SOCIÉTÉ
SÉNÉGAL : À cœur « Humain » avec El Hadji Gorgui Wade Ndoye.

Je m’appelle Gorgui, je suis un fier Sénégalais et Africain et j’aime tous les êtres humains même si je n’agrée pas aux mauvais actes et comportements de mes semblables. Des miens, aussi! Ce qui est sûr, dans mon coeur, il n y a aucune once de méchanceté envers autrui. Aucune once de jalousie ni d’envie de nuire. Comme il est évident que je ne laisserai personne me marcher dessus ni insulter ma couleur et la dignité des Miens juste pour ce qu’ils sont ontologiquement ! El Hadji Gorgui Wade Ndoye.
Je crois en la beauté et à la bonté de chaque âme. Si Dieu me Donnait le paradis, j’y ferai entrer tout le monde ! sans exception ! Je souhaiterais cependant que chaque être humain s’arrête un moment et pose sa conscience devant un miroir ! Qu’il sorte devant ce miroir son coeur et l’ausculte sincèrement dans l’ombre et la lumière de ses entrailles. Je ne crois à aucune supériorité d’un homme sur un autre ! D’une couleur sur une autre ! J’ai le même respect envers un enfant qu’envers un adulte ! Il m’est insupportable d’entendre des personnes adultes regarder les gens les yeux dans les yeux et de les mentir !
J’ai horreur d’être le complice de celles et de ceux qui passent tout leur temps à dire du mal des autres et le plus souvent en ignorant tout de celles et de ceux dont ils ou elles parlent ! Je me suis battu pour être libre dans mon âme, être libre dans mes interactions avec les autres. Je ne supporte pas celles et ceux qui vous disent « tu sais, toi tu n’es pas comme les autres », ou qui vous font un sourire une tape à l’épaule et quand ils se retournent vont débiter des saletés sur vous.
J’aime les gens intelligents, les courageux, les honnêtes gens, les puissants qui protègent les « faibles », celles et ceux qui s’engagent, même sans être connus, sans rétribution, parfois, mais qui s’engagent pour le bien de la communauté humaine. Les politiciens, les affairistes qui jouent avec l’honneur des populations, leur dignité, les manipulent, je n’ai aucune forme d’envie de les connaître ni de partager un chaay avec eux !
Nous Tolérer, les uns les autres, à défaut de nous Aimer les uns les autres, n’est pas une utopie. C’est la chose la plus sensée au monde et qui puisse nous aider à cheminer au delà de nos différences et ambitions, à réaliser notre commune volonté de vie commune … même séparés !
Je demande Pardon à tous les humains, à cette Mère Nature si j’ai offensé qui que ce soit dans ma vie. Celles et ceux qui m’aiment ou me tolèrent, que je croise, et surtout qui me le montrent vous comptez beaucoup à mes yeux ! Et si je ne sais que prier, sachez que je prie aussi pour vous. Pour les autres, je prie aussi que vos coeurs retrouvent le vrai chemin de vos âmes car toutes nos âmes certes se retrouveront en pleine symbiose au firmament dans le même decret divin !
Enfin, cette vie, n’est que Vanité ! Elevons nous toutes et tous en ayant les épaules sur Terre !
Je remercie ma Mère ! Elle m’aura insuffler, dans un silence nourricier, dans un regard simple toute la belle lumière directrice de la vraie philosophie de la vie: Etre soi-même… simplement !
El Hadji Gorgui Wade Ndoye, Journaliste accrédité auprès de l’ONU-Geneve. Directeur de ContinentPremier.Com
Photo: Nicole Matschoss
JUSTICE
BURKINA FASO – Adama Bayala et Alain Traoré recouvrent la liberté après des mois de détention

