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ATHLÉTISME

ÉTATS-UNIS / SÉNÉGAL: Azja Pryor NDiaye, la reine du fitness.

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Azja Pryor NDiaye est mère de 2 enfants, elle réside actuellement en Caroline du Sud. Elle est spécialiste de la nutrition et de fitness. Sa passion première est de lutter contre l’obésité pour permettre les mamans du monde entier d’avoir une condition physique et sportive qui leur permet de s’épanouir dans leur vie quotidien grâce au programme “Fit Mommy”. Ze-Africanews est allé à sa rencontrée.

Ze-Africanews.com: 1. Vous êtes une femme sportive, on peut même dire que le sport est une de vos raisons de vivre ? Expliquez-nous ?
Azja Pryor NDiaye: Croyez-le ou pas, je n’ai jamais été aussi sportive dans ma vie. C’est seulement ces 4 dernière années que j’ai complètement changé mon mode vie grâce à la nutrition et au fitness. A l’époque, je souffrais d’arthrite, une maladie auto-immune qui affectait les articulations et c’était souvent très pénible. Ainsi prendre la décision d’adopter un mode de vie plus saine était ma façon à moi de reprendre le contrôle de ma vie et de ma santé. Je savais que je ne voulais pas être dépendante des médicaments, pour vivre sans douleur, je me suis mise au sport. Peu de temps après cette décision cruciale, l’entreprise mondiale de nutrition “Herbalife” m’a appelée, j’ai ainsi rejoint une communauté incroyable, de personnes inspirantes, dynamiques qui suivaient des activités sportives et qui avaient également un régime nutritionnel incroyable. En rejoignant cette communauté, j’étais encore de plus en plus motivée. Je voulais être la meilleure physiquement, mentalement et émotionnellement. C’est là où est née ma passion pour la nutrition et le fitness

« Ma philosophie dans la vie, cest de vivre les choses par choix mais pas par hasard. Dieu nous a donné tout le pouvoir de choisir, il est donc temps que nous arrêtons de passer à côté de ce pouvoir. »

Vous pratiquez le yoga quotidiennement, quels sont les bénéfices que vous apporte cet exercice ?
J’ai commencé à pratiquer le yoga il y a un peu plus de 2 ans. J’ai commencé avec le “yoga Bikram”, qui se pratique dans une salle chauffée durant 90 minutes. Cette forme de yoga est très intense. Elle vous permet non seulement de vous défier physiquement, mais mentalement. La salle chauffée est bénéfique, car vous suez beaucoup, la sueur libère les toxines de votre corps et vous permet d’aller plus loin dans vos étirements. Je suis tombée amoureuse de cette forme de yoga car j’ai vu des améliorations dans les domaines de la flexibilité de mon corps et mes articulations qui avaient déjà été très affectées par mon arthrite. Quand je suis tombée enceinte, j’ai dû suspendre les cours, car c’était dangereux pour les femmes enceintes. Pendant ma grossesse, j’ai commencé à faire du “yoga prénatal”, plus doux, qui était différent du “yoga Bikram”. Physiquement, c’était beaucoup moins intense. Cependant, le yoga a cette vertue de calmer l’esprit. Grâce à cette activité, mon esprit est devenu calme et silencieux, et je suis en harmonie avec mon corps. Les bénéfices sont excellents quand on pratique le yoga. Là, présentement, je viens tout juste de revenir de mes cours, depuis l’accouchement de ma fille, j’ai repris quotidiennement.

Azja Pryor NDiaye au sommet de la montagne en plein inspiration.

Vous êtes expert en santé mental et physique, à quoi cela consiste-t-il ?
Si vous avez déjà entendu la phrase « La santé est la richesse« , alors sachez que ce sont des mots sur lesquels je vis au quotidien. Quel est l’utilité d’avoir d’une part beaucoup d’argents mais d’autre part, une mauvaise santé ? Il n’y a pas de plaisir à être malade et ne pas être bien. Je crois que les gens devraient s’intéresser à la façon de vivre leur vie la plus meilleure possible, mentalement, physiquement et émotionnellement. Beaucoup sont mal informés et peuvent penser qu’ils font des les bons choix, mais c’est le contraire. La connaissance est le pouvoir. Si quelqu’un a besoin d’aide pour vivre une vie saine, alors c’est là que j’interviens. Je donne aux gens l’information nécessaire pour faire des choix crédibles dans leurs objectifs  nutritionnels et de remise en forme physique.

