Connect with us

EUROPE

FRANCE : Une campagne de vaccination prévue entre avril et juin 2021

Publie

le

Pour lutter plus efficacement contre la Covid-19 qui gagne du terrain dans le pays, le président français Emmanuel Macron a annoncé ce mardi 1er décembre 2020 une campagne de vaccination à partir du mois d’avril 2021 jusqu’au mois de juin. La première étape en début de l’année concernera les personnes les plus vulnérables.

Dans son discours, le président français Emmanuel Macron annonce « une campagne très ciblée, avec un vaccin de première génération » au début de l’année 2021. Les autorités sanitaires recommandent de commencer par les résidents de Ephad (maison de retraite pour personnes dépendantes). En effet, ces Ephad ont enregistré 16.000 morts sur les 52.000 dénombrés dans le pays depuis le début de la pandémie.

La campagne s’élargira ensuite à partir du mois d’avril jusqu’au mois de juin. Une stratégie de lutte contre la pandémie qui rassure le professeur Stéphane Paul, membre du comité vaccin Covid au ministère de la Santé et de la recherche. Pour lui, « c’est la meilleure stratégie qui est réalisable avec le nombre de doses qui été réservé pour le moment. »

Après l’homologation des autorités sanitaires, la première phase pourra être entamée vers la fin du mois de décembre et se prolongera au mois de janvier 2021. Le plus important, à en croire le professeur, est de parvenir à avoir une bonne stratégie de communication pour convaincre les populations à accepter de se faire vacciner. 

Cette campagne européenne sera une phase déterminante dans la lutte contre la maladie à coronavirus puisque le président français précise que tous les pays d’Europe pourront petit à petit commencer à organiser la campagne et convaincre leurs citoyens. « Il n’y aura pas une bataille entre les pays européens », a-t-il dit dans le cadre de la mutualisation des efforts de lutte contre la Covid-19.

Continuer la lecture
Cliquez ici pour commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

EUROPE

FRANCE – L’ancien Président Nicolas Sarkozy à nouveau au tribunal ce mercredi

Publie

le

Nouvelle étape dans l’agenda judiciaire très chargé de l’ex-président français, Nicolas Sarkozy. Il est attendu au tribunal ce mercredi 09 octobre 2023 pour une affaire de financement illégal de sa campagne présidentielle perdue de 2012.

Rappelons que Nicolas Sarkozy avait été condamné, en 2021, à un an de prison ferme pour avoir dépassé le plafond légal de dépenses de sa campagne (près de 43 millions d’euros pour un plafond légal de 22,5 millions). Jugé en première instance, dans cette affaire dite « Bygmalion », il avait aussitôt fait appel, dénonçant une condamnation « injuste ».

Il vient par ailleurs d’être inculpé début octobre dans un volet de l’affaire libyenne lié à la rétractation de l’intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine. Nicolas Sarkozy est loin d’en avoir fini avec les tribunaux. Il comparaîtra notamment pour corruption en 2025 pour les soupçons de financement libyen de sa précédente campagne présidentielle, celle, victorieuse, de 2007, et a formé un recours contre sa condamnation en appel à trois ans de prison, dont un ferme, dans une affaire de corruption d’un haut magistrat.

Continuer la lecture

EUROPE

FRANCE – Un ressortissant français arrêté à Niamey

Publie

le

Stéphane Jullien a été arrêté le vendredi 08 septembre 2023 à Niamey. Ce ressortissant français vit au Niger depuis dix-huit ans. Il est le conseiller des Français de l’étranger dans le pays.

Selon RFI, son arrestation est intervenue alors qu’il sortait de l’Ambassade de France. Les forces de sécurité nigériennes ont retrouvé dans son véhicule plusieurs affaires dont des uniformes aux couleurs de l’armée du Burkina Faso, indique la même source.

Ce chef d’entreprise d’import-export est détenu à la Maison d’arrêt de Niamey. Selon une source diplomatique française, il est reproché à M Jullien des faits de « complicité d’atteinte à la sécurité du territoire ».

Son dossier est géré par la Direction générale de la Sécurité extérieure, d’après RFI. Cette structure serait rattachée à la Présidence nigérienne.

