SANTÉ
SÉNÉGAL : « Respectons les mesures barrières ! » Par Mary Teuw Niane

Chères amies, chers amis, L’épidémie du corona virus covid19 poursuit son expansion. Lentement, elle s’étend et s’amplifie sur le Continent Africain. Dans le monde sur mille (1000) cas testés positifs, vingt trois (23) sont africains soit trois (3) de plus par rapport à la semaine dernière. Sur mille décès liés à la COVID19, onze (11) sont africains, soit un (1) de plus par rapport à la semaine dernière. Par Mary Teuw Niane
Le corona virus COVID19 poursuit aussi sa progression dans notre pays, le Sénégal, avec une moyenne d’un (1) décès par deux (2) jours. Comme le dit le Professeur Moussa Seydi, la multiplication des cas positifs entraine l’augmentation de la probabilité d’avoir des cas graves par conséquent, malheureusement, des décès. Le taux de mortalité a légèrement augmenté cette semaine passant de 1.1% à 1.2%. Il reste en dessous du taux africain qui a baissé pour être à 2.9% et très loin du taux mondial qui est à 6.06%.
Le corona virus COVID19 poursuit aussi sa progression dans notre pays, le Sénégal, avec une moyenne d’un (1) décès par deux (2) jours.
Au moment où l’Amérique du Nord dépasse l’Europe en nombre de cas positifs et que l ‘Amérique du Sud, avec le Brésil à sa tête, arrive à grand pas, l’Afrique reste pour les esprits bien pensant une énigme. Le Sénégal, par exemple, avec seize (16) millions d’habitants a quarante deux (42) décès, alors que les Pays Bas, en Europe, avec dix sept (17) millions d’habitants ont cinq mille neuf cent cinquante et un (5951) décès et l’Équateur, en Amérique du Sud, a trois mille trois cent trente quatre (3334) décès. Cette situation favorable à l’Afrique doit nous inciter à plus de vigilance, d’organisation, de méthode et de rigueur pour vaincre cette pandémie. Ainsi devrions-nous établir une stratégie spécifique pour étouffer l’épidémie dans la région de Dakar, le département de Mbacké et celui de Thiès. S’intéresser seulement à Dakar en laissant Mbacké de côté ne règlera pas le problème dans le moyen et le long terme. Je rappelle que le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké fut une des premières autorités à comprendre l’importance du combat contre la COVID 19 en remettant une contribution de deux cent millions de francs. Il est alors naturel de pouvoir compter sur son appui pour mobiliser les populations du département de Mbacké, et au-delà, dans le plaidoyer pour le respect des mesures barrières pour stopper la COVID 19. C’est le lieu de féliciter le Gouverneur de Tambacounda, l’administration territoriale, le personnel de santé, les forces de défense et de sécurité et les populations de Goudiri qui ont permis l’extinction du foyer de Goudiri.
Les multinationales des médicaments pensent d’abord à l’opportunité de gagner de l’argent qu’à guérir les malades à faible coût. L’Afrique est la dernière roue de la charrette !
Cette semaine, avec l’article de la revue The Lancet, est réapparue le lien très fort entre la santé, la recherche médicale, les médicaments et le capital ! Les multinationales des médicaments pensent d’abord à l’opportunité de gagner de l’argent qu’à guérir les malades à faible coût. L’Afrique est la dernière roue de la charrette ! Une raison de plus pour équiper nos laboratoires de recherche, financer nos projets de recherche et valoriser nos connaissances endogènes.
Enfin, l’hivernage arrive. Nos cultures d’aujourd’hui, produiront nos récoltes de demain et garantiront notre autosuffisance en céréales en 2021. Tout doit être fait pour que cette campagne agricole réussisse, elle est notre dot contre la famine et la malnutrition que les oiseaux de mauvais augure prédisent à l’Afrique pour l’année prochaine.
Respectons les mesures barrières !
Unis et engagés, nous réussirons !
Mary Teuw Niane
30 mai 2020
SANTÉ
SÉNÉGAL – Fièvre de la Vallée du Rift : 140 cas et 18 décès enregistrés

Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a publié, ce 10 octobre 2025, une mise à jour sur la situation épidémiologique nationale.
À la date du 9 octobre, le Sénégal recense 140 cas confirmés de Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) et 6 cas de Mpox. Les autorités sanitaires intensifient leurs efforts pour freiner la propagation et renforcer la prise en charge médicale des malades.
Fièvre de la Vallée du Rift : progression maîtrisée mais préoccupante
Depuis le 21 septembre 2025, la FVR a touché 140 personnes, dont 18 décès.
La région de Saint-Louis demeure l’épicentre avec 130 cas recensés, dont 91 guérisons. Les districts de Richard-Toll (74 cas) et Saint-Louis (44 cas) sont les plus affectés, tandis que quelques cas ont été signalés à Louga, Matam et Fatick.
Face à cette situation, le ministère de la Santé a déployé de nouveaux équipements médicaux à l’hôpital régional de Saint-Louis, notamment pour les soins intensifs, afin d’améliorer la prise en charge des cas graves.
Le ministre Dr Ibrahima Sy a réaffirmé la détermination du gouvernement à agir vite :
« La priorité immédiate est de renforcer les infrastructures médicales et d’assurer une réponse rapide et efficace pour sauver des vies et contenir l’épidémie. »
La Fièvre de la Vallée du Rift est une maladie virale transmise de l’animal à l’homme, principalement lors du contact avec le sang ou les organes d’animaux infectés. Les symptômes incluent fièvre, douleurs musculaires et fatigue, mais les cas graves peuvent entraîner des complications hémorragiques mortelles.
Mpox : 6 cas détectés à Dakar, aucun décès
Concernant le Mpox, le pays a enregistré six cas confirmés depuis le 22 août 2025, tous localisés à Dakar.
Un patient est déclaré guéri, tandis que cinq autres restent sous surveillance médicale. Aucun décès n’a été signalé à ce jour.
Les autorités poursuivent la surveillance épidémiologique et appellent les citoyens à vigilance et responsabilité.
Le ministère invite les populations à respecter les mesures de prévention, à éviter les contacts à risque et à signaler immédiatement tout cas suspect aux structures sanitaires les plus proches.
SANTÉ
SÉNÉGAL – Vigilance accrue face au Mpox et à la fièvre de la vallée du Rift

Le Sénégal fait face à deux épidémies simultanées : le Mpox (variole du singe) et la fièvre de la vallée du Rift (FVR). Bien que la situation reste sous contrôle, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique appelle à une mobilisation communautaire et à une collaboration renforcée avec les agents de santé et les relais communautaires.
Appel à la vigilance et à la solidarité
Dans un communiqué, les autorités exhortent les populations à respecter strictement les mesures de prévention et à coopérer avec les structures sanitaires. Ce message a été réitéré lors de la réunion du Comité national de gestion des épidémies (CNGE), présidée par le ministre, au lendemain d’une mission de terrain à Saint-Louis.
Mpox : 5 cas confirmés, aucun décès
Depuis la confirmation du premier cas le 22 août 2025, 5 cas ont été recensés, tous dans la région de Dakar.
- 1 patient guéri
- 4 patients sous traitement au Service des maladies infectieuses de l’hôpital de Fann (évolution favorable)
- 52 contacts identifiés et suivis de près
- Aucun décès signalé
Fièvre de la vallée du Rift : 28 cas dont 8 décès
La situation est plus préoccupante pour la FVR, une maladie virale transmise par les moustiques ou le contact avec des animaux infectés.
- 28 cas confirmés
- 8 décès
- 90 personnes exposées identifiées, dont 4 ont développé la maladie depuis son apparition dans la région de Saint-Louis
SANTÉ
COVID 19 – Une nouvelle variante découverte

Selon un haut responsable de l’Organisation mondiale de la santé, une nouvelle variante hautement mutée du COVID dénommée BA.2.86 a été découverte dans plusieurs pays notamment en Suisse, en Afrique du Sud, ainsi qu’en Israël, au Danemark, aux États-Unis et au Royaume-Uni.
D’après » Reuters », la variante a été repérée » pour la première fois au Danemark le 24 juillet après le séquençage du virus infectant un patient risquant de tomber gravement malade ». Et c’est ainsi qu’il a été détecté » chez d’autres patients symptomatiques, lors de contrôles de routine dans les aéroports et dans des échantillons d’eaux usées dans une poignée de pays ».
Ainsi, des scientifiques ont indiqué que » même s’il était important de surveiller BA.2.86, il était peu probable qu’il provoque une vague dévastatrice de maladies graves et de décès étant donné les défenses immunitaires développées dans le monde entier à la suite de la vaccination et d’une infection antérieure ».
La responsable technique COVID-19 à l’OMS, Maria Van Kerkhove, a déclaré pour sa part que » Les chiffres sont encore faibles ». Mais la réduction de la surveillance mondiale pourrait entraîner une circulation rapide du virus…
-
AFRIQUE2 mois .
LIBYE – Saddam Haftar promu vice-commandant de l’Armée nationale libyenne
-
AFRIQUE2 mois .
CAMEROUN – Maurice Kamto dénonce un « crime politique » après le rejet de sa candidature
-
ART3 mois .
SÉNÉGAL – Khady Sarr, l’essence de la danse africaine
-
ARMÉE3 mois .
SÉNÉGAL – Gueye Para au défilé du 14 juillet
-
EUROPE3 mois .
UKRAINE – la Coalition des Volontaires resserre les rangs et renforce la pression sur Moscou
-
AMÉRIQUE3 mois .
ÉTATS-UNIS – Trump hausse le ton : ultimatum à Poutine et déluge d’armes pour l’Ukraine
-
CULTURE A LA UNE2 mois .
RD CONGO – “Tonga Mboka 2025” : Quand la diaspora congolaise se retrouve à Paris
-
CULTURE5 jours .
GUINÉE – Azaya, comme un cri de conquête, à l’Arena