoup de soutien de la part de ses camarades de l’opposition. Thierno Bocoum du parti AGIR, Barthélemy Dias, le maire de Mermoz Sacré-Cœur, Abdoul Mbaye de l’ACT et même Me Moussa Diop de AG/Jotna qui vient fraîchement de quitter la mouvance présidentielle, lui ont tous manifesté leur solidarité face aux manœuvres du régime. « La théorie du complot a encore de beaux jours devant nous, surtout en politique. Après avoir échangé avec mon frère Ousmane Sonko et écouté sa déclaration, je partage toute sa peine et marque toute ma solidarité à son égard dans cette affaire qui pue la manipulation injuste et le complot politique. La machine à éliminer les robustes et dignes têtes bien faites avant 2024 est en branle. Refusons énergiquement l’injustice crescendo. Mon pays va vraiment mal et ce n’est pas pour cela que je me battais en 2012 », a écrit Me Moussa Diop sur un post Facebook.
Par ailleurs, le journal « Les Echos », qui a été le premier à ébruiter l’affaire, est sous surveillance policière. En effet, le personnel a peur pour sa sécurité depuis vendredi. Le journal  annonce, dans sa livraison du jour, que le personnel fait l’objet d’appels téléphoniques de toutes sortes. « Certains pour savoir si nous mesurions la gravité de l’article qui a barré notre Une, d’autres pour nous traiter de tous les noms, allant même jusqu’à proférer des menaces et des insultes. Devons-nous faire de la rétention parce que simplement c’est Ousmane Sonko ? », se sont interrogés les journalistes.

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AFRIQUE DE L’OUEST

CÔTE D’IVOIRE – Ouverture du Parlement ivoirien : le Président de l’Assemblée nationale sénégalaise s’exprime

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C’était à Abidjan, le 20 janvier 2025. Plusieurs figures politiques de haut rang, dont le Président de l’Assemblée nationale sénégalaise, El Hadji Malick Ndiaye, étaient à cette session parlementaire. C’est dans une atmosphère fraternelle, mais empreinte de solennité que le le président de l’Assemblée nationale sénégalaise, invité d’honneur de cette session parlementaire, s’est exprimé.

Akwaba à l’ivoirienne
Le président Ndiaye était accompagné d’une délégation sénégalaise. Et, ćest avec de forte poignée de main et des embrassades que son homologue ivoirien, Adama Bictogo, a souhaité le traditionnel Akwaba, bienvenu, à lui et aux autres membres de sa délégation. Lorsque Malick Ndiaye a pris la parole, c’est dans un langage ponctué de métaphores et d’images, qu’il a profité pour saluer l’esprit d’accueil et d’hospitalité des Ivoiriens.

Appel à l’unité africaine Plaidoyer pour une Afrique unie
C’est dans un brillant discours que El Hadji Malick Ndiaye a mis en avant l’importance d’une coopération interparlementaire entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire. En effet, il a exhorté les deux pays à joindre leurs efforts pour faire face aux défis politiques et économiques de l’Afrique. « Lorsque la Teranga sénégalaise rencontre l’Akwaba ivoirien, c’est la célébration de nos valeurs communes de solidarité et de paix », a-t-il déclaré. Les rires et les applaudissements ont fusé lorsqu’il a comparé le thiéboudiène au célèbre attiéké ivoirien. Cette phrase très imagée a suscité une hilarité générale. Par ailleurs, le président Ndiaye n’a pas manqué de rappeler les liens historiques entre les deux pays depuis les indépendances. Il a aussi souligné la proximité de leurs leaders emblématiques, Léopold Sédar Senghor et Félix Houphouët-Boigny. « Nos deux nations partagent une unité de destins et doivent poursuivre sur cette voie, en renforçant leurs accords bilatéraux », a-t-il souligné, en référence aux récents partenariats scellés entre les deux États.

Plaidoyer pour la stabilité régionale
Dans quelques mois, la Côte d’Ivoire organisera l’élection présidentielle. Conscient du fait que les échéances électorales sont des moments cruciaux, le président de l’Assemblée nationale sénégalaise a insisté sur l’importance de promouvoir des élections apaisées et inclusives. Ce message de paix rejoint les propos d’Adama Bictogo qui au début de la session est allé dans le même sens. Adama Bictogo a annoncé l’examen de 25 projets de loi prioritaires dans des domaines clés tels que les droits humains, l’environnement et la fiscalité.