Azja Pryor NDiaye durant un moment de bonheur de sa vie.

Durant votre grossesse, vous étiez une femme très sportive comme avant votre grossesse comment viviez-vous ces moments de bonheur ? Qu’est-ce que le sport vous a apporté dans ces moments d’intimité avec votre bébé ?
J’étais déjà vraiment active avant d’être enceinte. Chaque semaine, je faisais de la randonnée, du yoga, des cours de boxe, des séances d’entraînements sur les escaliers et à la maison. Donc, quand j’ai appris que j’étais enceinte, j’ai eu l’approbation de mon médecin pour continuer mes activités physiques. J’ai continué tous mes séances d’entraînements, à l’exception du kick boxing jusqu’à mes 8 mois et demi de grossesse. Rester active était l’une des meilleures choses que j’ai pu faire durant cette merveilleuse période de ma vie. J’ai eu une grossesse merveilleuse et épanouie. J’ai également pris le temps d’immortaliser chaque instant de ce voyage unique que je pourrais partager avec ma fille quand elle sera assez grande. Aujourd’hui, elle a 4 mois, elle est saine, forte et super active.

Maintenant, voilà seulement 4 mois que vous avez donné naissance à votre petite princesse, comment vous vivez le fait d’être maman une deuxième fois en étant une femme dynamique et très sportive ?
Avant et après ma grossesse, je travaillais à la maison jusqu’à la naissance ma fille. Une partie de mon travail consiste à motiver mes clients à faire de l’exercice physique, et à faire attention à ce qu’ils mangaient, à leur alimentation, des principes que je respecte personnelle dans ma propre vie. Mon deuxième enfant est là depuis seulement 4 mois, et j’étais consciente déjà qu’il fallait avoir une vie équilibré c’est à dire allier ma vie de maman et mes séances d’entraînements bien sûr toujours avec l’accord de mon médecin. Il y a tant de femmes qui disent que je les ai beaucoup inspirées durant et après ma grossesse. Elles ont arrêté de se dire qu’elles n’y arrivaient pas, elle n’avaient plus d’excuses pour faire du sport. Et cela me réconforte de voir les ondes positives que je distille autour de moi ou ailleurs. Ma passion consiste ainsi à aider les gens à vivre une vie plus saine possible. Je suis loin d’être parfaite, mais je fais de mon mieux pour pratiquer de l’exercice physique chaque fois que je peux, la plupart du temps avec ou sans ma fille.

Azja Pryor NDiaye, la plus sportive des mamans.

A quoi consiste le concept «Train Like a Pro Contest » ?
Il y a un mois, on m’a demandée de participer à un concours organisé par une franchise populaire appelée Massage Envy. Le concours s’appelle “Train Like a Pro contest”. 12 concurrents moi y compris, qui sont des athlètes sont en compétition pour gagner le prix. Chaque concurrent s’est fixé un objectif individuel et travaille dur chaque année pour atteindre son but. Massage Envy offre maintenant un nouveau service dans ses établissements appelés Total Stretch. Chaque semaine, j’y vais pour une session totale de Stretch pour m’approcher de plus en plus de mon objectif qui est de maîtriser une pose de yoga difficile appelée pose “King Pigeon”. Avec le soutien de mes coachs, je suis arrivée au second tour du concours. Mais j’ai besoin de votes de tous les jours, car chaque semaine, un concurrent est éliminé de la compétition. Mon but est de ne pas seulement gagner la compétition, mais montrer aux autres mamans (et papas) jusqu’où nous pouvons aller lorsque nous sommes déterminés et lorsque nous nous lançons des défis.

C’est quoi votre philosophie de la vie ?
Ma philosophie dans la vie, c’est de vivre les choses par choix mais pas par hasard, car comme dit le proverbe, “Il n’y a pas de hasard, il y a que des rendez-vous”. Dieu nous a donné le pouvoir de choisir, il est donc temps, que nous arrêtons de passer à côté de ce pouvoir.

