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PREMIÈRES DAMES

DOMINIQUE OUATTARA : Première dame de la Côte d’Ivoire.

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Dominique Ouattara, née Dominique Claudine Nouvian le 16 décembre 1953 à Constantine (Algérie), est une femme d’affaires ivoirienne et française. Elle est l’épouse du Docteur Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire, et de ce fait la Première dame de Côte d’Ivoire. Après avoir connu une carrière de chef d’entreprise, elle se consacre depuis l’accession de son époux à la Magistrature Suprême, aux œuvres humanitaires.

Ses études

  • 1972 : Baccalauréat en Sciences Economiques à l’Académie de Strasbourg puis elle s’oriente vers les langues.
  • 1975 : DEUG de langues option économie à l’Université Paris X.
  • 1987 : Diplôme d’Administrateur de Biens et Diplôme d’Expertise en Immobilier obtenu à Paris en1989.

Son parcours professionnel

Avant que son époux ne devienne Président de la République de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara était chef d’entreprise spécialisée dans l’immobilier. En 1979, elle devient PDG du Groupe AICI International11, une société qui emploie aujourd’hui plus de 250 personnes sur trois continents. Après avoir renforcé sa présence en Côte d’Ivoire notamment à Yamoussoukro, Bouaké, San Pedro et Jacqueville, Dominique Ouattara implante, en 1989, AICI en Europe en choisissant la France comme vitrine européenne. Après une première antenne parisienne, AICI poursuit son développement dans le sud de la France, dès 1991, avec le lancement d’une agence à Cannes. En 1993, un cabinet de gestion de syndic de copropriétés, « Malesherbes Gestion », qui gère plus de 200 immeubles parisiens, complète l’expansion du Groupe AICI International. AICI International poursuit son développement en 2001, en s’installant au Gabon puis en 2006 au Burkina Faso.
En parallèle, Dominique Ouattara fut nommée, en 1996, PDG & CEO d’EJD inc., société qui gère l’Institut Jacques Dessange à Washington. En 1998, elle acquiert les franchises Jacques Dessange aux États-Unis et devient alors PDG de French Beauty Services qui gère toutes les franchises américaines de la marque.
À la suite de l’élection à la Présidence de la République d’Alassane Ouattara, et conformément aux engagements de campagne pris par ce dernier, elle cesse ses activités de chef d’entreprises, démissionne de toutes ses fonctions professionnelles et cède les franchises Dessange USA au Groupe Dessange Paris, pour se consacrer exclusivement à sa fonction de Première dame de Côte d’Ivoire et à sa Fondation Children of Africa13.
Elle est depuis 2012, à la tête du Comité National de Surveillance des Actions de Lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants.
Les distinctions

2016 : « U.S.-Africa Business Center Outstanding Leaders’ Award 2016 », remis par la Chambre de Commerce américaine

  • 2014 : « Ambassadrice spéciale de l’ONUSIDA pour l’élimination de la transmission du VIH de la mère à l’enfant ».
  • 2013 : Fait partie des « 25 femmes les plus influentes du business en Afrique » selon Jeune Afrique22.
  • 2012 : « Prix de la World Cocoa Fondation (WCF) », à Washington D.C, pour son engagement en faveur du bien-être des enfants.
  • 2011 : « Prix de la Fondation Crans Montana », en collaboration avec l’Unesco et l’Isesco, remis par Irina Bokova, Directrice Générale de l’Unesco.
  • 2008 : « Prix International Panafricain ICS 2007-2008 de la meilleure Présidente de Structure de Bienfaisance de l’Afrique de l’Ouest pour ses actions d’éducation, de formation et d’assistance aux enfants déshérités et aux femmes en difficultés ».
  • 2000 : « Meilleure femme d’affaires de l’année 2000 », dans le cadre des Leading Women Entrepreneurs of the World.
  • 1989 : Présidente d’Honneur de la Chambre Syndicale des Agents Immobiliers de Côte d’Ivoire (CSDAIM).

Les engagements de la première dames :

La lutte contre le travail des enfants en Côte d’Ivoire

Le 3 novembre 2011, en raison de son engagement aux côtés des enfants en situation difficile, Dominique Ouattara est nommée Présidente du Comité National de Surveillance des Actions de Lutte contre la Traite, l’Exploitation et le Travail des Enfants14 (CNS), par le Président de la République. La mission de ce comité est de suivre et d’évaluer les actions du gouvernement en matière de lutte contre l’exploitation des enfants. Le 23 mars 2012, le CNS et ses partenaires adoptent le Plan d’action national 2012-2014, dont l’objectif vise la réduction de manière significative, des pires formes de travail des enfants en Côte d’Ivoire. En 2012 et 2014, les rapports du département d’État américain sur la lutte contre la traite des personnes, ont reclassé la Côte d’Ivoire en catégorie 2, signe des avancées réalisées en matière de lutte contre le travail des enfants. En fin d’année 2015, le plan d’action 2015-2017 de lutte contre le travail des enfants, a été adopté et est en cours de déploiement sur le territoire ivoirien, afin de compléter les actions déjà engagées les années précédentes, avec le soutien des partenaires publics et privés.
L’aide aux femmes
En décembre 2012, Dominique Ouattara lance le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI)15, pour le financement des microprojets des femmes. Ce fonds vise à améliorer les revenus des femmes, faciliter leur indépendance financière, renforcer leur capacité entrepreneuriale et lutter contre le chômage. Aujourd’hui, ce sont 110 000 femmes qui bénéficient de ce fonds en Côte d’Ivoire, et qui ont pu de ce fait, démarrer une activité génératrice de revenus.
Madame Ouattara a reçu en Mars 2016 de la Chambre de Commerce Américaine, le « U.S.-Africa Business Center Outstanding Leaders’ Award »  pour son engagement en faveur de la promotion de l’entreprenariat féminin.
La lutte contre la transmission mère-enfant du VIH-Sida
Dominique Ouattara soutient activement toutes les initiatives, ainsi que les programmes de lutte contre l’infection du VIH chez la mère et l’enfant. Sa vision pour l’avenir est celle d’une enfance sans VIH et sans Sida.
Son adhésion à des associations réunissant les Premières Dames en faveur de la lutte contre le Sida telles que : l’Organisation des Premières Dames d’Afrique contre le Sida (OPDAS) et l’Association Synergie Africaine ; ainsi que sa participation à des réunions des Premières Dames à Deauville (France) en mai 2011, à Bamako (Mali) en octobre 2011, ou encore lors de la 7ème Conférence Africaine sur la santé et les droits sexuels à Accra (Ghana) en février 2016, témoignent de son engagement à lutter contre la pandémie.
Le 18 décembre 2014, Madame Dominique Ouattara est nommée Ambassadrice Spéciale de l’ONUSIDA, pour l’élimination de la Transmission Mère-Enfant du VIH et pour la promotion du traitement pédiatrique16.
Fondation Children of Africa