Une CEDEAO forte
El Hadji Malick Ndiaye a rappelé la nécessité de renforcer la coopération entre les parlements ouest-africains. En effet, dans le souci de bâtir une CEDEAO forte qui sera au service des populations, il faut que les États se serrent les coudes. Aussi, dans son allocution, a-t-il déclaré : « Nous devons transformer notre espace régional en une véritable communauté économique et humaine, capable de relever les défis sécuritaires et climatiques ». En outre, la participation du président de l’Assemblée nationale sénégalaise à cette session témoigne de son indéfectible soutien de réaffirmer les relations entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire. C’est porté par cette vision panafricaniste que le président du parlement Sénégal a affirmé son engagement et celui du Sénégal pour une intégration régionale réussie. Cette fraternité, magnifiée dans son discours, dit la nécessité de bâtir une Afrique unie et prospère, où les parlements jouent un rôle moteur. Sans nul doute, la session parlementaire ivoirienne marque un tournant décisif dans la consolidation des relations entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire.

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A LA UNE

GUINÉE-BISSAU – Umaro Sissoco Embalo à l’Élysée, la diplomatie en mode XXL

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Le 9 décembre 2024, le président de la République de Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embalo, a connu une semaine bien mouvementée dans la capitale française. Une halte à l’hôtel des Invalides, une participation à la réouverture symbolique de la cathédrale Notre-Dame, et pour couronner le tout, un déjeuner de travail avec Emmanuel Macron à l’Élysée. Le clou de sa visite parisienne. Non. De toute évidence, il n’était pas venu contempler (que) les gargouilles de Gargouilles de Notre-Dame fraîchement rénovées.

Deux pays, une priorité commune
Après une arrivée remarquée le samedi, on pourrait même dire qu’au nombre des chefs d’État à Paris, ce weekend, le chef d’État bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embalo, était l’invité “vedette” – bien entendu loin derrière Elon Musk (plus qu’un chef d’État) et Donald Trump. Il a serré les mains, fait des accolades, coulé quelques paroles dans les oreilles des uns et des autres, multiplié les rencontres officielles et officieuses. Lors de son déjeuner de travail avec Emmanuel Macron, il a tenu à rappeler à la France que la Guinée-Bissau existe bel et bien, même si elle n’est pas francophone. Mais après tout, on ne va pas chipoter pour un détail aussi futile. En effet, cette rencontre est la première du genre entre les deux dirigeants. Cela témoigne des liens solides qui unissent ces deux pays puisqu’ils vont au-delà des barrières linguistiques. On n’a pas besoin de parler la même chose pour se trouver des points de priorité stratégique pour le développement de secteurs clés dans chacun de nos pays.

France-Guinée-Bissau, Maître-mot: coopération
Lors de ce déjeuner, les discussions ont porté entre autres sur la transition énergétique, le renforcement des systèmes de santé et d’éducation, le développement culturel, ainsi que la sécurité régionale. Parmi les projets envisagés, la construction d’un lycée français en Guinée-Bissau représente une avancée majeure pour la jeunesse du pays. En effet, pour Umaro Sissoco Embalo, cette coopération bilatérale s’inscrit dans une logique de stabilité et de développement durable. De plus en plus, le président Bissau guinéen est très présent sur l’échiquier international depuis 2020. Président en exercice de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), Embalo est un interlocuteur s’affirme comme un interlocuteur de poids pour les partenaires occidentaux.

Embalo, non adepte de la langue de bois
Umaro Sissoco Embalo a une qualité, qui pourrait parfois devenir un défaut. Ce militaire de carrière est un vrai patchwork africain. Autant cela lui permet de ne pas passer inaperçu, autant cela peut être un obstacle en termes de diplomatie. Fils de caporal, descendant de lignées maliennes et guinéennes, Embalo incarne une Afrique aux identités plurielles. Franc, direct et sans filtre, son style tranche avec les codes diplomatiques traditionnels. Polyglotte, il jongle aisément entre le portugais, le français, l’anglais et l’espagnol, ce qui lui confère une aisance rare sur la scène internationale. Embalo assume pleinement cette singularité qui fait qu’il est presque impossible de se passer de lui lors des grandes rencontres, malgré la petitesse de la taille de son pays. D’où sa présence à Paris pour la réouverture de Notre-Dame et ses échanges avec Emmanuel Macron témoignent de cette ambition.

Discours huilés sur les coopérations bilatérales
Bien que la Guinée-Bissau ne soit pas un pays francophone, elle demeure un partenaire africain de premier plan pour la France. Ce déjeuner de travail à l’Élysée marque une étape importante dans le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. Pour Embaló, il s’agit non seulement de sécuriser des partenariats bénéfiques pour son pays, mais aussi de consolider sa stature de leader africain engagé sur les questions de stabilité régionale. Comme quoi ni la superficie d’un pays, ni le nombre de ses habitants ne constituent un obstacle : il suffit d’avoir du charisme, de la substance, comme Embalo.

