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AFRIQUE DE L’OUEST

SÉNÉGAL – Deux sondages commandités donnent vainqueurs Ousmane Sonko à la Présidentielle de 2024

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résidentielle au Sénégal prévue le 25 février 2024 n’est pas seulement l’affaire des partis politiques qui se livrent à une bataille sans merci pour le contrôle du fauteuil mis en jeu. Elle intéresse aussi certaines compagnies pétrolières étrangères qui misent sur l’exploitation des ressources gazières et pétrolières annoncée en 2024. Selon des informations exclusives obtenues par Confidentiel Afrique, deux firmes pétrolières ont commandé des sondages à deux cabinets privés réputés sérieux et dont le magazine panafricain a préféré taire les noms, ayant pignon sur rue à Londres et Sydney ( capitale Australie) pour peser les chances et les faiblesses d’une poignée de potentiels candidats déclarés à la présidentielle de février 2024, short-listés par ces cabinets.

Les résultats des deux sondages, après collecte rigoureuse des enquêtes effectuées selon des sources jugées crédibles par nos confrères, dans la période de mars à avril 2023 sont à la faveur de l’opposant sénégalais Ousmane SONKO, qui arrive largement en tête, devant Macky SALL, le président sortant, Idrissa SECK, Dèthié FALL, Bougane GUEYE, un entrepreneur média, Thierno Alassane SALL, Khalifa SALL et Karim WADE.

L’un des deux sondages crédite dès le premier tour de 52,34% des voix l’opposant SONKO, alors que le second fait état d’un report massif de voix sur le leader du Pastef en cas de deuxième tour présidentiel. » Le jeune leader de l’opposition sénégalaise Ousmane SONKO est doté d’une cote de popularité incompressible en l’état actuel et au moment du closing des enquêtes » mentionne un des deux cabinets de sondage pour le compte d’une compagnie pétrolière.

Confidentiel Afrique révèle que les sondages, relevant cette fois de procédés sophistiqués, ont été réalisés auprès de plusieurs profils-cibles, entre autres; universitaires, étudiants en Mastère et doctorants, ouvriers et entrepreneurs établis dans la diaspora sénégalaise. Que peuvent bien cacher les commandes de sondages par ces deux compagnies pétrolières étrangères ? Ces sondages constituent-ils une sorte de feuille de route dans leurs plans d’investissements stratégiques dans les eaux profondes sénégalaises ? L’enjeu de cette prochaine présidentielle est bien pris en compte par ces deux firmes pétrolières de renommée internationale, qui surveillent les dessous de l’envol pétrolier et gazier du pays, indique Confidentiel Afrique.

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AFRIQUE

SÉNÉGAL – Le Président Bassirou Diomaye Faye attendu au Rwanda et au Kenya

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Lors du Conseil des ministres tenu ce mercredi 15 octobre 2025, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a présenté les grandes lignes de son agenda diplomatique pour les prochains jours.

Le chef de l’État effectuera une visite de travail au Rwanda le 17 octobre, avant de poursuivre son déplacement au Kenya, du 19 au 21 octobre 2025.

Ces missions s’inscrivent dans la volonté du Sénégal de consolider ses partenariats stratégiques avec les nations d’Afrique de l’Est. Elles visent également à renforcer la coopération économique, technologique et sécuritaire entre Dakar, Kigali et Nairobi, dans un contexte continental marqué par une recherche accrue d’intégration régionale et de développement mutuel.

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AFRIQUE

MALI – Bamako impose une caution de visa aux Américains après la décision de Washington

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Le gouvernement malien a annoncé ce samedi 11 octobre 2025 une mesure de réciprocité diplomatique en réaction à la décision des États-Unis d’Amérique d’imposer une caution de visa aux ressortissants maliens.

Dans un communiqué officiel, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale indique que Washington mettra en œuvre, à compter du 23 octobre 2025, un programme pilote de caution de visa destiné aux Maliens sollicitant un visa d’affaires (B-1/B-2) ou de tourisme. Le dispositif prévoit le dépôt d’une caution comprise entre 5 000 et 10 000 dollars américains, remboursable sous certaines conditions à la fin du séjour.

