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SPORTS

SPORT FEMININ – L’histoire, le présent et l’avenir

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Depuis les Jeux Olympiques de 2012 à Paris, le sport au féminin a connu une croissance spectaculaire. Des championnats nationaux et internationaux comme la Coupe de France, la Coupe du Monde ou encore la Ligue des Champions mettent en lumière des athlètes féminines exceptionnelles tels que Caroline Garcia ou Tess Ledeux qui ont remporté des victoires importantes dans leur discipline respective.

Alors que cette pratique est toujours plus développée sur le plan mondial, quel sera l’avenir pour le sport au féminin ?.

Le sport au féminin est devenu très populaire ces dernières années. Les femmes sont de plus en plus présentes dans les compétitions sportives et arrivent à des niveaux de performance jamais atteints auparavant.

Nous pouvons trouver des femmes qui participent à des championnats nationaux et internationaux tout autour du monde dans des disciplines telles que le football, le basket-ball, le rugby, le handball et l’athlétisme. De vraies stars du sport sont émergées, parmi lesquelles on peut citer Caroline Garcia, Tess Ledeux et bien d’autres.

L’histoire du sport au féminin

Bien que le sport au féminin ait connu une croissance considérable depuis les Jeux Olympiques de 2012 à Paris et les meilleures performances enregistrées par les femmes dans les tournois WTA ces dernières années, cela n’a pas toujours été ainsi. Les femmes ont longtemps été exclues des sports professionnels et la grande majorité des compétitions étaient réservées aux hommes.

Ce n’est qu’à la fin du 19ème siècle que certaines compétitions ont commencé à être ouvertes aux femmes.

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Évolution du sport au féminin

Depuis lors, le paysage du sport au féminin a grandement changé. La plupart des grands championnats nationaux tels que la Coupe de France ou la Coupe du Monde sont maintenant ouverts aux femmes.

Il y a également une multitude de ligues internationales regroupant des athlètes talentueuses venues des quatre coins du monde. La Ligue des Champions est un bon exemple de ce type de compétition qui met en valeur les talents des meilleures joueuses.

Les premières compétitions

Les premiers championnats dédiés aux femmes se sont déroulés principalement en Europe occidentale à partir de 1890. Dans un premier temps, ils visaient principalement à promouvoir la participation politique et sociale des femmes, mais ils ont progressivement gagné en importance et sont devenus reconnus comme compétitions sportives à part entière.

Certaines disciplines comme l’athlétisme étaient très populaires auprès des athlètes féminines.

Les femmes et le sport à travers le temps

Au fil du temps, de plus en plus de femmes ont commencé à pratiquer des sports, ce qui a contribué à changer la perception du sport au féminin. L’idée que les femmes ne pouvaient pas faire preuve de la même performance et endurance physique que les hommes s’est progressivement effacée au fur et à mesure que les athlètes féminines remportaient des victoires spectaculaires dans les compétitions nationales et internationales.

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Sport au féminin aujourd’hui

Les progrès accomplis par le sport au féminin aujourd’hui peuvent être comparés à ceux réalisés par les hommes. Toutefois, il reste encore beaucoup à faire pour égaliser les chances entre hommes et femmes.

Actuellement, il existe des championnats nationaux et internationaux dédiés aux femmes, notamment la Coupe de France, la Coupe du Monde et la Ligue des Champions. Par conséquent, plusieurs athlètes féminines célèbres ont reconnu l’importance de ces compétitions.

Les principales compétitions

Les compétitions internationales sont très populaires auprès des athlètes féminines qui cherchent à montrer leur talent sur une scène plus large. Les Jeux Olympiques sont l’un des tournois majeurs qui est ouvert aux athlètes féminines.

En outre, nous constatons chaque année un nombre croissant de femmes participant à des tournois professionnels tels que la WTA (Women’s Tennis Association). Ces compétitions mettent en valeur les talents des meilleures joueuses et offrent aux sponsors potentiels une plateforme idéale pour promouvoir leur marque.

Les athlètes féminines les plus connues

De nombreuses athlètes féminines ont contribué au développement du sport au féminin. Caroline Garcia, Tess Ledeux et bien d’autres sont devenues des stars grâce à leurs performances remarquables dans le football, le basket-ball, le rugby et l’athlétisme.

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Les médias sociaux ont également permis aux athlètes de se connecter directement avec leurs fans et d’obtenir plus de visibilité.

Les principaux sports pratiqués par les femmes

Le football est le sport le plus populaire chez les femmes à travers le monde. Dans certains pays comme la France, on trouve également des équipes distinctes pour le basket-ball et certaines autres disciplines telles que le volleyball, le handball et l’athlétisme.

Les championnats et autres compétitions permettent aux athlètes féminines de montrer leurs talents et d’atteindre un niveau de performance jamais atteint auparavant. De plus, des clubs et associations sportives ont été créés spécifiquement pour soutenir les femmes dans leur pratique du sport.

Les principales équipes féminines

En France, des équipes nationales sont formées chaque année afin de participer à des championnats tels que la Coupe de France ou la Coupe du Monde. Les meilleures joueuses de ces équipes peuvent bénéficier de contrats lucratifs avec des sponsors à l’international.