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Azja Pryor NDiaye à la plage.

La famille, c’est important selon vous ? Pourquoi ?
La famille est incroyablement importante pour moi. Dieu est en premier et ma famille est en deuxième position sur la ligne de ma vie. Ma famille est ma raison de me surpasser et de vouloir être la meilleure dans tout ce que je fais. Je veux être là pour voir mes enfants et vivre heureux. Je ne voudrais jamais être un fardeau pour eux. Je leurs dis toujours que j’aimerais faire de la randonnée avec eux et avec mes petits-enfants quand j’aurais 80 ans. Mon fiancé, Chérif A NDiaye, est une véritable bénédiction dans ma vie. Il n’est pas seulement mon conjoint, mais mon partenaire dans la vie. Ensemble, nous construisons une vie merveilleuse où nous sommes heureux et accomplis et capable de voyager dans le monde en inspirant les autres.

Azja Pryor NDiaye avec son coach pour la vie Chérif A NDiaye.

Quels conseils donneriez-vous à une femme qui souhaite suivre le même parcours que vous ?
Toute femme qui me considère comme une source d’inspiration et souhaite suivre un chemin semblable, je ferais en sorte qu’elle sache que chaque voyage est unique. Dieu nous a mis sur terre avec une mission et un objectif singulier. Je suis forte et unique à ma manière, elles sont fortes et uniques par elles-mêmes. Mon voyage consiste à aider les gens à vivre des vies plus sainement et à les informer sur la façon de se battre contre les maladies que nous pouvons éviter grâce à une bonne nutrition et à une bonne pratique d’une activité physique. Pour être un véritable pivot d’un mode de vie saine, il faut le vivre de la manière la plus authentique possible. Je vois de nombreuses personnes populaires sur les réseaux sociaux qui préfèrent prendre des raccourcis en allant dans des cabinets de chirurgie pour des interventions qui donnent une fausse définition de la réalité physique. Je trouve que ce n’est pas honnête pour soi-même de montrer une fausse image et de donner de faux espoirs aux personnes alors que ce n’est pas naturel. Tout cela pour dire qu’il est important d’être authentique avant tout. Il faut être respectueux envers les personnes parfois vulnérables et qui ont besoin d’être rassurées et avoir confiance.

Avez-vous un message à lancer ?
J’espère que le message que je peux lancer au monde, est avant tout, ma façon de vivre sainement et sportivement. Par ailleurs, il est important de savoir que la vie est une question de choix et chaque choix a une conséquence. Nous avons tous le choix de prendre le contrôle de notre vie. Bien qu’il y ait beaucoup de choses dans la vie sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle, il y a, cependant, beaucoup d’autres choses sur lesquelles nous avons le contrôle. Nous pouvons contrôler ce que nous mangeons par exemple. Si nous voyons que certaines maladies, telles que l’hypertension artérielle, le cholestérol ou le diabète, évoluent au sien de nos familles, nous savons ainsi que nous devons travailler 10 fois plus pour les empêcher de nous envahir, plutôt que de les accepter et de ne rien faire. Encore une fois, chaque personne est unique, chaque personne a un voyage unique dans ce monde et qu’au final, nous pouvons nous sentir bien que si nous faisons de notre mieux.

Scéance de yoga sur la plage : 

Pour soutenir son travail et sa passion, cliquer sur ce lien pour faire votre vote :  HERE

 

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ATHLÉTISME

GABON – L’appel d’une jeune athlète pour sauver son rêve olympique

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À seulement 18 ans, Kenza Falana a décroché la médaille d’argent aux derniers Championnats d’Afrique juniors de lancer du marteau. Une performance historique pour sa première sélection, obtenue sans aucun soutien institutionnel. Entre sacrifices familiaux, études universitaires et ambition olympique, la jeune athlète gabonaise livre un témoignage poignant sur la réalité du sport de haut niveau.

L’Union : Vous avez remporté au mois de juillet dernier à Abeokuta, au Nigeria, la médaille d’argent aux Championnats d’Afrique junior. Était-ce une surprise pour vous ?

