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TUNISIE – Hichem Mechichi inaugure le 2eme centre technologique « Elife »

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Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi a inauguré ce samedi à Béja, Le 2e centre technologique du programme « Elife ». Par Réalité Online

Lancé à l’initiative de la Fondation Tunisie pour le développement et financé par l’Agence Française de Développement (AFD) et l’Union européenne (UE), le programme  « Elife » ambitionne de construire 10 centres technologiques dédiés à la jeunesse tunisienne dans les dix régions les plus marginalisées et défavorisées de l’intérieur de la Tunisie (Siliana, Béja, le Kef, Jendouba, Kairouan, Kasserine, Sidi Bouzid, Gafsa, Tozeur ; Gabes et Médenine).

Ces centres auront entre autre pour vocation de mettre à niveau les jeunes diplômés dans les spécialités des TIC afin d’augmenter leur chance d’insertion professionnelle et ce grâce à un programme de formation.

Au cours de la cérémonie d’inauguration, Mechichi a souligné que la création de ce centre s’inscrit dans le droit fil d’un plan national visant à mettre en avant les jeunes compétences tunisiennes dans le domaine technologique et de développer l’économie du savoir. L’objectif étant de promouvoir l’employabilité des jeunes diplômés du supérieur.

Il a fait savoir que des contrats ont été conclus avec 150 entreprises afin d’assurer la réussite de ce projet, assurant que son gouvernement œuvrera à appuyer ces centres et à généraliser cette expérience à toutes les régions.

De son côté, le ministre des Technologies de la communication a appelé les jeunes de Béja à saisir cette opportunité, estimant que le centre  « Elife » de Siliana a réussi à attirer plusieurs entreprises vers la région.

L’Ambassadeur de l’UE en Tunisie, Marcus Cornaro a, pour sa part, indiqué que les premiers indicateurs et résultats de ce programme sont très « prometteurs ».

Rappelons que le programme  « Elife » ambitionne de créer 25 mille emplois en faveur des diplômés des différents Instituts supérieurs d’études technologiques (ISET) entre 2018 et 2023. Lancé en décembre 2020, avec une capacité d’accueil de 200 jeunes, le centre  « Elife » de Béja est le deuxième du genre, après celui de Siliana qui a ouvert ses portes en 2019.

Source : Réalité Online

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TECHNOLOGIES – Un drone intelligent créé par Mohamed Thiam, un jeune sénégalais

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Mohamed Thiam, jeune sénégalais âgé de 25 ans et vivant au Canada vient de concevoir un drone intelligent. Ce drone est d’une qualité exceptionnelle, est nommé « Zuri » et a des fonctionnalités classiques capable d’exécuter des commandes vocales.

Le jeune sénégalais  Mohamed Thiam vient de dévoiler son bijoux technologique. En effet, il s’agit d’un drone intelligent, piloté à distance. Ce drone connecté est un service intégré à l’assistant Google. «C’est un drone capable de reconnaître des commandes vocales complexes, et de les traduire en une séquence d’actions simples afin de les effectuer de la meilleure des manières. En d’autres termes, l’utilisateur peut lui dire de faire quelque chose à travers la voix, puis le drone va interpréter ce qui a été dit et l’effectuer», a expliqué Mohamed Thiam

L’ancien étudiant titulaire d’un DST en informatique à l’École supérieure polytechnique (ESP) de Dakar souhaite rendre « Zuri » plus performant. «S’il y a une innovation dans ce projet, ce serait donc ce cocktail de technologies de pointe. Par contre, de réelles innovations sont à venir si le projet aboutit. La partie de la commande vocale n’est qu’une fonctionnalité parmi tant d’autres. J’évaluerai le niveau d’avancement du projet aux environs de 10%. Mon souhait, c’est d’arriver à le mener à bien avec toutes les capacités possibles», précise-t-il.

Mohamed Thiam

Ce projet, il l’avait déjà présenté sur sa chaîne Youtube, en août 2018. Il y expliquait ainsi comment, dans sa première phase de test, il est parvenu à relier un drone Parrot Mambo à un raspberry, un nano-ordinateur. Mohamed Thiam a, en parallèle, mis au point le programme permettant au drone d’exécuter les tâches, lequel a été intégré à l’intérieur du raspberry. « Zuri » est en réalité, un drone connecté qui utilise les services de Google (GCP) pour recevoir des commandes vocales de l’utilisateur. Pour ce dernier, « Zuri » prend la forme d’un service intégré à l’assistant Google.  L’utilisateur peut donc envoyer des commandes vocales au drone via son smartphone ou son Google Home.

Mohamed Thiam travaille actuellement à Montréal au Canada en tant que Web-développeur. Il est un passionné d’informatique et féru des nouvelles technologies.

Zuri – Mohamed Thiam
Mohamed Thiam
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AFRIQUE – Lancement dans des dizaines de pays africains de la plateforme Spotify

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La plateforme audio en ligne Spotify a annoncé, ce lundi 1er mars 2021, son lancement dans 85 nouveaux pays, dont des dizaines de pays africains. Ce qui constitue quasiment le double du nombre de marchés couverts.

