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AFRIQUE DE L’OUEST

SÉNÉGAL : La liste du nouveau gouvernement dévoilée

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La liste du nouveau gouvernement est enfin dévoilée. Après plusieurs jours de suspens, les noms sont enfin connus. Ils sont au nombre de 37 nouveaux visages des ministres et des secrétaires d’Etat. Selon le ministre Seydou Guèye, cette nouvelle formation gouvernementale, constitue un ‘’gouvernement de combat et de résultats’’. Selon un communiqué de la présidence sénégalaise il s’agit d’un gouvernement d’union nationale.

Liste des membres du nouveau gouvernement :

1 – Ministre des Forces armées : Sidiki Kaba.

2 – Ministre des Finances et du Budget : Abdoulaye Daouda Diallo.

3 – Garde des Sceaux, Ministre de la Justice : Malick Sall.

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4 – Ministre des Affaires étrangères, et des Sénégalais de l’Extérieur : Mme Aissata Tall Sall.

5 – Ministre de l’Intérieur : Antoine Felix Abdoulaye Diome.

6 – Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement : Mansour Faye.

7 – Ministre de l’Économie, du Plan, et de la Coopération : Amadou Hott.

8 – Ministre de la Fonction Publique et du Renouveau du Service Public : Mme Mariama Sarr.

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9 – Ministre de la Santé et de l’action Sociale : Abdoulaye Diouf Sarr.

10 – Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants : Mme Ndeye Sali Diop Dieng.

11 – Ministre des Mines et de la Géologie : Oumar Sarr.

12 – Ministre de l’Agriculture et de l’Équipement Rural : Moussa Baldé.

13 – Ministre de l’Eau et de l’Assainissement : Serigne Mbaye Thiam.

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14 – Ministre du Tourisme et des Transports aériens : Alioune Sarr.

15 – Ministre des Collectivités Territoriales, du Développement et de l’Aménagement des Territoires, Porte-Parole du Gouvernement : Oumar Gueye.

16 – Ministre de l’Éducation nationale : Mamadou Talla.

17 – Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation : Cheikh Oumar Anne.

18 – Ministre du Pétrole et des Énergies : Mme Sophie Gladima.

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19 – Ministre du Développement communautaire, l’Équité sociale et territoriale : Samba Ndiobene Ka.

20 – Ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes Industries : Moustapha Diop.

21 – Ministre des Pêches et de l’Économie maritime : Alioune Ndoye.

22 – Ministre du Travail, du Dialogue social et des relations avec les institutions : Samba Sy.

23 – Ministre de Environnement et du Développement Durable : Abdou Karim Sall.

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24 – Ministre des Sports : Matar Ba.

25 – Ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’hygiène publique : Abdoulaye Saydou Sow.

26 – Ministre du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises : Mme Aminata Assome Diatta.

27 – Ministre de la Culture et de la Communication : Abdoulaye Diop.

28 – Ministre de l’Élevage et des Productions Animales : Aly Saleh Diop.

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29 – Ministre de la Jeunesse : Mme Néné Fatoumata Tall.

30 – Ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire : Mme Zahra Iyane Thiam.

31 – Ministre de l’Emploi, de la formation professionnelle et de l’Artisanat : Dame Diop.

32 – Ministre de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel : Papa Amadou Ndiaye.

33 – Ministre de l’Économie numérique et des Télécommunications : Yankhoba Diatara.

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34 – Secrétaire d’État auprès du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, chargé des Sénégalais de l’Extérieur : Moïse Diar Diegane Sarr.

35 – Secrétaire d’État auprès Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, chargé de la Promotion des Droits humains et de la Bonne gouvernance : Mamadou Saliou Sow.

36 – Secrétaire d’État auprès du ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, chargé du réseau ferroviaire : Mayacine Camara.

37 – Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’hygiène publique, chargé du Logement : Mme Victorine Ndeye.

Autres nominations

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– Ministre d’État, Secrétaire général de la Présidence de la République : Oumar Samba Ba.

2 – Ministre d’État, Secrétaire général du gouvernement : Abdou Latif Coulibaly.

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AFRIQUE

CÔTE D’IVOIRE – Le RHDP favori, le PDCI en quête de remobilisation pour les élections législatives

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À l’approche des élections législatives en Côte d’Ivoire, le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) s’impose comme le parti le plus présent sur le terrain électoral. Il aligne le plus grand nombre de candidats, dont une large majorité de ministres en fonction et de figures majeures du parti. Du chef du gouvernement aux ministres des Eaux et Forêts ou de la Santé, les principaux cadres sont engagés dans leurs fiefs respectifs. Pour plusieurs observateurs, ces élections constituent un test politique majeur, dans un contexte où le président de la République souhaite impulser une transition générationnelle au sein de l’appareil d’État et du parti.

Favori du scrutin, le RHDP doit néanmoins composer avec une difficulté récurrente : la multiplication de candidatures indépendantes issues de ses propres rangs. Dans des régions stratégiques comme le Tonkpi à l’ouest ou la Bagoué au nord, ces dissidences fragilisent l’unité du parti. Le ministre Bruno Koné, lui-même candidat dans le nord du pays, a d’ailleurs appelé à la discipline et à la loyauté, afin d’éviter une dispersion des voix préjudiciable.