À son arrivée à Abidjan en 1975, elle a été émue par la détresse des enfants des rues vivants dans la capitale. C’est ainsi qu’elle a décidé de leur venir en aide en menant des missions humanitaires à travers le pays. En 1998, elle officialise cette démarche en créant la Fondation Children Of Africa, pour apporter aide et affection aux enfants d’Afrique. Son amie de longue date, la princesse Ira de Fürstenberg en est la marraine. Par la suite, plusieurs bénévoles et généreux donateurs se joignent à la cause. La fondation évolue dans 4 secteurs d’activités : la santé, l’éducation, le social et les centres subventionnés. À ce jour :

109 000 enfants ont eu accès à la lecture gratuitement ;
97 000 enfants ont été déparasités ;
64 000 enfants ont été vaccinés (Méningite et fièvre typhoïde)
62 000 kits scolaires ont été distribués
59 000 enfants ont été suivis durant le passage de la caravane ophtalmologique
13 centres d’accueil sont subventionnés à travers l’Afrique
10 salles multimédias ont été construites
8 bibliobus sillonnent la Côte d’Ivoire pour donner accès à la lecture et à l’outil informatique aux enfants
La construction de l’hôpital mère-enfant de Bingerville.
Le 29 juin 2013, a eu lieu la pose de la première pierre de l’Hôpital Mère-Enfant (HME) de Bingerville, un des plus gros projet de la FONDATION Children of Africa, en présence du chef de l’État. Bâti sur une parcelle de trois hectares, cet hôpital permettra de résorber les difficultés d’accès aux soins et contribuera à réduire la mortalité maternelle, néonatale et infantile. Il prendra également en compte la problématique du VIH relative à la mère et à l’enfant. L’Hôpital sera entièrement équipé de matériel médical de dernière génération pour la prise en charge des malades. Les travaux de construction de l’HME seront achevés en fin 2016.

Source : Site de la première dame.

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PREMIÈRES DAMES

MAREME FAYE SALL : Première dame du Sénégal.

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Madame Marème Faye Sall, Première Dame du Sénégal, est née à Saint Louis, où elle a été éduquée dans le cycle primaire, avant de s’établir avec sa famille à Diourbel. Quatrième d’une famille de huit enfants, elle se spécialise, plus tard, dans l’électrotechnique en décrochant un baccalauréat technique pour continuer à l’Institut Supérieur de Technologie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar avec l’ambition d’y poursuivre une carrière en génie électrique. Elle décide après son premier enfant de se consacrer entièrement à sa famille.

D’ascendance Peule et Sérère et ayant évoluée en milieu wolof, elle a très tôt été immergée dans les valeurs qui fondent aujourd’hui la stabilité multiethnique du Sénégal. Attachée à une vie de famille paisible, elle a réussi à faire l’unanimité autour de son humilité non feinte et de sa grande capacité d’écoute et de communication avec les couches pauvres de la population et les jeunes.

Madame Sall est fière d’avoir contribué, aux côtés de son époux, avant et durant la campagne électorale de 2012, et depuis l’accession de ce dernier à la magistrature suprême, à faire avancer le Sénégal vers un nouveau creuset d’humanisme, de partage équilibré et transparent des opportunités au bénéfice des populations les plus déshéritées et vulnérabilisées par des conditions adverses.

Dès l’annonce de la création de la « Fondation Servir le Sénégal » qu’elle dirige avec un Conseil d’Administration composé de compétences bénévoles de haut niveau, Madame Sall a orienté sa préférence pour l’action humanitaire et sociale discrète, au profit de ceux qui en ont le plus besoin, dans un élan de générosité désintéressée, instruite par l’équité mise au service de tous, et une foi inébranlable en un Sénégal de paix, de stabilité et d’innovations au service du pays et de l’Afrique.

Solidaire des préoccupations de la majorité de la population de son pays, et, s’inspirant du fait que toute sa vie durant, elle a été partie intégrante de l’élan de tout un peuple pour de nouvelles conquêtes au service de la prospérité et du changement social, Madame Sall entend « servir le Sénégal » et l’Afrique avec détermination.

Son action philanthropique a commencé par le soutien aux patients qui avaient un besoin urgent d’accès à l’hémodialyse et aux soins rénaux, aux populations en détresse des bas-fonds inondés, aux marchandes de poisson les plus démunies, et aux plus nécessiteux des pèlerins en route pour les lieux saints de l’Islam.

Source : Site internet de la première dame.

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