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ECONOMIE

CÔTE D’IVOIRE – Ouverture des candidatures pour la 11ème Édition du Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Côte d’Ivoire (POESCI)

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Depuis 2011, le Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Côte d’Ivoire (POESCI) récompense les projets technologiques à impact positif permettant l’amélioration des conditions de vie des populations en Afrique et au Moyen-Orient, dans les domaines de l’éducation, la santé, l’agriculture, le paiement mobile ou encore le développement durable et constitue le premier pas vers la consécration internationale par le Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM).

À travers cet évènement d’une ampleur nationale et internationale, Orange Côte d’Ivoire souligne son engagement pour l’émancipation des jeunes ivoiriens, en leur offrant l’opportunité de monter des projets dont l’impact retentit sur l’avenir même du continent. Ainsi, ce concours s’adresse aux entrepreneurs, étudiants ou salariés de plus de 21 ans, oeuvrant dans des start-up qui existent depuis moins de 3 ans et qui ont un impact positif sur leurs communautés.

Les candidatures à cette 11ème édition sont ouvertes du mardi 9 mars 2021 au vendredi 4 juin 2021. Les critères de participation sont les suivants :

• La force de l’impact social et/ou environnemental du projet ;
• Le degré d’innovation apporté dans l’usage des moyens de communication numériques ;
• La possibilité d’étendre la diffusion du produit ou du service à plusieurs pays;
• La viabilité financière de la jeune entreprise ;
• Le caractère réaliste et opérationnel du projet.

Trois prix seront décernés aux lauréats :
• le 1er prix gagnant est de 3 millions de FCFA ;
• le 2ème prix gagnant est de 2 millions de FCFA ;
• le 3ème prix gagnant est de 1 millions de FCFA.

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Ces lauréats nationaux participeront par la suite au Grand Prix International : Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM, Concours organisé par Orange MEA), et auront l’opportunité de se présenter et si possible de remporter le prix Régional Afrique Moyen-Orient au AfricaCom Festival, qui se tiendra en novembre 2021 à Capetown. L’édition 2021 de ce qui s’annonce comme étant l’un des plus grand évènement Tech du continent africain sera présidée par Alioune Ndiaye, PDG d’Orange Middle East & Africa.

Habib Bamba, directeur de la transformation, du digital et des médias d’Orange Côte d’Ivoire déclare : « Développer l’écosystème de l’entreprenariat digital et offrir des opportunités aux startuppers locaux sont pour nous un gage de performance économique et sociale. Chaque année le jury du prix POESCI voit défiler plusieurs projets aussi innovants les uns que les autres. Pour Orange Côte d’Ivoire, c’est l’occasion de repérer les entrepreneurs prometteurs et les start-ups techs de demain. Quant aux participants, ce concours représente pour eux une opportunité inédite d’exposer leurs projets à des acteurs capables de répondre à leurs besoins. Depuis 2011, 4 lauréats ivoiriens ont remporté le prix international dont un 1er prix en 2012. C’est donc avec fierté qu’Orange Côte d’Ivoire lance à nouveau ce programme qui met en avant les talents et les innovations d’entrepreneurs ivoiriens qui favoriseront le développement de l’Afrique de demain. Nous invitons via https://startup.orange.com/fr/poesam-2/poesam-deposez-votre-candidature/».

Source : Koaci

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BANQUE

CENTRE AFRIQUE – Une reprise économique fragile, 2,8% de croissance visée d’ici 2027

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La République centrafricaine a traversé de profondes turbulences économiques, marquées par les crises politico-militaires et la pandémie de COVID-19. Entre 2020 et 2023, la croissance a péniblement atteint 0,7%, freinée par l’instabilité et les chocs extérieurs.

En 2024, une légère embellie a été enregistrée : la Banque mondiale a estimé la croissance à 1,5%, signe d’un redémarrage progressif de l’activité.

Les moteurs de la reprise

Guido Rurangwa, représentant de la Banque mondiale à Bangui, attribue cette reprise à plusieurs facteurs :

  • – la relance de l’agriculture et de l’agro-industrie,
  • – l’essor de l’exploitation aurifère, favorisée par la hausse des prix de l’or,
  • ainsi que des investissements visibles dans les infrastructures, avec de nouveaux immeubles et des routes réhabilitées dans la capitale.

« La croissance, ce n’est pas que des chiffres. Elle se mesure aussi par les chantiers visibles et la vitalité retrouvée de certains secteurs », a-t-il déclaré.