– Kenza Falana : Pour être honnête, non. Ce n’était pas une surprise. Une semaine avant le championnat, j’avais battu mon record personnel avec un lancer à 57m50, ce qui me plaçait en tête du classement africain junior et 11e du classement africain senior (World Athletics). J’étais donc partie au Nigeria avec l’objectif clair de décrocher l’or. J’ai d’ailleurs mené le concours pendant une bonne partie de la compétition. Même si j’ai obtenu l’argent, je suis fière car j’ai tout donné, dans des conditions loin d’être optimales.

Une médaille en argent pour votre toute première sélection, est-ce un exploit ?

– Compte tenu du contexte, oui, c’est un exploit. Malheureusement, je n’ai bénéficié d’aucun accompagnement institutionnel, alors que j’avais clairement une chance d’aller chercher la médaille d’or. Tout repose sur les sacrifices de ma mère et le travail de mon coach, Baptiste Lacourt, que j’ai pu rejoindre grâce à mon intégration au pôle d’excellence d’Eaubonne. En six mois, j’ai progressé de 14 mètres. À l’entraînement à Abeokuta, j’ai même atteint 60 mètres.

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Au mois de juin dernier, avant les Championnats d’Afrique d’Abeokuta, vous avez sollicité du Comité national olympique une bourse de solidarité olympique. Qu’en est-il ?

– À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse. L’an dernier, lors des Jeux olympiques de Paris, j’ai été reçue par les autorités sportives gabonaises à Paris, qui avaient promis sur Gabon24 de m’attribuer cette bourse. En juin dernier, une demande formelle a été transmise via le président de la Fédération gabonaise d’athlétisme au Comité national olympique gabonais. Après ma médaille d’argent à Abeokuta, ma mère a également contacté directement le président du CNOG, et transmis tous les documents. Malgré toutes ces démarches, nous n’avons eu aucun retour. À Abeokuta, le président de la Fédération gabonaise d’athlétisme a même déclaré qu’aucune prime n’était prévue pour moi, alors même que je suis vice-championne d’Afrique junior et détentrice du record national toutes catégories confondues. C’est difficile à entendre après tout ce travail pour représenter le pays à l’international dans une discipline rare.

Le lancer du marteau nécessite forcément un accompagnement financier. Sans financement comment faites-vous pour atteindre vos objectifs ?

– Tout repose sur mes parents. Ils financent entièrement mon parcours : le pôle d’excellence d’Eaubonne, mon coach, les soins, les compétitions, les déplacements, le matériel… C’est très coûteux, surtout dans une famille de six enfants. Ma petite soeur vient d’obtenir son baccalauréat et doit aussi intégrer une école supérieure qui demande un soutien financier de nos parents. Malgré cette lourde charge, ma mère, portée par sa foi, fait tout pour que je puisse continuer, même si cela demande de grands sacrifices. Pour la saison 2026, les frais sont estimés à plus de 6,5 millions de francs, en plus des dettes de la saison écoulée. C’est donc grâce à cet investissement familial que j’ai pu battre les records nationaux juniors et seniors. Mais aujourd’hui, il est urgent que je bénéficie d’un accompagnement institutionnel pour continuer à progresser et représenter dignement le Gabon.

À 18 ans, vous êtes étudiante en licence de psychologie de l’université de Paris-Nanterre. Comment arrivez-vous à concilier sport et études ?

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– Ce n’est pas évident. Avant d’intégrer le pôle, je faisais près de 3 heures de transport par jour entre la fac, les entraînements à Antony ou à La Croix de Berny, et le domicile familial à Massy. Depuis que je vis à Eaubonne, c’est plus fluide et plus proche de mon université. Mais l’internat ferme le week-end, ce qui complique ma logistique pour les compétitions. J’ai dû aménager mon emploi du temps, ce qui a légèrement fait baisser ma moyenne de classe de 15 à 14,9. Un logement plus stable et un encadrement médical adapté (kiné, diététicien, médecin du sport, préparateur mental) m’aideraient à mieux équilibrer ma vie d’étudiante et d’athlète de haut niveau.

Un mot de fin à l’endroit des autorités gabonaises ?