Les grandes ligues européennes telles que la Ligue des Champions offrent une excellente plateforme pour promouvoir ces athlètes talentueuses.

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Sport au féminin et avenir

Le futur du sport au féminin est très prometteur. Les progrès réalisés par les femmes dans le domaine du sport professionnel ont contribué à changer la perception du sport au féminin et à encourager davantage de femmes à s’impliquer activement dans ce milieu.

Cependant, certaines inégalités persistent encore entre hommes et femmes dans le monde du sport et nous devons nous assurer que cela continue à changer.

Les perspectives pour le sport au féminin

Avec l’avènement des médias sociaux et l’accroissement de la popularité des sports professionnels, il y a un fort potentiel pour le sport au féminin. Des sponsors potentiels commencent déjà à se manifester pour soutenir les athlètes féminines.

En outre, les divers organismes internationaux veulent promouvoir le sport professionnel parmi les femmes en fournissant des infrastructures et des opportunités adéquates.

Les initiatives pour promouvoir le sport au féminin

De nombreuses initiatives sont prises pour promouvoir l’engagement des femmes dans le sport. Les pouvoirs publics mettent en œuvre des programmes visant à encourager les filles à prendre part aux activités physiques et sportives qui viennent enrichir leurs vies.

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Il existe également des fondations telles que «Women in Sport» qui oeuvre pour qu’il y ait plus de visibilité sur les performances remarquables des athlètes féminines.

Les défis à relever pour le sport au feminin

Source : AfricaTopSport

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BASKETBALL

AFROBASKET – le Sénégal surclasse le Nigeria et file en demi-finale

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Le Sénégal a décroché son ticket pour les demi-finales de l’AfroBasket en battant le Nigeria. Après un quart de finale parfaitement maîtrisé, les « Lions » confirment leur statut de favori et poursuivent leur quête d’un sixième sacre continental.

L’adresse derrière l’arc est revenue pour les Sénégalais, notamment grâce à Jean Jacques Boissy et Branco Badio en course pour le MVP, auteur de 32 points et 4 rebonds. Pape Moustapha Diop a été exceptionnel en défense, terminant avec 14 points et 10 rebonds, tandis que l’équipe a multiplié les balles récupérées et perturbé les Nigérians.

En demi-finale, le Sénégal retrouvera le Mali pour un nouveau duel ouest-africain décisif samedi 23 août, poursuivant son parcours vers le titre continental.

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ATHLÉTISME

GABON – L’appel d’une jeune athlète pour sauver son rêve olympique

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À seulement 18 ans, Kenza Falana a décroché la médaille d’argent aux derniers Championnats d’Afrique juniors de lancer du marteau. Une performance historique pour sa première sélection, obtenue sans aucun soutien institutionnel. Entre sacrifices familiaux, études universitaires et ambition olympique, la jeune athlète gabonaise livre un témoignage poignant sur la réalité du sport de haut niveau.

L’Union : Vous avez remporté au mois de juillet dernier à Abeokuta, au Nigeria, la médaille d’argent aux Championnats d’Afrique junior. Était-ce une surprise pour vous ?

– Kenza Falana : Pour être honnête, non. Ce n’était pas une surprise. Une semaine avant le championnat, j’avais battu mon record personnel avec un lancer à 57m50, ce qui me plaçait en tête du classement africain junior et 11e du classement africain senior (World Athletics). J’étais donc partie au Nigeria avec l’objectif clair de décrocher l’or. J’ai d’ailleurs mené le concours pendant une bonne partie de la compétition. Même si j’ai obtenu l’argent, je suis fière car j’ai tout donné, dans des conditions loin d’être optimales.

Une médaille en argent pour votre toute première sélection, est-ce un exploit ?

– Compte tenu du contexte, oui, c’est un exploit. Malheureusement, je n’ai bénéficié d’aucun accompagnement institutionnel, alors que j’avais clairement une chance d’aller chercher la médaille d’or. Tout repose sur les sacrifices de ma mère et le travail de mon coach, Baptiste Lacourt, que j’ai pu rejoindre grâce à mon intégration au pôle d’excellence d’Eaubonne. En six mois, j’ai progressé de 14 mètres. À l’entraînement à Abeokuta, j’ai même atteint 60 mètres.

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Au mois de juin dernier, avant les Championnats d’Afrique d’Abeokuta, vous avez sollicité du Comité national olympique une bourse de solidarité olympique. Qu’en est-il ?

– À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse. L’an dernier, lors des Jeux olympiques de Paris, j’ai été reçue par les autorités sportives gabonaises à Paris, qui avaient promis sur Gabon24 de m’attribuer cette bourse. En juin dernier, une demande formelle a été transmise via le président de la Fédération gabonaise d’athlétisme au Comité national olympique gabonais. Après ma médaille d’argent à Abeokuta, ma mère a également contacté directement le président du CNOG, et transmis tous les documents. Malgré toutes ces démarches, nous n’avons eu aucun retour. À Abeokuta, le président de la Fédération gabonaise d’athlétisme a même déclaré qu’aucune prime n’était prévue pour moi, alors même que je suis vice-championne d’Afrique junior et détentrice du record national toutes catégories confondues. C’est difficile à entendre après tout ce travail pour représenter le pays à l’international dans une discipline rare.