Un objectif de 2,8% d’ici 2027

Fort de cette dynamique, la Banque mondiale projette une croissance de 2,8% à l’horizon 2027. Mais pour y parvenir, des réformes structurelles seront nécessaires.

L’économiste Lorenzo Ganazoui, coordonnateur de l’ONG Constellations Internationale, insiste sur la nécessité de :

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  • – renforcer le secteur minier, en particulier l’or et le diamant,
  • – développer le transport et l’énergie,
  • – et surtout investir massivement dans l’agriculture, considéré comme le secteur clé pour produire,
  • – nourrir et enrichir la nation.

Le défi social

Malgré ces perspectives, la situation sociale reste préoccupante : 65,3% de la population vit encore dans une pauvreté extrême. Les experts estiment que la lutte contre la mauvaise gouvernance et la valorisation du potentiel agricole et minier seront déterminants pour sortir le pays du cercle vicieux de la précarité.

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ECONOMIE

MADAGASCAR – Polémique autour de la réforme de la loi sur les grands investissements miniers

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Deux ans après l’adoption de son nouveau code minier, Madagascar prépare une réforme majeure de la Loi sur les grands investissements miniers (LGIM), en vigueur depuis près de 25 ans. Destiné à encadrer les plus gros investisseurs du secteur extractif, ce texte doit être harmonisé avec le code révisé en 2023. Mais la démarche du gouvernement soulève de vives critiques.

La société civile et la Chambre des mines dénoncent un processus « mené dans le plus grand secret » depuis plus d’un an. Selon plusieurs sources, seuls les Américains d’Energy Fuels, maison mère du projet Base Tuléar encore en attente, auraient été consultés. « Le processus de révision reste opaque », regrette Clément Rabenandrasana, chef de file de la plateforme nationale de l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE), pourtant censée être associée à l’élaboration du texte.

En réaction, les acteurs non consultés ont formulé une série de recommandations. Parmi elles, une exigence jugée incontournable : imposer la transformation locale des minerais, quel que soit le type d’investisseur, afin de créer plus de valeur ajoutée et d’accroître les retombées économiques pour le pays.

La Chambre des Mines, par la voix de son président Jean-Luc Marquetoux, pointe quant à elle des questions de gouvernance : « Près de 25 ans après son adoption, un seul grand projet minier, Ambatovy, a réellement été éligible à la LGIM. Ce ne sont pas les instruments juridiques qui manquent, mais leur application concrète et l’accompagnement des projets. »

Le gouvernement prévoit de soumettre le nouveau texte au Parlement en octobre prochain. Mais sans véritable concertation, la réforme risque de cristalliser les tensions entre l’État, les investisseurs et la société civile, dans un secteur stratégique pour l’économie malgache.

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ECONOMIE

GABON – Une délégation du Congrès américain en visite au port minéralier d’Owendo

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Le 25 août 2025, une délégation du Congrès américain conduite par Joe Foltz a effectué une visite de travail au port minéralier d’Owendo, accompagnée de l’ambassadrice des États-Unis au Gabon, Vernelle Trim Fitzpatrick. Cette mission s’inscrit dans le prolongement de la récente visite du président Brice Clotaire Oligui Nguema à Washington et illustre un climat diplomatique renforcé entre Libreville et Washington.

Guidée par Léod Paul Batolo, administrateur directeur général de la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog), la délégation a pu constater l’importance stratégique du port d’Owendo, principal hub de réception, de stockage, de traitement et de chargement du manganèse destiné aux marchés internationaux. Cette infrastructure joue un rôle central dans la chaîne de valeur de l’industrie extractive gabonaise, notamment pour le groupe Eramet Comilog, qui y développe également une activité de transformation locale produisant des alliages à plus forte valeur ajoutée.

Selon Joe Foltz, « cette rencontre illustre notre volonté commune de renforcer les liens économiques et logistiques entre nos deux pays, dans un esprit de partenariat durable ». L’élu américain a salué la qualité des installations, estimant qu’un « équipement performant et bien entretenu garantit une continuité d’approvisionnement fiable, condition sine qua non pour répondre aux exigences des marchés internationaux ».

La Direction des transports et embarquement (DTE) a, pour sa part, mis en avant ses efforts en matière de sécurité et d’efficacité. « Notre objectif est d’atteindre zéro accident et zéro interruption dans la chaîne d’exportation, en mettant en œuvre des normes élevées de sécurité ferroviaire et portuaire », a indiqué son directeur. La maintenance et la surveillance permanentes constituent, selon lui, un gage de performance et de fiabilité.

Source : gabonreview.com

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