Face au RHDP, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) présente 163 candidats. Désormais dirigé par Tidjane Thiam, le parti doit aussi gérer des tensions internes. Des figures historiques, comme Maurice Kakou Guikahué à Gagnoa ou Olivier Akoto à Daoukro, se présentent en indépendants après avoir été écartées des investitures officielles. Après son absence remarquée à la présidentielle, le PDCI devra surtout mobiliser un électorat tenté par l’abstention.

Grand absent de ces législatives, le PPA-CI de l’ancien président Laurent Gbagbo a opté pour le boycott, dénonçant un climat politique qu’il juge délétère. D’autres acteurs majeurs de la présidentielle d’octobre ne sont pas non plus candidats, à l’image de Jean-Louis Billon ou de Simone Ehivet Gbagbo, même si son parti aligne une quinzaine de prétendants. Quant au FPI de Pascal Affi N’Guessan, il présente 21 candidats, sans son leader en tête de liste.

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AFRIQUE

BÉNIN – Patrice Talon s’exprime sur la traque des mutins et la réforme constitutionnelle

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Le président béninois Patrice Talon s’est exprimé sur deux dossiers majeurs de l’actualité nationale : la poursuite des auteurs des événements du 7 décembre dernier et la récente révision de la Constitution, promulguée le 17 décembre 2025.

Concernant la tentative de mutinerie, le chef de l’État a assuré que la traque du principal responsable et de ses complices se poursuit activement. Un mandat d’arrêt international a été émis, et les autorités béninoises ont sollicité la coopération des pays voisins afin de faciliter leur localisation et leur extradition. Sans citer de pays précis, Patrice Talon a indiqué que les auteurs de ces actes ont été manipulés par des responsables politiques qu’il qualifie de « nostalgiques et jaloux », avec l’appui de soutiens extérieurs.

Le président n’a pas mâché ses mots à l’égard des mutins, les qualifiant de « crapules », de « voyous » et de « marginaux ». Il s’est félicité de l’absence totale de ralliement, tant au sein de l’armée et de la Garde nationale que de la population. Évoquant le cas de Pascal Tigri, Patrice Talon a révélé que ce dernier avait été contacté par son supérieur hiérarchique et invité à se rendre, avant de prendre la fuite en tenue civile. Il a salué le professionnalisme et la loyauté des forces de défense et de sécurité, qu’il a jugées « extraordinaires ».

Le second volet de son intervention a porté sur la révision constitutionnelle, vivement critiquée par l’opposition. Patrice Talon a rejeté toute accusation d’allongement déguisé du mandat présidentiel et a clarifié la notion de trêve politique. Selon lui, celle-ci ne vise qu’à empêcher une campagne électorale permanente, rappelant que la Constitution encadre déjà strictement les périodes de campagne. Il a précisé que la critique de l’action publique demeure pleinement garantie.

Enfin, s’agissant de la création du Sénat, le président a défendu cette institution comme un organe d’arbitrage destiné à prévenir les blocages institutionnels et à assurer la stabilité politique, estimant que son expérience du pouvoir en démontre la nécessité.

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AFRIQUE

MALI – L’imam Dicko et la CFR lancent la « troisième voie » contre la junte

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Au Mali, le paysage politique en exil s’organise avec l’essor de la Coalition des forces pour la République (CFR). Lancée début décembre 2025, cette organisation placée sous l’égide de l’imam Mahmoud Dicko enregistre ses premiers ralliements de poids. Son objectif est sans équivoque : mettre un terme à une transition militaire qui dure depuis plus de cinq ans et restaurer l’ordre constitutionnel ainsi que les libertés fondamentales.

Housseini Amion Guindo, dit « Poulo », ancien ministre et figure de proue de l’opposition, est le premier grand leader politique à officialiser son adhésion. Pour lui, la CFR représente une « troisième voie » indispensable face au dualisme destructeur entre la « dictature implacable » de la junte et la menace jihadiste. Selon Guindo, ces deux extrêmes se nourrissent mutuellement, piégeant le peuple malien dans une impasse sécuritaire et démocratique.

D’autres personnalités, comme Abdoulaye Coulibaly (ICAP) et Oumar Abdou Touré (Kaoural Renouveau), ont également rejoint le mouvement. Ils voient en l’imam Dicko, figure morale historique déjà au centre de la chute d’Ibrahim Boubacar Keïta en 2020, le seul « repère incontournable » capable de fédérer les Maliens autour d’un projet de résistance pacifique. La CFR appelle désormais à la désobéissance civile pour contraindre le pouvoir militaire à rendre les rênes du pays.

Cependant, une interrogation subsiste : le silence de son mentor. Exilé en Algérie, l’imam Mahmoud Dicko ne s’est pas encore exprimé publiquement sur cette coalition dont il est le référent républicain. Si de nombreux acteurs du mouvement prodémocratie soutiennent la dynamique, ils attendent une déclaration officielle du guide avant de s’engager totalement. Ce nouveau pôle d’espérance parviendra-t-il à ébranler le régime de Bamako depuis l’extérieur ? L’avenir de la résistance malienne semble désormais suspendu aux mots de l’imam.

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