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A LA UNE

SÉNÉGAL – Stefane Kabou, d’artiste à leader politique du Mouvement Sénégal Souverain (MSS)

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Au Sénégal, la frontière entre culture et politique est souvent très mince, et Stefane Kabou l’a parfaitement comprise. Il incarne parfaitement cette symbiose. Né à Dakar, il a d’abord fait ses armes en tant qu’acteur culturel. Mais, depuis quelques années, il semble avoir compris que la force vraie des États Africains doit résider dans ses actions, au demeurant souverainistes, à sortir de l’oppression occidentale en donnant la possibilité aux Africains de se prendre charge, sans un babysitting occidental. L’Afrique, agrégat de peuples désunis, doit devenir une réalité vivante, voilà en quelques mots l’ambition de ce mouvement.

Stefan Kabou sur la scène politique
Comme un fleuve qui suit son cours normal, Stefane Kabou est venu naturellement à la politique. Pendant de nombreuses années, il a multiplié les actions en faveur des plus démunis et a lutté contre l’incivisme à travers de vastes campagnes de sensibilisation, non sans être pointé du doigt du mépris par certains de ses compatriotes et être l’objet de railleries de la part de plus d’un. Dans un souci de justice sociale et exaspéré de voir que l’Afrique en général, et particulièrement le Sénégal n’arrive pas à se prendre en charge, il s’est lancé dans la politique. Il souhaite devenir une figure incontournable du paysage politique sénégalais, grâce à son mouvement, le “Mouvement Sénégal Souverain” en abrégé (MSS).

Pourquoi le MSS ?
Au début, le “Mouvement Sénégal Souverain” avait au départ pour nom “NATANGUÉ” qui signifie en wolof espoir. Le leader, Stefane Kabou, avait pour objectif comme on peut le lire sur sa page Facebook, de créer : “un mouvement basé sur la solidarité et l’entraide” qui propose que “la solidarité, le dialogue, la paix soient au centre des débats.” Mais cette appellation a dérivé vers une forme plus globale de sorte à devenir le MSS, un mouvement politique et social qui milite pour une justice sociale et une indépendance nationale véritables des pays Africains, particulièrement du Sénégal. Signalons-le, ce mouvement ne renie pas les raisons pour lesquelles il a vu le jour. Stefane Kabou, voyant la désolation des couches les plus défavorisées, le mépris, presque militant, des gouvernements qui se sont succédé à la tête de l’État sénégalais a décidé de se lancer dans la politique pour agir directement sur les causes des problèmes qui minent le pays.

Stefane Kabou, Leader du Mouvement Sénégal Souverain (MSS))

Stefane Kabou, un souverainiste épris de liberté
En fondant le “Mouvement Sénégal Souverain”, Stefane Kabou a donné un nouveau souffle à son combat et une certaine dynamique à la politique sénégalaise. Le MSS ne se contente pas de dénoncer les dysfonctionnements des régimes politiques, il propose une vision alternative pour le pays. Le Mouvement prône une souveraineté économique et politique totale du pays, mettant en avant la nécessité de diversifier l’économie sénégalaise et d’instaurer une gouvernance transparente. Son discours est clair : “le Sénégal doit se libérer de toute ingérence extérieure pour enfin maîtriser son propre destin.” Quoi de plus normal.

Le MSS, contre l’injustice et pour la transparence
Stefane Kabou se distingue dans ses actions, aussi bien sur les réseaux sociaux que dans les rues du Sénégal, par son engagement contre l’impunité, contre la pauvreté, contre l’incivisme. Il ne prend pas de gants pour fustiger ouvertement ce qu’il perçoit comme des abus de pouvoir, tout en appelant dans un esprit de paix les parties à la négociation, comme cela a été le cas lors des dernières élections au Sénégal. Cet homme épris de paix a toujours demandé la fin des violences et des injustices dont sont victimes de nombreux Sénégalais. Pour lui, la lutte pour la souveraineté nationale passe aussi par la restauration de la justice et de l’État de droit.

Stefane Kabou, Leader du Mouvement Sénégal Souverain (MSS))

Stefane Kabou, un leader visionnaire
Le parcours de Stefane Kabou, de ses débuts à Kaolack à son ascension sur la scène politique nationale, témoigne de sa détermination à influencer l’avenir, le cours de la politique au Sénégal. À travers le MSS, ce leader emblématique se positionne comme un acteur clé de la nouvelle génération de leaders sénégalais, prêts à redéfinir les règles du jeu politique pour un avenir plus juste et plus souverain. Stefane Kabou est un visionnaire, un homme dont l’engagement pourrait bien façonner le futur du Sénégal. Sous l’impulsion du “Mouvement Sénégal Souverain”, Stefane Kabou est en passe de devenir une force incontournable dans le débat public, incarnant l’espoir d’un renouveau politique pour de nombreux Sénégalais.

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