85 nouveaux pays vont désormais pouvoir accéder à la plateforme de musique en ligne Spotify. Le Nigeria, le Pakistan, le Bangladesh, la Tanzanie, l’Ouganda et le Mozambique figurent parmi les marchés les plus importants du point de vue de la population.

Dans tous ces nouveaux pays d’implantation, il sera proposé aux utilisateurs les deux formules de la plateforme : une offre payante et une autre gratuite. Ils auront également à leur disposition l’ensemble du catalogue musical de Spotify qui dit vouloir collaborer avec des acteurs locaux pour pouvoir élargir son offre de musique issue du marché concerné.

Spotify renseigne, dans un communiqué, que les recommandations soumises aux abonnés seront adaptées à chaque pays. Pour ce qui est des podcasts, la majorité des nouveaux marchés auront accès à l’intégralité du catalogue Spotify, qui compte aujourd’hui plus de deux millions de programmes.

Avec l’ensemble de ces nouveaux marchés, plus d’un milliard de personnes auront accès à la plateforme. Ce qui va quasiment doubler le nombre de pays d’implantation qui dépassera 170.

A fin 2020, Spotify comptait 345 millions d’utilisateurs actifs, dont 155 millions à la formule payante, ce qui en faisait, de très loin, la première plateforme de musique en ligne au monde.

Créé en 2008,  Spotify est un service suédois de streaming musical sous la forme d’un logiciel propriétaire et d’un site web. La plateforme de distribution numérique permet une écoute quasi instantanée de fichiers musicaux. Le catalogue peut être parcouru par artiste ou par album, et également grâce à une fonctionnalité de liste de lecture personnalisée.

Une application est disponible pour Windows, MacOS, certaines distributions Linux, iOS, Android, PlayStation 3, 4, 5, Xbox One et Xbox series X,S ainsi que dans la plupart des navigateurs web. D’autres objets connectés permettent également d’utiliser l’application (enceintes, télévisions, montres intelligentes, assistants vocaux…).

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AFRIQUE DU NORD – Le Maghreb enregistre le taux le plus élevé de femmes ingénieures

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À l’occasion de la Journée internationale des femmes et des filles de science, l’UNESCO a publié, le 11 février, le chapitre portant sur le genre dans le domaine scientifique de son prochain rapport intitulé « Pour être intelligente, la révolution numérique devra être inclusive ». Selon le document, les femmes ne représentent encore que 28% des diplômé(e)s en ingénierie, et 40% des diplômé(e)s en informatique. Et ce sont les pays du Maghreb qui caracolent en tête du peloton de femmes ingénieures dans le monde.

La proportion de femmes parmi les diplômés en ingénierie est, selon l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO),  inférieure à la moyenne mondiale dans de nombreux États membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). C’est notamment le cas en Australie (23,2%), au Canada (19,7%), au Chili (17,7%), en République de Corée (20,1%), aux États-Unis (20,4%), en France (26,1%), au Japon (14,0%) et en Suisse (16,1%). 

Il est, toutefois, impossible d’en déduire des tendances régionales précises. Les plus fortes représentations de femmes parmi les diplômé(e)s en ingénierie se trouvent notamment dans les États arabes, tels que l’Algérie (48,5%), le Maroc (42,2%), Oman (43,2%), la Syrie (43,9%) et la Tunisie (44,2%), mais également en Amérique Latine – 41,7% à Cuba, 47,5% au Pérou et 45,9% en Uruguay. D’importantes disparités sont également constatées entre les pays d’une même région. 

Ce chapitre, du rapport de l’UNESCO dont la parution intégrale est prévue pour avril 2021, souligne également le fait que les femmes ne bénéficient pas pleinement des perspectives d’emploi ouvertes aux experts hautement qualifiés dans des domaines de pointe, tels que l’intelligence artificielle, branche dans laquelle les femmes ne représentent qu’un cinquième des professionnels (22%), selon une étude de 2018 parue dans le rapport sur les inégalités de genre du Forum économique mondial. 

De même, les fondatrices d’entreprises émergentes peinent encore à obtenir des financements. En outre, dans les grandes entreprises technologiques, les femmes demeurent sous-représentées dans les postes de direction et dans les postes techniques. Elles sont également plus susceptibles que les hommes d’abandonner le domaine technologique, bien souvent, disent-elles, en raison des faibles perspectives de carrière qui leur sont offertes. Cependant, souligne le rapport, les mentalités évoluent dans les entreprises, notamment depuis que des études ont montré qu’une main-d’œuvre diversifiée pouvait renforcer la confiance des investisseurs et augmenter les marges bénéficiaires.

Si l’on veut éviter que l’industrie 4.0 ne reproduise les préjugés de genre traditionnels, il est impératif, selon l’UNESCO, que les femmes jouent un rôle dans l’économie numérique. Face au poids grandissant de l’intelligence artificielle dans nos priorités sociétales, la sous-représentation des femmes dans la recherche-développement risque de faire négliger leurs besoins et perspectives au moment de la conception des produits ayant une influence directe sur notre vie quotidienne, comme les applications pour téléphones intelligents.

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