« Notre ambassade est mobilisée pour assurer la protection consulaire à notre compatriotes »

Hier mardi 12 septembre, Paris a exigé sa « libération immédiate » via un communiqué rendu public par le Ministère des affaires étrangères. « Depuis le premier jour, notre ambassade est pleinement mobilisée pour assurer la protection consulaire à notre compatriote » assure le Quai d’Orsay.

Continuer la lecture

EUROPE

FRANCE – Le gouvernement interdit formellement l’Abaya à l’école

Publie

le

Le port de l’abaya va être interdit à l’école en France, a annoncé le ministre de l’Education nationale Gabriel Attal, une décision prise au nom de la laïcité et censée mettre fin aux controverses autour de cette longue robe traditionnelle portée par certaines élèves musulmanes. « J’ai décidé qu’on ne pourrait plus porter d’abaya à l’école », a déclaré sur TF1 dimanche 28 aout 2023 Gabriel Attal.

Le ministre, qui avait dès sa prise de fonction cet été, souhaiter la fermeté sur les questions de laïcité, avait jugé qu’aller à l’école en abaya était « un geste religieux, visant à tester la résistance de la République sur le sanctuaire laïque que doit constituer l’Ecole », promettant la fermeté à ce sujet. « Vous rentrez dans une salle de classe, vous ne devez pas être capable d’identifier la religion des élèves en les regardant », a-t-il expliqué dimanche sur TF1. La question de ce vêtement traditionnel est sensible, le Conseil français du culte musulman (CFCM) estimant de son côté que l’abaya, une longue robe couvrant le corps féminin, n’est pas un signe religieux musulman. Son port est « plus ambivalent qu’un voile » selon Haoues Seniguer, maître de conférence à l’IEP de Lyon et spécialiste de l’islamisme.

En France, selon la loi du 15 mars 2004, « dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit », une circulaire précisant ces signes « le voile islamique (..) la kippa ou une croix de dimension manifestement excessive ». L’Education nationale s’était déjà emparée de l’abaya en novembre, dans une circulaire qui considérait ce vêtement – comme les bandanas et les jupes longues, également cités – comme des tenues pouvant être interdites si elles sont « portées de manière à manifester ostensiblement une appartenance religieuse ».
Le prédécesseur de Gabriel Attal, Pap Ndiaye, interpellé par les syndicats de chefs d’établissement sur la hausse des incidents liés à ces tenus, avait toutefois refusé de « publier des catalogues interminables pour préciser les longueurs de robes ».
hausse des atteintes à la laïcité.

Selon une note des services de l’Etat, dont l’AFP a obtenu copie, les atteintes à la laïcité, bien plus nombreuses depuis l’assassinat en 2020 aux abords de son collège du professeur Samuel Paty, ont augmenté de 120% entre l’année scolaire 2021/2022 et 2022/2023. Le port de signes et tenues, qui représente la majorité des atteintes, a quant à lui augmenté de plus de 150% tout au long de la dernière année scolaire.
Le ministre a voulu rendre hommage dimanche aux chefs d’établissement « qui sont en première ligne sur ces questions de laïcité », et qu’il a promis de rencontrer « dès la semaine prochaine (…) pour leur donner toutes les clés pour qu’ils puissent faire appliquer cette règle ». « La consigne n’était pas claire, désormais elle l’est et nous nous en félicitons », a réagi auprès de l’AFP Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du Syndicat national des personnels de direction de l’Education Nationale. « Maintenant que le message est énoncé, il faut que cela se mette en œuvre dans les établissements (…) il ne faut pas que les chefs d’établissement soient seuls face aux abayas », a-t-il ajouté.

Du côté de l’opposition, la décision a été applaudie à droite, Eric Ciotti (LR) en tête sur X (anciennement Twitter): « Nous avions réclamé à plusieurs reprises l’interdiction des abayas dans nos écoles. Je salue la décision du ministre de l’Éducation nationale qui nous donne raison ». A gauche en revanche, Clémentine Autain (LFI) s’est indignée de « la police du vêtement », jugeant « anticonstitutionnelle » l’annonce de Gabriel Attal, « contraire aux principes fondateurs de la laïcité. Symptomatique du rejet obsessionnel des musulmans.

Continuer la lecture

DERNIERS ARTICLES

FACEBOOK

PUB

NEWS +