Bamako a exprimé son profond regret face à cette décision, qu’il qualifie d’unilatérale et contraire à l’esprit de l’accord bilatéral signé en 2005 entre les deux pays, portant sur les visas de longue durée à entrées multiples.

En conséquence, le Mali a décidé d’appliquer strictement le principe de réciprocité : désormais, les ressortissants américains souhaitant se rendre sur son territoire devront s’acquitter des mêmes exigences financières et administratives.

« Le Mali a toujours collaboré avec les États-Unis dans la lutte contre l’immigration irrégulière, dans le respect du droit et de la dignité humaine », souligne le communiqué du ministère.

Tout en réaffirmant son attachement à la coopération bilatérale, le gouvernement malien insiste sur la nécessité de la mener dans un cadre équilibré, respectueux du dialogue et de la souveraineté nationale.

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AFRIQUE

CÔTE D’IVOIRE – Jean-Louis Billon, Simone Gbagbo et Ouattara en pleine bataille électorale

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La campagne électorale bat son plein en Côte d’Ivoire, marquée par une effervescence de meetings, de caravanes et de rencontres ciblées. Jean-Louis Billon, candidat déclaré, a donné le coup d’envoi de sa campagne dans la commune populaire de Koumassi avant de rallier Marcory, autre bastion abidjanais dirigé par Aby Raoul, maire issu du Parti démocratique de Côte d’Ivoire – Rassemblement démocratique africain (PDCI-RDA).

Pour Billon, le défi majeur reste de rallier à sa cause les militants de son parti d’origine, le PDCI, qui n’a pas encore pris position depuis l’invalidation de la candidature de son président, Tidjane Thiam. « La première bataille se joue à l’intérieur même de sa famille politique », confie un proche du candidat, qui assure toutefois que des discussions en coulisses se poursuivent pour obtenir un soutien implicite.

Dans le même élan, Ahoua Don Mello, désormais candidat indépendant après son exclusion du Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) de Laurent Gbagbo, mène lui aussi une campagne active. Après une rencontre à Cocody, il a pris la route de Bouaké, au centre du pays. Bien qu’il ne bénéficie d’aucun appui officiel du PPA-CI, il mise sur un discours centré sur la souveraineté économique nationale, qu’il compte porter « dans les grandes villes comme dans les plus petits villages ».

L’ex-première dame, Simone Ehivet Gbagbo, s’apprête pour sa part à se rendre à Bouaflé, au cœur de la région cacaoyère. Elle souhaite y rencontrer les producteurs locaux, dans le but de valoriser un pilier central de son programme : la transformation sur place des produits agricoles, pour créer de la richesse et des emplois.

Autre figure féminine de ce scrutin, Henriette Lagou tiendra un grand rassemblement le 13 octobre à Daoukro, fief historique du PDCI. Son message principal : « la paix et la cohésion sociale », deux valeurs qu’elle place au centre de son engagement.

Pendant ce temps, le président sortant, Alassane Ouattara, poursuit lui aussi sa campagne. Il est attendu le 11 octobre à Daloa, dans le centre-ouest. Son entourage fait de la mobilisation un enjeu crucial. « Offrir seulement 50 % des voix à Alassane Ouattara serait un échec », a déclaré Ibrahim Cissé Bacongo, secrétaire exécutif du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP). « Nous visons au minimum 75 % », a-t-il ajouté, fixant ainsi un objectif ambitieux pour le parti au pouvoir.

Cette campagne se déroule dans un climat tendu. Le rejet des candidatures de Tidjane Thiam et de Laurent Gbagbo par le Conseil constitutionnel début septembre continue de faire des vagues. Leurs partis avaient annoncé une marche de protestation ce samedi, mais celle-ci vient d’être interdite. Le préfet du département d’Abidjan a publié un arrêté rappelant qu’« aucune manifestation n’a été déclarée pour le 11 octobre », invoquant la nécessité de préserver l’ordre public durant la période électorale.

Du côté du Front commun, la réaction officielle se fait encore attendre, mais un cadre du PDCI, contacté hors micro, exprime sa « vive indignation » et assure que les militants restent « résolus et mobilisés ».

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