Le lancer du marteau nécessite forcément un accompagnement financier. Sans financement comment faites-vous pour atteindre vos objectifs ?

– Tout repose sur mes parents. Ils financent entièrement mon parcours : le pôle d’excellence d’Eaubonne, mon coach, les soins, les compétitions, les déplacements, le matériel… C’est très coûteux, surtout dans une famille de six enfants. Ma petite soeur vient d’obtenir son baccalauréat et doit aussi intégrer une école supérieure qui demande un soutien financier de nos parents. Malgré cette lourde charge, ma mère, portée par sa foi, fait tout pour que je puisse continuer, même si cela demande de grands sacrifices. Pour la saison 2026, les frais sont estimés à plus de 6,5 millions de francs, en plus des dettes de la saison écoulée. C’est donc grâce à cet investissement familial que j’ai pu battre les records nationaux juniors et seniors. Mais aujourd’hui, il est urgent que je bénéficie d’un accompagnement institutionnel pour continuer à progresser et représenter dignement le Gabon.

À 18 ans, vous êtes étudiante en licence de psychologie de l’université de Paris-Nanterre. Comment arrivez-vous à concilier sport et études ?

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– Ce n’est pas évident. Avant d’intégrer le pôle, je faisais près de 3 heures de transport par jour entre la fac, les entraînements à Antony ou à La Croix de Berny, et le domicile familial à Massy. Depuis que je vis à Eaubonne, c’est plus fluide et plus proche de mon université. Mais l’internat ferme le week-end, ce qui complique ma logistique pour les compétitions. J’ai dû aménager mon emploi du temps, ce qui a légèrement fait baisser ma moyenne de classe de 15 à 14,9. Un logement plus stable et un encadrement médical adapté (kiné, diététicien, médecin du sport, préparateur mental) m’aideraient à mieux équilibrer ma vie d’étudiante et d’athlète de haut niveau.

Un mot de fin à l’endroit des autorités gabonaises ?

– Je lance un appel sincère et humble aux autorités de mon pays. Le Gabon regorge de talents, mais il manque un accompagnement structuré pour les faire éclore. Aujourd’hui, je suis dans une situation urgente : la rentrée au pôle d’excellence d’athlétisme d’Eaubonne est prévue le 2 septembre 2025, dans deux semaines. Sans inscription rapide, je ne pourrais pas poursuivre mes entraînements avec mon coach, ce qui compromettrait ma progression. Je rêve de porter haut les couleurs du Gabon aux prochains Championnats du monde juniors 2026 et aux Jeux olympiques 2028. J’ai la volonté, les résultats, mais il me manque les moyens. J’espère sincèrement que les autorités se pencheront sur mon cas afin que je puisse continuer à m’entraîner dans de bonnes conditions, représenter fièrement mon pays et inspirer d’autres jeunes Gabonais à croire en leurs rêves.

Source : union.sonapresse.com

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BASKETBALL

SÉNÉGAL – Les lionnes du basket arrachent leur qualification dans un quart de finale intense

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Le Sénégal s’est offert une place en demi-finale de l’Afrobasket féminin 2025 après un quart de finale palpitant face à la Côte d’Ivoire. Les Lionnes ont arraché la victoire sur le score de 66 à 60 dans une rencontre disputée au Palais des Sports de Treichville, marqué par l’intensité du jeu et une ambiance électrique portée par le public ivoirien.

Dès l’entame, les Sénégalaises ont été malmenées par des Éléphantes très agressives. La première mi-temps a clairement tourné à l’avantage de la Côte d’Ivoire, qui a su exploiter les erreurs sénégalaises, notamment les pertes de balle, pour creuser l’écart au score. L’adresse extérieure ivoirienne et leur engagement défensif ont mis à mal les plans des Lionnes, qui ont rejoint les vestiaires en retard.

Mais à la reprise, le match a basculé. Guidées par leur coach Otis Hughley Jr., les Lionnes sont revenues avec une autre détermination. La défense s’est resserrée, les transitions ont gagné en fluidité, et le collectif sénégalais a commencé à prendre l’ascendant sur une équipe ivoirienne qui peinait à maintenir son intensité.

Le tournant s’est produit dans le troisième quart-temps, moment où le Sénégal a repris confiance et inversé la dynamique du match. À l’origine de cette montée en puissance : Cierra Dillard. Déjà précieuse en phase de groupes, la meneuse a sorti une prestation de haut vol. Elle a brillé autant par sa lucidité que par son efficacité, enchaînant les passes décisives, les interceptions et les paniers cruciaux.

Dillard termine le match avec 17 points, 6 passes décisives et 4 rebonds, confirmant son rôle de pierre angulaire dans l’effectif sénégalais. Son calme dans les moments critiques et sa capacité à accélérer le jeu ont permis aux Lionnes de garder la tête froide dans les dernières minutes.

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