Après plusieurs mois d’incarcération ou de réquisition forcée, une dizaine de personnes ont recouvré la liberté mardi 16 septembre 2025. Parmi elles figurent deux journalistes bien connus du paysage médiatique burkinabè : Adama Bayala et Alain Traoré, dit « Alain Alain ».
L’information, d’abord relayée sur les réseaux sociaux, a été confirmée ce mercredi par RFI auprès de proches et de collaborateurs des deux hommes.
Adama Bayala, journaliste et chroniqueur de la chaîne privée BF1, est notamment reconnu pour sa participation à l’émission Presse Échos. Il avait été enlevé le 28 juin 2024 dans le quartier des 1 200 Logements, après avoir reçu de multiples menaces liées à ses prises de position critiques sur la situation politique et sécuritaire du pays.
Quant à Alain Traoré, animateur vedette de l’émission « Le défouloir » sur Radio Oméga, il avait été arrêté le 13 juillet 2024 par des agents de l’Agence nationale de renseignement. Son programme, qui donnait encore un espace de libre parole aux auditeurs et chroniqueurs, avait attiré l’hostilité des autorités.
Radio Oméga avait d’ailleurs été suspendue le 2 août dernier pour trois mois, à la suite de propos jugés « malveillants et discourtois » envers la junte militaire au pouvoir depuis bientôt trois ans.
JUSTICE
TURQUIE – Une ressortissante marocaine de 20 ans retrouvée morte à Beyoğlu, son compagnon arrêté

Un drame a secoué le quartier de Beyoğlu, au centre d’Istanbul, où le corps sans vie de Jawhara Aboucheikh, une ressortissante marocaine âgée de 20 ans, a été retrouvé dans l’appartement de son compagnon. Alertés, les secours n’ont pu que constater le décès de la jeune femme.
Selon les premières informations recueillies, son compagnon aurait demandé l’aide d’un agent de sécurité en expliquant que sa partenaire se sentait mal, avant de quitter précipitamment les lieux. La police, arrivée sur place, a découvert de la cocaïne dans l’appartement, orientant l’enquête vers une possible overdose ou une complication liée à la consommation de stupéfiants.
Le suspect, identifié comme le petit ami de la victime, a été rapidement interpellé après avoir quitté la résidence. Placé en garde à vue, il fait face à plusieurs hypothèses judiciaires : mort accidentelle, négligence ayant entraîné la mort, ou homicide volontaire. Les résultats de l’autopsie, actuellement en cours, devraient être déterminants pour établir les circonstances exactes du drame.
En Turquie, tout décès jugé suspect relève automatiquement du parquet. Le code pénal prévoit que lorsqu’une mort survient en lien avec des substances illicites, l’affaire peut être qualifiée d’homicide volontaire ou involontaire. Dans ce type de dossiers, la détention préventive est fréquente jusqu’à la clarification des faits. Par ailleurs, la présence de drogue entraîne systématiquement des poursuites complémentaires pour usage, possession ou trafic, ce qui alourdit les charges.
SOCIÉTÉ
MALI – Des convois de camions-citernes attaqués, le Jnim revendique un blocus

Au Mali, la spirale de violences attribuées aux jihadistes du Jnim continue de s’intensifier. Dimanche, un convoi de plus de 80 camions-citernes transportant du carburant depuis le Sénégal a été pris pour cible entre Kaniéra et Lakamané, dans le secteur de Kayes-Nioro du Sahel. Les assaillants, circulant à moto, ont réussi à incendier au moins une vingtaine de véhicules, selon des sources locales et sécuritaires, même si certains témoignages avancent un bilan plus lourd.
La veille déjà, samedi, un autre convoi escorté par l’armée malienne avait été attaqué entre Diédiéni et Kolokani, à une centaine de kilomètres de Bamako.
Face à l’assaut de dimanche, les soldats maliens chargés de protéger le convoi se sont repliés, laissant derrière eux les camions. Plusieurs militaires auraient été tués ou faits prisonniers. Une source sécuritaire déplore un « cafouillage total », tandis que l’état-major, dans un bref communiqué, a simplement évoqué une « vigoureuse réaction », sans fournir de détails ni de bilan.
Lundi, le quotidien officiel L’Essor mettait en avant une « offensive d’envergure » de l’armée malienne, parlant d’un « déluge de feu sur les groupes terroristes ». Ces derniers jours, Bamako a multiplié les bombardements aériens et les patrouilles, affirmant avoir neutralisé « plusieurs dizaines » de combattants. Les autorités rejettent l’idée d’un blocus et qualifient les attaques de « derniers soubresauts d’un ennemi affaibli ».
Le Jnim, de son côté, affirme maintenir un blocus sur Kayes et Nioro, prévient qu’il ciblera désormais systématiquement les véhicules escortés par l’armée et menace les transporteurs de carburant.
En parallèle, les jihadistes ont revendiqué dimanche la prise de la caserne de Konna, dans la région de Mopti, et l’instauration d’un blocus sur son marché. Lundi, ils annonçaient aussi avoir pris le contrôle d’un poste militaire à Djenné. L’armée, elle, garde le silence sur ces deux opérations.
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