– Je lance un appel sincère et humble aux autorités de mon pays. Le Gabon regorge de talents, mais il manque un accompagnement structuré pour les faire éclore. Aujourd’hui, je suis dans une situation urgente : la rentrée au pôle d’excellence d’athlétisme d’Eaubonne est prévue le 2 septembre 2025, dans deux semaines. Sans inscription rapide, je ne pourrais pas poursuivre mes entraînements avec mon coach, ce qui compromettrait ma progression. Je rêve de porter haut les couleurs du Gabon aux prochains Championnats du monde juniors 2026 et aux Jeux olympiques 2028. J’ai la volonté, les résultats, mais il me manque les moyens. J’espère sincèrement que les autorités se pencheront sur mon cas afin que je puisse continuer à m’entraîner dans de bonnes conditions, représenter fièrement mon pays et inspirer d’autres jeunes Gabonais à croire en leurs rêves.

Source : union.sonapresse.com

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ATHLÉTISME

JEUX DE LA FRANCOPHONIE – Le Sénégal décroche 23 médailles, dont 10 Or

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Les rideaux sont tombés sur les Jeux de la Francophonie dimanche 06 Aout 2023 à Kinshasa (RD Congo). Au terme de ces joutes, le Sénégal termine à la quatrième place avec 23 médailles: 10 Or, 7 Argent et 6 bronze.

Les athlètes sénégalais se sont bien comportés aux 9es de la Francophonie. La preuve, ils ont pu réaliser une bonne moisson avec 23 médailles (10 Or, 7 Argent et 6 bronze).

Ces performances ont valu à la délégation sénégalaise la 4e place au classement des nations. Ainsi, le Sénégal a conservé à Kinshasa le même classement que celui obtenu lors des Jeux de la Francophonie en 2017 à Abidjan.

Le Maroc a pris la première place du podium en récoltant 57 médailles : 22 or, 16 argent et 19 bronze. La Roumanie est deuxième avec 38 médailles : 17 or, 9 or et médailles: 6 or, 2 argent et 12 bronze.

La dernière marche du podium est occupée par le Cameroun qui obtient 38 médailles: 11 or, 13 argent et 14 bronze, rapporte le quotidien sportif « Stades ».

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À ces 9es Jeux de la Francophonie, le Sénégal était représenté dans toutes les huit disciplines inscrites au programme: athlétisme, para-athlétisme, judo, cyclisme, basket (U-25), football (U20), et lutte.

Sur un bilan des médailles, le Sénégal a obtenu 3 or et 5 argent en athlétisme. En lutte, le Sénégal a glané 13 médailles : 6 or, 2 argent et 5 bronze.

Si Libasse Ndiaye a sauvé l’honneur en judo, l’équipe nationale féminine U25 de basketball a fait des merveilles en adjugeant l’or. Avec ces jeunes basketteuses, la relève pourrait bien être assurée en équipe nationale A.

Médailles du Sénégal
Athlétisme (8)
or (3) Saly Sarr (triple saut, 14m00), Louis François Mendy (110 m haies, 13″ 38), Cheikh Ti diane Diouf (400 m, 45″70) Argent (5): 4×100 m (3966). 4×400 m (3’03″66), Mamadou Fall Sarr (100 m, 10″17), Ousmane Si- dibé (400m haies, 49″58), Amath Faye (triple saut, 16m61)

Judo (1)
Bronze (1): Libasse Ndiaye (-100 kg)

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Basket (1)
Or (1): Lionnes U25

Lutte (13)

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ATHLÉTISME

110 MÈTRES HAIES – L’athlète sénégalais Louis François Mendy bat le record et se qualifie aux JO de Paris

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Il y aura un athlète senegalais aux Jeux Olympiques de Paris 2024 dans la catégorie 110 mètres Haies. Lors du meeting international de Troyes, samedi 1er juillet 2023, le coureur Louis-François Mendy a établi un nouveau record national du Sénégal sur 110m haies avec un temps de 13 secondes et 18 centièmes., Il avait déjà battu son propre record national lors du meeting de Genève avec un chrono de 13″36, il y a un mois.

Cette performance lui a non seulement permis de dépasser les minima olympiques fixés à 13 secondes et 27 centièmes, mais elle lui a ouvert les portes des championnats du monde d’athlétisme prévus à Budapest, en Hongrie, du 19 au 27 août 2023.

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